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Dossier :special Macedoine

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Chose promise chose due donc je vous fait une special macedoine vu que nous sommes en plein negotiation si on peut le dire !!!

La dispute greco-macedonienne dans l'impasse
Written by Maria Bejanovska
Friday, 23 November 2007

Quinze ans apres l’independance de la Republique de Macedoine, apres qu’elle ait ete reconnue par 120 pays membres de l’ONU sous son nom constitutionnel, les organisations internationales continuent de la designer par l’acronyme FYROM pour faire plaisir a la Grece.
Le conflit politico-semantique entre la Grece et la Republique de Macedoine autour du nom de ce pays, issu de la Federation yougoslave, dure depuis plus de quinze ans. La Grece s’oppose a l’utilisation du nom de Macedoine, affirmant qu’elle en est la seule heritiere. La Republique de Macedoine a ete admise aux Nations Unies sous le nom provisoire de FYROM — Former Yugoslav Republic Of Macedonia — c’est-a-dire Ancienne Republique Yougoslave de Macedoine, en attendant l’issue des negociations menees sous l’egide des Nations Unies. Celles-ci n’ont rien donne a ce jour, alors que plus de 120 pays membres de l’ONU ont deja reconnu ce pays sous son nom officiel : la Republique de Macedoine. Parmi eux : les USA, la Russie, la Chine, l’Inde et tout recemment le Canada.

La Republique de Macedoine souhaite devenir membre de l’Union europeenne et de l’Alliance atlantique. Elle a obtenu le statut de candidat a l’UE en 2005, sans toutefois qu’une date soit fixee pour le debut des negociations d’adhesion. Quant a l’OTAN, elle devrait recevoir une invitation au prochain sommet de cette organisation a Bucarest.

La Grece pour sa part s’inquiete et menace de mettre son veto a l’integration de sa voisine du Nord dans ces organisations internationales. Le chef de la diplomatie grecque, Madame Dora Bakoyannis, fait le tour des pays europeens afin de les persuader que les exigences grecques sont plus justifiees que jamais.

De nombreux diplomates europeens trouvent l’exigence grecque ridicule et anachronique et ce conflit commence a lasser tout le monde. Mais personne, a part quelques courageux, n’ose le dire ouvertement, se contentant de se rallier a la solution qui serait trouvee aux Nations Unies.

L’inquietude de la Grece s’explique aussi et surtout par un point de droit international. Lorsque la Republique de Macedoine sera reconnue sous son nom constitutionnel par plus des deux tiers des pays membres des Nations Unies, elle aura le droit de demander un vote sur la question de son nom. Et la, elle est sure de gagner. La Grece sera obligee d’accepter la decision de l’ONU.

Voici la raison de cette nouvelle acceleration de la pression d’Athenes. Madame Dora Bakoyannis deploie tout son charme et son habilete pour convaincre, et cela lui reussit. Ses visites a Londres, a Berlin et a Paris ont paye. Voici quelques jours, Mathieu Nimitz qui, au nom de l’ONU, chapeaute les negociations greco-macedoniennes, a fait une proposition qui a consterne l’opinion macedonienne : le nom de Macedoine ne doit pas etre utilise dans la communication internationale. Autrement dit, vous pouvez vous nommer comme vous le voulez chez vous mais pas hors de vos frontieres. Cela reflete exactement ce que Athenes desire. La proposition de Mr Nimitz fait fi de la reconnaissance de la Republique de Macedoine par 120 pays membres des Nations Unies et ramene le probleme a son debut.

Inutile de dire que le peuple macedonien n’envisage aucunement de changer son nom pour satisfaire le caprice grecque. Par ailleurs les gouvernements macedoniens successifs depuis l’independance du pays en 1991 estiment que ce probleme ne concerne pas leur pays, car invente de toutes pieces par la Grece. De leur cote les choses sont on ne peut plus claires :

