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Grèce: Sarkozy «partage le point de vue de Hollande et Valls» sur le choix du compromis

Published in Le Figaro on
Pour le président des Républicains, trouver un compromis avec la Grèce est la «moins mauvaise solution».
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Pour le président des Républicains, trouver un compromis avec la Grèce est la «moins mauvaise solution».

Quelques jours avant le référendum grec, il avait tenu des propos durs sur Alexis Tsipras. Nicolas Sarkozy avait affirmé que le premier ministre grec avait «suspendu de fait, de lui-même, l'appartenance de la Grèce à la zone euro», se rangeant du côté des partisans du Grexit.

Mercredi, invité du 20h de TF1, l'ancien chef de l'État a exprimé une nouvelle fois sa fermeté à l'égard du «gouvernement d'extrême-gauche» de la Grèce, «qui refuse de faire les réformes que les autres en Europe ont faites». «Il faut informer les Français de la réalité des chiffres», a expliqué le président des Républicains, avant d'exposer le coût de la dette grecque. «Les grecs doivent 45 milliards d'euros à la France, soit 2 300 euros par famille», s'est-il indigné.

«Tout doit être fait pour trouver un compromis»

Nicolas Sarkozy a toutefois modéré son discours sur le Grexit, pronant désormais «la moins mauvaise des solutions», à savoir un «compromis», pour «éviter la destruction de la zone euro». «Tout doit être fait pour trouver un compromis. Je partage ce point de vue, le point de vue de monsieur Hollande et de monsieur Valls, mais il...

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