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Hollande accaparé par la Grèce au Bénin

Published in Le Figaro on
Le chef de l'État français est accueilli  par son homologue Thomas Boni Yayi, jeudi à Cotonou.
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Le chef de l'État français est accueilli  par son homologue Thomas Boni Yayi, jeudi à Cotonou. Crédits photo : ALAIN JOCARD/AFP

L'avion présidentiel a atterri à Cotonou dans la nuit de mercredi. Mais ce n'est que le lendemain matin, peu après 9 h 30, que la visite d'État de François Hollande au Bénin débute réellement. Avec un peu de retard sur l'horaire prévu, puisque le président de la République a eu un entretien téléphonique avec Angela Merkel à propos de la Grèce. Faut-il attendre jusqu'à lundi le résultat du référendum?«Avec la chancelière, nous avons conclu que c'était la seule position possible, Alexis Tsipras ayant coupé court à la discussion», confie François Hollande. Au passage, il dément l'idée d'un affaiblissement du couple franco-allemand. «Il n'a pas tangué», assure-t-il. Et c'est donc avec la crise grecque en tête que le chef de l'État entame sa visite express, sur un rythme effréné.

Honneurs militaires au palais présidentiel de Cotonou, présentation des officiels du régime, entretien en tête-à-tête avec son homologue Thomas Boni Yayi, discours commun devant la représentation nationale béninoise et les institutions, conférence de presse commune, passage en revue des associations des régions représentant les différents folklores locaux du Bénin, arrêts minute devant les danseurs...

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