- Notre pays s’appelle Republique de Macedoine. Le mot Republique differencie totalement notre pays de la province grecque.
- La Republique de Macedoine est le seul pays dont le territoire se trouve dans sa totalite sur la region appelee Macedoine.
- En 1913, pour la premiere fois dans l’histoire, la Grece a obtenu une partie de la Macedoine comme resultat des guerres balkaniques, c’est-a-dire apres le traite de paix de Bucarest. Jamais auparavant la Grece n’avait eu autorite sur une partie de la Macedoine.
- Le nom de Macedoine n’a jamais ete utilise officiellement par la Grece avant 1988. En aout 1988, le Premier ministre grec a decide par decret de donner ce nom a une province du Nord de la Grece. Alors que la Republique de Macedoine avait ete proclamee en aout 1944 (Republique populaire de Macedoine), donc 44 ans avant la denomination de la province grecque.
- La Republique de Macedoine fut la premiere a utiliser le nom de Macedoine et, selon le droit international, defini par la regle Qui prior est tempore, potior est jure, personne ne peut lui denier ce nom.
- Jusqu’a la dissolution de la Yougoslavie, il n’y a jamais eu de probleme autour de notre nom. Comme preuve, les notes officielles adressees par le Consulat general de Grece a Skopje au gouvernement macedonien, dans lesquelles le nom « Republique de Macedoine » figure en toutes lettres. Cela veut dire que la Grece, jusqu’en 1992, estimait legitime le nom de Republique de Macedoine.
- Il n’existe pas de base legale pour remettre en question, a cause d’une province voisine, le droit d’un pays qui porte ce nom depuis 1944, meme si ce pays faisait partie d’une Federation.
- La Republique de Macedoine ne nie pas le droit pour la Grece d’utiliser le nom de Macedoine pour sa province du Nord.
- Le nom de Republique de Macedoine ne signifie aucunement une aspiration vers toute la region nommee Macedoine, car sa Constitution determine d’une facon precise les frontieres de la Republique. Cette situation peut etre comparee a celle des Etats Unis dont le nom ne presente aucune aspiration vers les Etats de l’Amerique du Nord ou de celle du Sud.
- Le premier argument grec contre le nom de notre pays fut « la situation securitaire de la Grece ». Athenes affirmait, et elle n’a pas abandonne completement cette these, par ailleurs totalement irreelle, que son voisin du Nord representait un danger pour la Grece. Cet argument n’est plus valable parce que le gouvernement grec a decide en 2003 de fermer toutes les casernes sur sa frontiere Nord tout en declarant qu’il n’y avait aucune menace pour elle.
- Enfin, la these selon laquelle la Republique de Macedoine s’approprie l’Histoire antique est insensee, cette histoire appartient a toute l’humanite. Rappelons qu’il n’existe pas de preuves historiques determinant les descendants directs d’aucun des peuples antiques. La Republique de Macedoine n’a pas l’intention, de quelque facon que ce soit, de limiter ou de mettre en question l’heritage culturel de la Grece.

Voila ce que les gouvernements successifs de la Republique de Macedoine clament depuis plus de quinze ans, mais ces affirmations semblent tomber dans l’oreille d’un sourd. On les entend mais on ne les prend pas en compte. Ceci est surtout valable pour les pays membres de l’Union europeenne qui, bien que conscients de l’injustice commise par la Grece, restent indifferents envers le destin d’un peuple qui a cependant tout fait pour proteger la stabilite dans la region et qui demande que l’on respecte son nom, sa langue et sa culture.

Maria Bejanovska, journaliste

Venant du site du news europeans magazine

http://www.newropeans-magazine.org/inde…

Voyons ca de plus pret

- Notre pays s’appelle Republique de Macedoine. Le mot Republique differencie totalement notre pays de la province grecque.

En quoi Republique differe quand on cite le nom d un pays la France s appelle la France et on utilise rarement le terme de republique francaise

Donc si le nom reste Republique de Macedoine,ce pays s appellera tout simplement macedoine et aura la primaute sur ce mot

- La Republique de Macedoine est le seul pays dont le territoire se trouve dans sa totalite sur la region appelee Macedoine.

De quel MAcedoine parle t elle la Macdoine ottomane fut diviser en deux Villayets celui de Monastir et de Salenik,le terme pour la region n etait utiliser que par les occidentaux qui utilisait le terme Macedoine comme region a melange de different peuple

Si on se refere a la Macedoine Antique ,elle est situe a plus de 90 % sur le territoire grec si on se refere aux partage de cette entite ottomane,la Grece a a nouveau plus de 51,7% de ce territoire en sa possession alors que la Macedoine du Vardar a que 38% de ce territoire autrefois ottoman

- En 1913, pour la premiere fois dans l’histoire, la Grece a obtenu une partie de la Macedoine comme resultat des guerres balkaniques, c’est-a-dire apres le traite de paix de Bucarest. Jamais auparavant la Grece n’avait eu autorite sur une partie de la Macedoine.

