Skip to main content

Message de la classe politique pour la fête nationale du 25 mars

Profile picture for user iNFO-GRECE
By iNFO-GRECE,

Le président de la République, Carolos Papoulias a mentionné lundi dans un message adressé à la Diaspora pour la fête nationale du 25 mars que "nous avons comme dette envers ces combattants de 1821 de proclamer que notre Patrie, fondée sur l'unité et l'entente nationales, continuera à défendre les grands idéaux et promouvoir la paix et la démocratie".

M. Papoulias a ajouté que "la révolution de 1821 est un des plus précieux héritages légué au peuple grec, car la liberté, le sacrifice personnel, la démocratie, l'honneur et la justice étaient pour les combattants de 1821 non seulement une croyance mais aussi un mode de vie" et ajouté que "nous devons conserver, non en parole mais surtout en acte, notre indépendance vis-à vis de tout complot et protéger et valoriser ce patrimoine si chèrement acquis".

Le premier ministre, Costas Caramanlis, a rappelé dans son message pour la fête nationale du 25 mars que "le critère et l'objectif de toutes nos pensées et actions collectives sont stables et inchangés: pour que la Grèce soit forte et fière. Une société juste, solidaire et prospère. Un environnement international ou règne, la paix, la coopération, le respect mutuel et le progrès".

Le premier ministre a ajouté que "cette double célébration de l'Hellénisme et de l'Orthodoxie souligne les valeurs suprêmes et les idéaux qui ont inspiré les Grecs dans leur longue lutte pour l'indépendance : la liberté, la fierté, la justice et le progrès" et de poursuivre que "la solidarité entre les générations autour de valeurs et d'idéaux éternels est la condition indispensable de survie d'un peuple à travers l'histoire".

Le président du Parlement, Dimitris Sioufas, a notamment mentionné dans son message du 25 mars que "l'histoire nous enseigne que les Grecs, unis et décidés, peuvent se donner de grands objectifs et les atteindre" et que "nous pouvons garantir un avenir meilleur pour notre Patrie, pour toute la société, pour tous les Grecques et les Grecs", concluant que le Parlement célèbre cette Fête nationale et rend hommage aux combattants de la Liberté, de la Justice et de la Démocratie.

PASOK

Le président du PASOK (parti socialiste), Georgios Papandreou, a déclaré pour la Fête nationale du 25 mars que "l'Hellénisme célèbre la Régénération nationale" et ajouté qu'"après 187 ans d'efforts continus, le peuple grec s'interroge car alors que notre pays dispose encore davantage qu'avant de moyens et d'avantages comparatifs, il ressent que les politiques et les positions conservatrices démantèlent les droits et les acquis sociaux, le poussent à la marginalisation, cultivant parallèlement la peur, l'insécurité et le pessimisme".

"Le message de la grande lutte de libération nationale montre la voie vers la sortie de cette crise, et le PASOK, comme toujours, sera aux côtés du peuple, pour construire une société plus juste", a-t-il conclu.

KKE

Le communiqué du CC du KKE (parti communiste) mentionne que "la révolution de 1821 nous enseigne que la voie de la lutte et du combat décisif est toujours d'actualité et constitue la seule solution pour le peuple" et ajoute que "ce n'est pas un hasard si 187 ans après, son message révolutionnaire est encore déformé" et que "la lutte contre le nationalisme et le cosmopolitisme du capital est la condition pour rétablir la vérité".

SYRIZA

 

"La commémoration du 25 mars est un jour du souvenir et d'hommage au combat du peuple grec pour l'indépendance et l'autodétermination. C'est un point de référence et un exemple - d'importance intemporelle - quant aux possibilités des peuples, indépendamment des rapports de force, d'imposer leur volonté", souligne la Coalition de la gauche radicale dans un message publié lundi à l'occasion de la Fête nationale.

LAOS

Le président du LAOS (droite traditionnaliste), Georgios Karadzaferis, a déclaré pour la Fête nationale que "187 ans après la révolution du 25 mars 1821, il dépend de nous de continuer à être une nation indépendante et fière, ou de redevenir une province marginale de l'Union européenne ou/et de la superpuissance régionale turque".

Be the first to rate this article