
Athènes semblait sonnée dès le réveil ce lundi matin. Les rues étaient presque vides. Peut-être à cause du soleil de plomb, peut être à cause du choc des informations qui se sont succédées toute la nuit pour aboutir à ce sentiment ambivalent d'être toujours dans l'eurozone mais de se sentir plus une colonie qu'un Etat souverain à part entière.
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