La Grece antique et l empire Byzantin millenaire est oublie par nos voisins comme nous le voyons,que dire du Mont Athos,de Thessalonique qui a toujours garde sont nom depuis l antiquite ou meme les turcs l appelait par son diminutid Salenik

- Le nom de Macedoine n’a jamais ete utilise officiellement par la Grece avant 1988. En aout 1988, le Premier ministre grec a decide par decret de donner ce nom a une province du Nord de la Grece. Alors que la Republique de Macedoine avait ete proclamee en aout 1944 (Republique populaire de Macedoine), donc 44 ans avant la denomination de la province grecque.

Aller pour vous faire plaisir voila une carte de la Grece faite par un anglais datant de 1922 qui incorporait les territoires gagne par la Grece par le traite de Sevres mais qui furent perdu apres la catastrophe de la Megali Idea et deifinitivement par lasignature du traite de Lausanne

Auteur: Bartholomew, J. G. (John George), 1860-1920 ; John Bartholomew and Son

Date: 1922

Titre de la carte: Greece and the Aegean.

Publication: London: The Times.

[img]http://www.davidrumsey.com/rumsey/Size2…]

Venant de ce site

http://www.davidrumsey.com/detail?id=1-…+

Ou vous pouvez la zoomer autant que vous voulez et vous verrez que la region du nord de la Grece s appelais bien Macedoine qui comme aujourd hui est diviser en trois partie

Le Journal le plus vieux et le plus populaire de Thessalonique qui s appelle MAKEDONIA fut creer en 1911

Makedonia (Macedonia, Greek: Μακεδονία) is a Greek daily newspaper published in Thessaloniki, Greece's second largest city. Being one of the oldest newspapers in Greece and Macedonia, it was first published in 1911 by Ioannis Vellidis. Since then, it remains the most famous and best selling political newspaper in northern Greece.

Venant de ce site

http://fr.wikipedia.org/wiki/Makedon%C3…

- La Republique de Macedoine fut la premiere a utiliser le nom de Macedoine et, selon le droit international, defini par la regle Qui prior est tempore, potior est jure, personne ne peut lui denier ce nom.

Ils revent Macedoine est un mot grec datant de l antiquite qui de plus sont illustre representant a fait le monde connu hellenistique

- Jusqu’a la dissolution de la Yougoslavie, il n’y a jamais eu de probleme autour de notre nom. Comme preuve, les notes officielles adressees par le Consulat general de Grece a Skopje au gouvernement macedonien, dans lesquelles le nom « Republique de Macedoine » figure en toutes lettres. Cela veut dire que la Grece, jusqu’en 1992, estimait legitime le nom de Republique de Macedoine.

Mais de quoi parle t il de l epoque de la Yougoslavie ou le consulat grec de Skopje represente la Grece au sein de la Yougoslavie ,un consulat grec en territoire Yougoslave

- Il n’existe pas de base legale pour remettre en question, a cause d’une province voisine, le droit d’un pays qui porte ce nom depuis 1944, meme si ce pays faisait partie d’une Federation.

Mais justement depuis 1944 et de plus qui n etait pas un pays mais une entite appartenant a la Yougoslavie ne peut etre reconnu comme pays tout de meme alors que la Grece utilisait deja le terme Macedoine concernant sa region du Nord

- La Republique de Macedoine ne nie pas le droit pour la Grece d’utiliser le nom de Macedoine pour sa province du Nord.

Il manquait plus que ca mais avec leur constitution de 1991 ,elle voulait carrement l annexer dans un futur propice completement surealiste

- Le nom de Republique de Macedoine ne signifie aucunement une aspiration vers toute la region nommee Macedoine, car sa Constitution determine d’une facon precise les frontieres de la Republique. Cette situation peut etre comparee a celle des Etats Unis dont le nom ne presente aucune aspiration vers les Etats de l’Amerique du Nord ou de celle du Sud.

