Skip to main content

Sanctions russes, climat, dette grecque: ce qu'il faut retenir du G7

Published in La Tribune on
"Les Grecs vont devoir faire des choix politiques difficiles qui seront bons pour eux sur le long terme", a souligné le président américain Barack Obama - Angela Merkel insistant, elle, sur le fait qu'"il ne reste plus beaucoup de temps".
Légende

"Les Grecs vont devoir faire des choix politiques difficiles qui seront bons pour eux sur le long terme", a souligné le président américain Barack Obama - Angela Merkel insistant, elle, sur le fait qu'"il ne reste plus beaucoup de temps". (Crédits : Reuters)

  • Vers une prolongation des sanctions contre la Russie

Les sanctions européennes adoptées à l'encontre de la Russie en raison de son implication dans le conflit ukrainien seront vraisemblablement prolongées jusqu'à la fin de l'année lors du Conseil européen (fin juin), a déclaré lundi 8 juin François Hollande, lors d'une conférence de presse à l'issue du G7.

"S'il était démontré que la Russie continue d'armer et d'avoir une présence militaire à l'est de l'Ukraine, s'il était également avéré (...) que les régions de l'Est ne se mettent pas dans la démarche de respecter les étapes de l'accord de Minsk, alors on pourrait justifier une aggravation des sanctions."

"Mais pour l'instant, il n'y a pas de raison non plus de les lever", a-t-il ajouté, répétant en somme ce que souligne le communiqué final du G7.

L'accord de Minsk, qui porte notamment sur un cessez-le-feu, a été conclu en février dernier dans la capitale biélorusse. Évoquant une "gigantesque menace", le président ukrainien Petro Porochenko a affirmé, jeudi dernier, que plus de 9.000 militaires russes se trouvaient en Ukraine...

Explore