La Grèce est opposée à la peine de mort et, de même que l'UE, condamne l'imposition de la peine de mort aux cinq infirmières bulgares et au médecin palestinien qui ont déjà purgé sept ans de prison en Libye, a déclaré mercredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Georgios Koumoutsakos, à l'occasion de la peine prononcée par le tribunal de Tripoli.
M. Koumoutsakos a encore souligné qu'il existe de nombreuses interrogations quant au fondement des accusations sur la base desquelles le Tribunal pénal de Libye a jugé et condamné les cinq infirmières et le médecin.
"Nous attendons que les autorités judiciaires libyennes donnent finalement une solution juste à ce problème humanitaire, et qu'elle respectera le principe de l'égalité devant la loi et d'un procès juste", a-t-il conclu.
i-GR/ANA-MPA