Faudra demander ca a leur ecoliers qui apprenent a l ecole que la Macedoine est encore sous joug grec et bulgare

- Le premier argument grec contre le nom de notre pays fut « la situation securitaire de la Grece ». Athenes affirmait, et elle n’a pas abandonne completement cette these, par ailleurs totalement irreelle, que son voisin du Nord representait un danger pour la Grece. Cet argument n’est plus valable parce que le gouvernement grec a decide en 2003 de fermer toutes les casernes sur sa frontiere Nord tout en declarant qu’il n’y avait aucune menace pour elle.

Un pays instable base sur sa phantasmagorie identitaire est plus dangeureux qu un pays qui respecte ses origines reelles et qui peut etre une entite etatique qui a de la maturite,ici dans ce pays ou tout est falsifie il est dificile de croire qu ils sont arrive a une maturite qui peu nous donner l assurance que ce pays travaillera de concert pour un bon voisinage transbalkanique,leur attitudes envers leurs albanais,nous suffit de croire l inverse vu qu il transgresse meme les accords d Ohride

- Enfin, la these selon laquelle la Republique de Macedoine s’approprie l’Histoire antique est insensee, cette histoire appartient a toute l’humanite. Rappelons qu’il n’existe pas de preuves historiques determinant les descendants directs d’aucun des peuples antiques. La Republique de Macedoine n’a pas l’intention, de quelque facon que ce soit, de limiter ou de mettre en question l’heritage culturel de la Grece.

Il n y a qu a aller voir leur site de propagande pour avoir le coeur nette de leur bonne volonte

Sans parler u il s acharne sur tout ce qui appartient a leur voisin comme mere Teresa par exemple

La mere Teresa

Des intellectuels albanais ont ete exaspere et les politiciens albanais accusent leur voisin balkanique de la Fyrom d’employer le lieu de naissance de la mere Teresa’ pour usurper cette sainte personne historique .

En ecrivant en cyrillique sur sa statue qui devrait etre exposer au Vatican « La Macedoine honore sa fille Mere Teresa,ne a Skopje 1910 et decedee a Calcutta 1997

A voir sur le site

http://www.tribuneindia.com/2003/200307…

Le musee militaire de la FYROM retire l exposisition sur la Macedoine antique
Skopje 8.03.2007
Les cartes et les repliques de la phalange d Alexandre le grand ont ete enleves de la salle du musee militaire consacree a la Macedoine antique, sur la recommandation des membre-pays de l’OTAN demander par le gouvernement grec.
Des medias d internet ont rapporte aujourd’hui que cela est du a une pression directe exercer sur les autorites de Skopje, Athenes a appelee Bruxelles d’entreprendre la demarche.
Selon les memes sources officielles, Athenes a egalement formule des objections a l’alliance sur le livre « histoire militaire de Macedoine » ecrit par Vanco Stojcev, qui contient des cartes montrant des frontieres de la Macedoine antique.
Les representants du ministere de la defense a confirme a certains des medias que certains membre-pays de l’OTAN ont suggeres au ministre Lazar Elenovski d enlever les cartes et les repliques afin d’eviter de provoquer la Grece.

Venant du site slavomacedonien http://www.makfax.com.mk

Sans parler qu ils ont mis entre autre devant le parlement des repliques de statues antiques et apres ils nous disent qu ils sont concilliant surtout qu ils ont oser entre autre de baptiser leur vieux aeroport obsolet de Skopje de Alexandre le Grand

Et je ne vous parlent pas de ce qu ils font contre les bulgares et leur histoire heroique

Alors pour moi c est clair ,ils veulent accaparer tous ce qui appartient aux autres mais veulent se faire passer pour des victimes

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alex

En 1945 la Republique yougoslave macedonienne institue le vernaculaire local en langue officielle, la nouvelle "intelligentsia paysanne et ouvriere" s’emploie a creer une litterature et une historiographie autochtones et originales sous la forte influence de la Serbie.

Une nouvelle conscience nationale est nee dans le conflit entre les aspirations des voisins.

Notons que la difference dans le niveau de vie en Yougoslavie non-alignee et en Bulgarie communiste a definitivement decourage les nostalgiques pro-bulgares dans le pays.

