La guerre d'indépendance grecque (1821-1829), ou Révolution grecque, a commencé il y a 200 ans. Un conflit à l'issue duquel les Grecs réussirent à faire reconnaître leur indépendance par l'Empire ottoman.
Selon la tradition grecque, la journée du 25 mars 1821 marque le début du soulèvement des Grecs contre la domination ottomane. Ce jour-là, à Patras, dans un des grands ports de la Morée (Péloponnèse), l'archevêque Germanos aurait lancé un appel aux armes digne d'un général vendéen:
Depuis le triste événement de cet été en mer Égée, où la Turquie a menacé certains navires grecs, la question de la Méditerranée orientale s'est à nouveau imposée dans les agendas diplomatiques.
Sur le port de Nauplie, entre le pouce et l'index du Péloponnèse, Yorgos me livre cet aphorisme comme on prononce une sentence: «Cent pour cent des Grecs pensent que quatre-vingt-dix-neuf pour cent des Grecs sont des idiots.» Et un large sourire d'illuminer son visage de marin, noirci par le sole
Vienne - La route macédonienne qui conduit vers la Grèce vient d'être rebaptisée "autoroute de l'amitié": Skopje et Athènes affichent leur volonté de régler leur différend sur le nom "Macédoine", objet d'une réunion importante à Vienne.
Après des mois de lutte pour soutenir les prix en zone euro, la BCE devrait faire état ce jeudi d'un timide éclaircissement de l'horizon, estiment les observateurs, qui attendent également un geste en faveur de la Grèce.
Mardi 1er mars, dans une interview accordée au Hospodarske Noviny, le premier ministre slovaque, le social-démocrate Robert Fico lançait une énième provocation à l'égard du gouvernement grec avec son ton si mesuré : « Tsipras, si tu ne fais pas ce que tu peux, alors il n'y aura qu'u
Le chancelier autrichien Werner Faymann a accusé dimanche la Grèce de se comporter "comme une agence de voyages" en laissant passer librement les migrants vers l'ouest de l'Europe, dans une interview à la presse autrichienne.
Depuis le début de la semaine, le gouvernement grec est en alerte. Au sortir du sommet de Bruxelles, samedi dernier, Alexis Tsipras était pourtant rassuré de l'engagement pris par ses partenaires européens quant au respect de l'espace Schengen, jusqu'à leur prochaine rencontre, le 7 mars.
La crise migratoire prend une tournure diplomatique. Athènes a rappelé son ambassadrice à Vienne pour consultation, jeudi 25 février, sur fond de querelle entre la Grèce et l'Autriche à propos de l'accueil des migrants.