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Ubuesquerie sur le site du senat francais et concernant l eveil du peuple bulgare

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Submitted by alex on
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Je dois d abord cite ceci

Ce document constitue un instrument de travail élaboré à la suite du déplacement effectué par le Groupe d'Amitié France-République de Macédoine. Il a un caractère informatif et [b]ne contient aucune prise de position susceptible d'engager le Sénat.[/b]

Dans la partie histoire pondu par le [b]Groupe d'Amitié France-République de Macédoine[/b]

Vous verrez ceci

[b]Le nom de Macédoine évoque immédiatement le royaume que Philippe II porta à son apogée, avant d'imposer son hégémonie à toute la Grèce antique[/b] (359-336 avant J.C.). [b]Les Macédoniens étaient des Grecs du Nord, ils n'étaient pas des Héllènes, "citoyens d'une cité-État"1(*), comme les Athéniens ou les habitants de Sparte[/b]. Ce territoire avait été préalablement occupé par les Perses (VIème - Vème siècle). La Macédoine antique était d'une superficie d'à peu près 70.000 km2, un pays essentiellement montagneux ouvert par des bassins, dont le plus vaste est celui du Vardar.

D une part le nom de Macedoine est pour eux indissociable avec le royaume de Philippe II ,que les macedoniens sont des des Grecs du Nord mais qui n'étaient pas des Héllènes

Faudrais que la bande a Badinter et le Groupe d'Amitié France-République de Macédoine m expliquent de leur ubuesquerie historique

Venant de ce site

http://www.senat.fr/ga/ga-3/ga-30.html#…

Ou vous aurez de quoi lire

http://www.senat.fr/ga/ga-3/ga-3.html

En tout cas cette phrase du Groupe d'Amitié France-République de Macédoine

[b]Le nom de Macédoine évoque immédiatement le royaume que Philippe II porta à son apogée, avant d'imposer son hégémonie à toute la Grèce antique[/b] (359-336 avant J.C.). [b]Les Macédoniens étaient des Grecs du Nord, ils n'étaient pas des Héllènes, "citoyens d'une cité-État"1(*), comme les Athéniens ou les habitants de Sparte[/b]. Ce territoire avait été préalablement occupé par les Perses (VIème - Vème siècle). La Macédoine antique était d'une superficie d'à peu près 70.000 km2, un pays essentiellement montagneux ouvert par des bassins, dont le plus vaste est celui du Vardar.

Explique tout le probleme onomastique de la Fyrom,le mot macedoine est directement lie au royaume de Philippe II, et la definition des Macedoniens comme Grecs du Nord est correcte mais de la a ne pas les identifie comme Hellenes,il y a un un illogisme comme celui de reconnaitre un pays slavo-albanais avec un nom antique nommant un royaume et une tribus grecque sachant que ce territoire faisant partie de l antique Peonie,territoire tardement conquis par les macedoniens de Philippe

Ce qui est amusant aussi c est de donner aussi a la Fyrom des merites qui appartiennent aux serbes ou aux grecs comme concernant le Front d orient de la der des der

en Pdf

http://crbn-mk.courriers.info/IMG/pdf/_…

Venant de ce site de La coopération entre la Basse-Normandie et la Macédoine

http://crbn-mk.courriers.info/les-relat…

Qu est que certains n inventent pas pour creer des soits disant liens fraternelles alors qu a l epoque de la premiere guerre mondiale les allies combattaient les allemands,autrichiens, et les bulgares qui en Fyrom avait pour allies le VMRO ,organisation pro bulgare contre les interets serbe soutenu par les allemands du kaizer

Aller lire ce sujet de Peter Kovacs concernant le terrorisme de l universite hongroise de Miskolc et surtout de l ORIM,connu comme VMRO

http://www.uni-miskolc.hu/uni/res/e_pub…

Et apres on nous parle de macedoniens ,pas de bulgarite ou de terrorisme slavomacedonien mais d un peuple pacifique qui n a pas participe a s accaparer quatre fois avec leur freres bulgare la macedoine et la Thrace grecque et ca ne date pas d un siecle mais c etait durant le 20 eme siecle et a trois reprise durant la deuxieme guerre balkaniques,la premiere guerre mondialle et durant la deuxieme guerre mondialle ou durant la guerre civile grecque

Et apres on dit que les grecs exagerent

Si on avait envahis trois fois une region precise de votre pays en creant de plus sur ce meme territoire un front separatiste le plus virulent durant la seule guerre civile qua connu votre pays ,tout ca parce qu on veut s accaparer tout ce qui porte ce nom

C est que la Grece c est que le probleme onomastique de la Fyrom cache autre chose qu une histoire onomastique,mais qui revelle des visions belliqueuses envers sa region mythique antique qui porte depuis l antiquite le nom de macedoine et dont toute la gloire et les mythes sont base en Grece,ne peuvent etre accapare par un peuple qui veut s accaparer une histoire ,une identitee qui ne le definis pas,ni par son histoire,sa culture ou sa langue qui elle est slave datant du 6 siecles apres JC et proche du Bulgare ou du Serbe,mais qui n a rien a avoir avec l antuimoania qui sevit dans leur pays