Cependant l’invention nationale, cherchant a s’appuyer sur des principes ethniques se heurte a des difficultes considerables.

Que faire d’abord du tiers de la population qui est musulmane ? L’idee d’une menace albanaise ne cesse de hanter l’imaginaire des batisseurs de la nation.

Il faut trouver des moyens de nier le caractere autochtone de cette population, la traiter d’intrus.

Les Albanais se declareront descendants des Illyriens, peuple semi-mythique au moins aussi ancien que les Grecs.

Skopje ne va pas se laisser faire, les slavomacedoniens deviendront heritiers de Philippe et d’Alexandre le Grand.(Reste a prouver qu’il y aurait, en dehors du toponyme, un lien entre le peuple ancien et les Slaves qui habitent la region du Vardar !).

Cependant, dans les Balkans, l’antiquite reste le monopole des Grecs qui s’en servent depuis le debut du siecle dernier pour leur marketing national.

Le troisieme front de cette campagne identitaire est certainement le plus perilleux.

L’histoire moyenageuse de la Bulgarie est la seule qui se prete a servir la cause nationale, cependant tout rapprochement a ce pays implique un danger mortel, car c’est bien contre lui que l’identite slavomacedonienne a ete forgee.

Il faut donc expliquer pourquoi l’ecole spirituelle d’Ohride, fondee par les eleves de Cyrille et Methode, produisait de la litterature non slavomacedonienne, mais bulgare, pourquoi le tsar Samuel (976-1014), presume fondateur de l’Etat slavo-macedonien etait couronne comme roi bulgare, et ainsi de suite.

Toute guerre, meme celle de l’imaginaire, produit des victimes, et ce sont les victimes qui attirent la sympathie de l’opinion publique.

Ainsi Skopje va brandir la menace du separatisme des Albanais qui ne veulent pas s’assimiler, va denoncer l’imperialisme des Bulgares qui nient leur existence, va se plaindre de l’injustice des Grecs qui les coupent de leurs racines glorieuses.

L ’ ORGANISATION REVOLUTIONNAIRE INTERIEURE MACEDONIENNE, « O R I M » ou VMRO

La phase de liberation nationale-

Revenons a la fin du XIX eme siecle. « Vutrchnata Makedonska Revoliutsionna Organizatsiia », VMRO, est fondee en 1893. . Un service financier organise et controle le prelevement de l’impot revolutionnaire ; une « police executive » interne traque les espions et chatie les traitres.

Au programme de l’ORIM- : attentats et sabotages multiples, pour endurcir les troupes.

Lorsqu’elles seront aguerries viendra le temps de l’insurrection contre l’occupant, puis de l’independance dans un ensemble balkanique libere des Ottomans.

Mais, des 1895 les Bulgaro-Macedoniens, encourages par le gouvernement bulgare, ont cree a Sofia un « Comite supreme macedonien » favorable au rattachement de la Macedoine au royaume bulgare.

On le surnome « suprematiste » ou « exterieur », par opposition a l’ORIM, elle, « interieure », puisqu’agissant au sein meme de l’empire ottoman.

Malgre cela, la guerilla s’enhardit a partir de 1898.

Des lors, la preparation de l’insurrection est activement poussee.

Les annees suivant la catastrophe de la Saint Elie {ILINDEN}, « suprematistes » et « independantistes » s’accusent mutuellement de l’echec de l’Ilinden et s’entretuent meme en 1905.

L’ORIM se lance, a partir de 1907, dans la guerilla rurale.

Ses unites armees, les « Tchetas » se contentent de tenir les montagnes du centre de la Macedoine, jusqu’au depart des armees turques a la fin de 1912.

Mais la joie des patriotes slavomacedoniens est breve- : l’independance de leur pays n’est pas reconnue par les puissances reunies a Londres en 1913 ; la Macedoine n’est pas meme rattachee a la Bulgarie un moindre mal pour l’ORIM.

Non : il est purement et simplement partage entre la Serbie et la Grece, deux pays avec lesquels les Slavo-Macedoniens ne se sentent nulle affinite.

A la fin de la premiere guerre mondiale, l’ORIM constate que le partage de la Macedoine est definitif.

Les voies de la diplomatie et la guerre lui sont egalement fermees- : elle s’engage donc dans la seule qui lui reste, celle du terrorisme.

