Après la venue de Vladimir Poutine ce lundi, Emmanuel Macron aura une dense journée diplomatique jeudi, à quelques heures du sommet du G7, en recevant le nouveau Premier ministre britannique Boris Johnson, le Premier ministre indien Narendra Modi, et le nouveau chef du gouvernement grec Kyriakos
Emmanuel Macron reçoit lundi le président russe Vladimir Poutine dans le sud de la France pour balayer les grands dossiers diplomatiques en amont du sommet du G7 le week-end prochain.
Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a affirmé samedi soir que la situation économique de son pays avait changé, passant du "Grexit au Grinvest", et que la Grèce attirait à présent les investisseurs étrangers.
L'«affaire Hollande», comme l'appellent déjà les analystes, submerge la totalité des médias, de la presse la plus généraliste à la plus spécialisée. Le titre de une est récurrent, comme pour l'ouverture des journaux télévisés, les débats à la radio ou encore sur les réseaux sociaux.
Dans le livre de publié jeudi, «Un président ne devrait pas dire ça», le dirigeant français affirme que son homologue russe l'avait appelé au téléphone au lendemain du référendum du 5 juillet 2015 en Grèce - rejetant un plan de sauvetage de la zone euro - pour lui confier qu'Athènes avait demand
À peine sorti en librairie en France, les médias grecs se sont emparés des extraits du livre Un président ne devrait pas dire ça des journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme.
Vladimir Poutine a achevé samedi sa visite de deux jours en Grèce en se rendant au mont Athos, un des hauts lieux de la religion orthodoxe. Le président russe a souligné le «rôle particulièrement important» de cette communauté pour les fidèles russes.
Alexis Tsipras s'est entretenu lundi matin par téléphone avec Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE), et le président russe Vladimir Poutine, ont fait savoir à l'AFP des sources gouvernementales grecques.
Vladimir Poutine se tait. Sans doute soucieux de ne pas apparaitre comme s'ingérant grossièrement dans les affaires intérieures de l'Union européenne (UE), - ce qui pourrait être contreproductif -, le Kremlin n'a pas dit ce qu'il pensait du referendum du dimanche 5 juillet en Grèce.