Car durant l empire ottomans cette region ne s appellais pas Macedoine mais Villayet de Monastir et Villayet de Selanik

http://www.macedonia.info/Macedonism%20…

C est les occidentaux et russes qui pour donner un nom aux guerres balkaniques ont donner le nom aux villayet de Selanik et de Monastir,le nom de Macedoine

L ubuesquerie n a pas de fin dans ce bas monde

Concernant leur delire avec soit disant leur attache par tradition orale avec le mythe d alexandre le grand

J ai decouvert que ce n est pas eux les fautifs,non,ce n est pas nos amis slavomacedoniens qui sont fautifs de se lavage de cerveaux

C est les Bulgares qui sont les responsables,irresponsables et oui,etonnant n est il pas,pas tellement vu que les slavomacedoniens sont des bulgares amnesiques

C est du a l eveil des bulgares et de la recherche de leur gloire qui a commence avec Paisij de Hilendar

Tout commenca par un moine bulgare , Paisij de Hilendar

Les années 1840 voient émerger une
forte propagande antigrecque chez les instigateurs de l’Eveil national
bulgare, car à l’époque les relations entre les deux communautés
nationales sont devenues tendues. Ce n’est pas encore le cas à l’époque
de Paisij. Les Bulgares d’aujourd’hui lisent en réalité l’Histoire slavobulgare
à la lumière d’oeuvres littéraires comme le pamphlet antigrec La
Bulgarie – notre mère (Mati Bolgarija), oeuvre célèbre de Neofit Bozveli.
Pour la première fois, les Grecs sont ouvertement accusés de vouloir
assimiler « les Valaques, les Serbes et les Bulgares », afin « que l’on
n’entendît jamais leur nom à travers le monde, et que tous soient appelés
Grecs »13. Les Grecs sont accusés d’être pires que les Turcs et les
Janissaires : ils auraient même brûlé les « livres slavo-bulgares ». Mais là
encore, ce sont surtout les phanariotes et les Grecs du Péloponnèse qui
sont visés, et non ceux qui habitent loin de Constantinople et d’Athènes.
S’il est parfaitement exact que Paisij de Hilendar a pu cautionner la
politique antigrecque des lettrés bulgares, cela n’a été fait que par une
lecture constructive d’un ouvrage qui, certes, peut s’y prêter, mais dont la
visée principale est de faire prendre conscience aux Bulgares que leur
autodénigrement est mal fondé.

Ses disciple comme le hiéromoine Spiridon vont plus loin et s accapare Alexandre le grand ou le delire va loin tres loin

Le hiéromoine Spiridon fait débuter l’Histoire succincte du peuple
bulgaro-slave [Istorija vo kratce o bolgarskom narode slovenskom] par un
récit biblique, tout comme Paisij. Ce type de récit permet de légitimer
l’origine ancienne des slaves et la généalogie de leurs rois. Pour lui, les
origines des Bulgares remontent encore plus loin que pour Paisij, et les
Serbes descendent des Bulgares. Il affirme que le nom des Serbes
signifie « esclaves » en « langue romaine ». L’histoire du khan Krum qui
boit du vin dans le crâne de l’empereur byzantin Nicéphore est racontée
pas moins de deux fois. L’idée phare est la même que chez Paisij : les
Bulgares étaient autrefois glorieux et respectés, et leur situation actuelle
est largement en dessous de ce qu’ils méritent. Le récit mythique du
moine Méthode qui pousse Boris vers le christianisme est présent comme
dans l’Histoire slavo-bulgare. Les nombreuses batailles des Bulgares avec
leurs voisins balkaniques sont l’occasion de mettre l’accent sur les victoires des rois bulgares. Spiridon s’intéresse par contre également à
l’Antiquité. Il se fait l’écho du récit mythique sur la guerre qui aurait opposé
Alexandre de Macédoine aux Slaves : Alexandre, époustouflé par la
vaillance des Slaves, leur aurait décerné une édit honorifique où l’on
pouvait lire en lettres d’or : « Peuple glorieux et invincible » ; il leur aurait
également remis le territoire de la Macédoine. C’est depuis lors que les
Slaves s’appelleraient Slaves, mais aussi « Macédoniens ». Alexandre de
Macédoine serait le parrain des Slaves, et ces derniers tiendraient leur
nom du mot slava (la gloire)64. Cette vision du monde trahit un très grave
complexe d’infériorité et le besoin de se situer par rapport à un mythe
prestigieux – celui de l’Antiquité hellénique -, voire d’en faire partie. Quitte
à imaginer qu’Alexandre le Grand parlait une langue slave, et que
« Slave » ne signifie donc pas « esclave » en latin, mais « glorieux »

