Au port du Pirée, le ferry tout juste amarré ouvre sa bouche béante pour dégorger des centaines de personnes. Avec un sac sur le dos ou des enfants dans les bras, les silhouettes qui se dirigent le pas lourd vers le quai ont comme un air de ressemblance. Puis, seuls ou en famille, on s'introduit le regard hagard dans les navettes qui mènent vers la gare ferroviaire.
Cette arrivée dans Athènes, Samer Mohamed ne l'a pas oubliée. ...
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