Les transports, les hôpitaux, les écoles ou les tribunaux ont tourné au ralenti ce 20 novembre, à l'appel des syndicats du public et du privé qui réclament le droit à « une vie digne ». Pour les Grecs, les bonnes performances économiques du pays tardent à se faire sentir.Des hausses de salaires, le rétablissement des droits de négociation collectifs, des recrutements dans les services publics, mais surtout des mesures pour « garantir une vie digne ». A l'appel des syndicats des secteurs publics et privés, une grève générale de 24 heures a paralysé l'ensemble de la Grèce, ce mercredi 20 novembre, alors que les bonnes performances de l'économie tardent pour l'heure à ruisseler dans la population.Les écoles, les tribunaux, les hôpitaux et surtout les transports ont tourné au ralenti toute la journée, alors que le syndicat des journalistes avait entamé mardi une grève pour réclamer la signature de nouvelles conventions collectives - la dernière date d'avant la crise financière.Un vote du budget tendu« Notre mobilisation, avec la grève, a pour revendication centrale l'augmentation de nos salaires, afin de vivre dignement », a indiqué dans un communiqué l'ADEDY, le syndicat du secteur public. L'appel à cette journée de mobilisation grandit depuis plusieurs semaines, alors que se…
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