Venant du site makedonskatribuna.com traduit en francais par notre ami bulgare Athanase Popov lors de sa these a L INALCO

Dont le sujet etait

L’HISTOIRE SLAVO-BULGARE

http://www.makedonskatribuna.com/BROJ_2…

Voila l origine de la folie de nos voisin de Fyrom avec l antiquomania,des propagandes bulgares antigrec datant du 19 eme siecles

Qu aujourd hui nos amis de Fyrom croient comme etre leur bible,une bible bulgare ahahahahaha

Ta leme

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alex

Les images des Grecs et des Occidentaux dans la littérature bulgare aux XVIIIe – XIXe siècles

Nadia Danova

Au cours de la formation de la mythologie nationale bulgare apparaissaient les figures de l’Autre, auxquelles nous nous identifiions et nous nous comparions. En tant que mythologie secondaire, la mythologie nationale redéfinissait constamment le sujet de l’identité de l’Autre et déterminait, suivant le mécanisme universel de formation des images mutuelles, les traits changeants de l’image de nos voisins ou des peuples plus éloignés. L’évolution de l’image des Grecs et des Occidentaux aux XVIIIe – XIXe siècles illustre d’une façon très caractéristique les manifestations de ce mécanisme qui fonctionnait dans toutes les sociétés.

Au XVIIIe siècle, dans la conscience du Bulgare, les Grecs commençaient à se détacher de la communauté des chrétiens orthodoxes et parallèlement à la formation de l’identité nationale bulgare, ils devenaient l’image de l’Autre l’identité duquel se formait sur des critères différents des critères religieux. Dans la constitution de l’image de l’Autre, un rôle très actif joueaient les sujets historiques, qui bien souvent étaient enrichis de certains mythes. On pouvait observer dans certains cas une attitude sélective vis-à-vis du passé, permettant la glorification du Sien, son histoire, ses souverains, sa culture et son peuple. Dans la plupart des cas, la mise en évidence des avantages du Sien s’effectuait au préjudice de l’image des Autres, qui devaient avoir des souverains moins auguste et glorieux, des États plus faibles du point de vue militaire, des représentants de la communauté ethniques moins attrayants. Cette opposition qui avait conduit logiquement à l’opposition des images est peut être la plus tangible en ce qui concerne l’image du Grec, qui dans l’époque de l’affirmation nationale des Bulgares s’était vu chargée des traits les plus négatifs en raison des dangers que représentait l’hellénisation. La société grecque avait précédé les Bulgares dans les nouveaux rapports socio-économiques et dans la formation de l’identité nationale grecque. C’est pourquoi les porteurs de cette dernière étaient devenus pour une certaine période l’Ennemi numéro un pour les idéologues du mouvement national bulgare.
Parallèlement à l’image négative du Grec, l’image du Grec dans le rôle de l’Autre prestigieux continuait à exister jusqu’au milieu du XIXe siècle. Pour nombreux intellectuels bulgares cette image positive du Grec était un exemple à suivre dans le développement culturel, social et économique.

L’image des Occidentaux est hétérogène et polyvalente, mais prise dans son ensemble, elle est beaucoup plus positive de l’image des Grecs auxquels nous nous mesurons et nous nous comparons pour raffermir notre sentiment national ou bien pour justifier nos aspirations. Pour les Bulgares, les Occidentaux étaient l’Autre plus éloigné, et dans la formation de son image l’affrontement des plate-formes nationales ne jouait pas un rôle décisif, comme dans l’élaboration de l’image de nos voisins balkaniques. Avec l’affaiblissement du critère religieux d’identification au XIXe siècle, les Occidentaux entraient de plus en plus souvent dans la catégorie de l’Autre prestigieux et se transformaient en modèle, porteur des caractéristiques que les idéologues bulgares s’efforçaient de former chez leurs compatriotes. Les positions de certains États occidentaux favorables à la Porte reflétaient toutefois sur les traits négatifs de leurs images dans les textes bulgares surtout après la guerre de Crimée.

La formation de l’image des Grecs et des Occidentaux montre une tendance à la sélectivité car, guidé par ses propres conceptions, chaque auteur posait l’accent sur un ou autre trait de l’image de l’Autre. Cette image n’est pas objective et ne correspond pas toujours à la réalité, elle est schématique et a une valeur cognitive fragmentaire. Cette image est chargé de traits très positifs ou très négatifs, qui dépendaient des projets éducatifs, scientifiques ou politiques des auteurs des textes qui nous ont servi de source.

http://www.ilit.bas.bg/bi/include.php?f…

Et aller lire aussi ce livre fort interessant ,

L'image de soi et de l'autre de Boriana Panayotova

http://books.google.gr/books?id=r8SUm9p…

Ta leme

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Mon, 08/10/2009 - 17:40 Permalink