la ressecion continue en gréce

bonjour, le pire n'est pas encore sur

La crise de la dette en Europe pourrait se " stabiliser ", selon l'agence S&P
'agence de notation financière Standard & Poor's (S&P) a estimé, mardi 3 juillet, que la crise de la dette en Europe pourrait commencer à se " stabiliser " grâce à l'accord conclu, vendredi 29 juin à Bruxelles, par les dirigeants de la zone euro pour aider les pays en difficulté. " Ces accords pourraient commencer à stabiliser la zone euro et mettre un terme à la perte de solvabilité des Etats ", a indiqué l'agence, qui a ajouté toutefois qu'elle n'envisageait pas " dans l'immédiat " de réévaluer la notation des pays en Europe, doutant " que les dirigeants soient en mesure de bâtir quelque chose grâce à ces accords ". - (AFP.)

L'Irlande prépare son retour sur les marchés financiers
L'Irlande devrait revenir, jeudi 5 juillet, sur le marché de la dette à court terme pour la première fois depuis septembre 2010, profitant du regain de confiance des investisseurs à son égard. Le pays, qui avait été exclu de ce marché et avait dû solliciter un plan d'aide international de 85 milliards d'euros auprès de l'Union européenne et du Fonds monétaire international (FMI), adjugera 500 millions d'euros de bons du Trésor à trois mois, a annoncé l'agence de la dette du pays (NTMA), mardi 3 juillet. - (AFP.)

L'institution monétaire joue un rôle croissant dans la crise des dettes souveraines de la zone euro

De l'avis de la majorité des observateurs, l'autorité monétaire annoncera le passage de son taux directeur à 0,75 %. Les plus audacieux envisagent même 0,5 %. Quoi qu'il en soit, il s'agira d'une première. Le taux de refinancement de la BCE, à 1 % depuis décembre 2011, est déjà à un niveau plancher. " Mais il n'y a plus aucun tabou ", souligne Frédérik Ducrozet, économiste au Crédit agricole CIB.
Certains s'interrogent aussi sur la participation de l'autorité monétaire à la " troïka " des bailleurs de fonds des pays sous assistance (Grèce, Portugal, Irlande), aux côtés du Fonds monétaire international (FMI) et de la Commission européenne. " Il est assez étonnant qu'une banque centrale s'assoie à côté des bailleurs de fonds et joue les flics pour surveiller les budgets des Etats ", Un jour, on reprochera à la BCE le "consensus de Francfort", prônant l'austérité, comme on a reproché au FMI le "consensus de Washington" accusé d'avoir étranglé les pays émergents ", redoute un ancien du FMI.

Barclays, ou la City déconsidérée
le nouveau scandale de très grande ampleur qui éclabousse le monde de la finance en général et le monde bancaire en particulier. A Londres au premier chef. Mais aussi dans de nombreux pays, puisqu'une vingtaine de banques sont concernées par les enquêtes en cours, parmi lesquelles UBS et Credit Suisse, Deutsche Bank, JPMorgan, Citigroup, HSBC, Société générale ou encore Royal Bank of Scotland.les gendarmes financiers américains et britanniques ont établi, de manière accablante, que, entre 2005 et 2009, une quinzaine de traders de la Barclays avaient mis au point une méthode de manipulation de ce taux, avant de mettre dans la combine des complices dans plusieurs autres établissements. L'objectif était double : gagner de l'argent facilement et enjoliver les résultats de leurs banques.
Le scandale ne fait que commencer. Les enquêteurs ont mis au jour une tricherie internationale et systématique, pratiquée avec un cynisme sans limite et un sentiment d'impunité général.

soyons optimiste....ce nouveau scandale,va til permettre de réformer un peu le système bancaire ?

l’orientation de politique fiscale du gouvernement PS, c'est a dire , ne pas diminuer les dépenses de l'état pour éviter le récession, mais augmenter les impôts des plus riches et sur les revenus autres que ceux du travail pour une "justice" fiscale et pour ne pas creuser la dette..va t elle être plus efficace et moins dangereuse pour l'économie que ce qui est fait en Grèce en Espagne et au Portugal ???

http://trends.knack.be/economie/nieuws/…

Alors que les investisseurs sont soulagés après le sommet européen, l'économie réelle dans la zone euro est tirée vers le bas . La production industrielle dans les principaux pays européens a atteint un nouveau niveau plus bas et les chiffres du chômage continuent d'augmenter dans la zone euro.

La récession dans la zone euro est pire. Dans les grands pays européens, les baisses de production industrielle. Le déclin est le plus grand en Italie, en Espagne et en Allemagne (où la production industrielle est à son plus bas niveau en trois ans d'intervalle). Le dernier trimestre a été pour les entreprises de la zone euro pire en trois ans. Selon les chiffres de la firme de recherche Markit.

Indice de production industrielle pour les grandes économies de la zone euro (Markit).

L'Irlande le plus élevé 53,1 en 14 mois
Autriche le plus bas 50,1 en 6 mois
Pays-Bas la plus élevée de 48,9 en 2 mois
France le plus élevé 45,2 en 2 mois
Allemagne le plus bas 45,0 en 36 mois
Italie le plus bas 44,6 en 2 mois
Espagne le plus bas 41,1 en 37 mois
Grèce le plus bas 40,1 en 4 mois

(50 est le niveau du quart précédente)

"L'indice de production industrielle pour la zone euro a chuté au deuxième trimestre de 1 %», a déclaré l'économiste en chef Chris Williamson de Markit. "Il semble que la forte baisse sera aggravée dans la seconde moitié de cette année. Les entreprises se préparent au pire. Les économies réalisées sur le personnel et les ressources atteignent leur plus haut niveau en deux ans et demi. Les entreprises craignent plus un effondrement de la demande que des augmentations de prix. Le marché est sous le charme de l'incertitude alors que la crise économique dans la zone euro est bien pire. "

Chômage

Quant au taux de chômage, il est en hausse à 11,1 pour cent. (Eurostat)

. En Espagne, moins de 52 % des jeunes et de 24,6 % de l'effectif total est au chômage. Dans la zone euro c'est désormais 17,7 millions de personnes qui sont à la recherche d'un emploi. C'est plus de 2 millions en plus qu'il y a un an et 5 millions de plus qu'en 2008.

En Belgique, selon Eurostat, 7,2 % étaient au chômage. Six pays font mieux que nous, y compris les Pays-Bas, le Luxembourg et l'Allemagne.

Selon The Economist, la zone euro ne peut espérer une croissance des exportations pour contrer la crise.

«Chaque fois que les dirigeants européens décident que la zone euro fait un pas en retrait de l'abîme, l'euro est plus fort encore." (EE)