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Dans les coulisses des négociations secrètes pour le retour en Grèce des frises du Parthénon

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Dans la salle des marbres du Parthénon, dits "The Elgin Marbles" en anglais, d'après Lord Elgin, ambassadeur britannique à Constantinople, qui les fit envoyer à Londres en 1801-1802.
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Dans la salle des marbres du Parthénon, dits "The Elgin Marbles" en anglais, d'après Lord Elgin, ambassadeur britannique à Constantinople, qui les fit envoyer à Londres en 1801-1802. Au British Museum, Londres, le 16 octobre 2014. PHOTO DYLAN MARTINEZ/REUTERS

Dans le prestigieux quartier de Mayfair, dans le centre de Londres, un bâtiment chargé d'histoire abrite l'ambassade de Grèce. Construit en 1731, lorsque George II était sur le trône du Royaume-Uni et Robert Walpole le Premier ministre britannique, l'édifice s'est fait le témoin d'une époque où la crème de la société britannique se rassemblait dans le salon du premier étage : intellectuels, universitaires, écrivains, artistes, politiciens, entrepreneurs et membres de la diaspora.

La résidence sert aussi pour des réunions et négociations privées.

Rencontres secrètes

Depuis un an, la "maison de la Grèce" de Londres accueille un visiteur inhabituel, qui pourrait détenir les clés du retour des frises du Parthénon en Grèce : George Osborne.

Les visites étaient, jusqu'à aujourd'hui, tenues secrètes. Le président du British Museum a franchi pour la...

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