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Athènes reconnaît que des difficultés sont à prévoir

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Le vice-Premier ministre grec Ioannis Dragasakis (à gauche) redoute des difficultés en cas d'absence d'un accord avec les créanciers de la Grèce.
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Le vice-Premier ministre grec Ioannis Dragasakis (à gauche) redoute des difficultés en cas d'absence d'un accord avec les créanciers de la Grèce. Image: Keystone

Le vice-Premier ministre grec a reconnu dimanche que des «difficultés» sont à prévoir sans accord d'ici juin avec les créanciers du pays. Samedi, Athènes était pressée de toutes parts de présenter son programme de mesures budgétaires qui lui permettront de continuer à recevoir l'aide internationale.

«Si nous arrivons en juin sans accord, tout prendra un tour beaucoup plus difficile», a admis Ioannis Dragasakis dans un entretien à l'hebdomadaire To Vima. La Grèce fait face à de très lourdes échéances de remboursement de prêts en juillet et août.

Interrogé sur la possibilité d'élections ou d'un référendum en cas d'absence de compromis, il n'a pas nié que ces hypothèses existent «tout au fond de l'esprit» du gouvernement pour «solliciter une issue, en cas d'impasse».

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