Elle va le faire avec un talent, un sens de l’innovation on est tente de dire avec un genie tels que tous les terrorismes ulterieurs de ce siecle ne feront que reprendre sans le savoir la plupart du temps des techniques inventees ou perfectionnees par l’ORIM.

Le temps du terrorisme

Nee de la lutte contre l’occupant turc, l’ORIM se lance donc en 1918 dans un combat different et autrement difficile.

Durant cette epoque en effet, l’ORIM est basee sur le sol bulgare.

Officiellement, le gouvernement de ce pays ignore sa presence et condamne fermement les attentats des terroristes slavomacedoniens.

Et pourtant la symbiose entre l’ORIM et les autorites de Sofia est sans precedent dans l’histoire :

Ce sont les fonctionnaires du Tresor public bulgare qui prelevent ensemble l’impot de l’Etat et celui de l’ORIM (de 5 a 10% du premier) ; impot sur le commerce, l’industrie et l’agriculture, mais aussi sur les personnes physiques d’origine slavomacedonienne ; pour ces dernieres, ce racket officiel porte le nom poetique de « contribution volontaire des slavomacedoniens convaincus »... les fonctionnaires delivrent deux recus ; l’un au nom du roi,l’autre a celui de l’ORIM.

L’ORIM possede naturellement des commandos qui frappent ses ennemis partout dans le monde balkanique, et elle dispose d’un sanctuaire : la Macedoine-Pirin-, erigee en une « zone liberee » defendue par son « armee reguliere ».

C’est a l’echelle internationale que l’ORIM donne la mesure de son genie novateur.

Elle est la premiere organisation terroriste, et de loin, a accorder une telle importance a l’opinion publique des grands pays modernes et developpes.

Elle se dote d’abord de toute une serie de bureaux dont certains sont quasi-officiels- : Sofia, bien sur, mais aussi Rome et Berlin par la suite ; d’autres, plus discrets, a Geneve, Vienne, Londres, New York et Paris.

De ces diverses villes, des communiques et autres textes d’information et de propagande parviennent aux chancelleries et aux journaux ; tous sont rediges en francais, la langue diplomatique de l’epoque.

L’ORIM va trouver encore mieux pour attirer l’attention internationale- : la piraterie visant les grands moyens de transports transnationaux.

Naturellement pas les avions de ligne a l’epoque, mais l’Orient-Express, celebre train de luxe reliant Paris a Istanbul.

De qui veulent-ils etre entendus- ? De Paris, de Londres, de Geneve, de Washington.

Le cri des victimes d’un train local ne depassera pas les frontieres ; ceux d’un train international courront la chance d’aller jusqu’en Angleterre, jusqu’en Amerique peut-etre (...).
La France, l’Angleterre,l’Amerique voudront savoir de la Yougoslavie pourquoi les trains sautent chez elle.

C’est l’oeuvre des Comitadjis, repondra-t-elle.

Pourquoi font-ils cela, demandera le president des Etats-Unis ?

Je vais vous dire, repondra le roi Alexandre : c’est qu’ils ne sont pas contents,rapport a la Macedoine.

Alors le lendemain, tous les journaux, de New York a San Francisco, paraitront avec cette manchette : il y a encore une question de Macedoine !

Et voila !.

L’armee yougoslave, elle mobilise en permanence 12000 hommes le long du trajet yougoslave de la voie ferree de l’Orient-express.

Sur le terrain, des guerilleros prets a n’importe quelle alliance ou contorsion ideologique pour atteindre leurs objectifs- : s’equiper, disposer des moyens de se battre et a terme, liberer la Macedoine.

A leurs cotes, plus ou moins ouvertement, des pays frustres par les grands partages de 1918-1919, cherchant a renverser une table de negociation a laquelle ils ont tout perdu- ; plus loin encore, des puissances, moyennes ou grandes, beneficiaires du nouvel equilibre regional, frappees par les terroristes et ripostant, maladroitement le plus souvent.

Entre 1919 et 1924, l’ORIM hesite dans le choix de ses alliances.

Son chef d’alors, Todor Alexandrov, penche pour les communistes et negocie discretement avec le Komintern.

Son bras droit, « Vantche » Mikhaloff, est favorable a l’Italie, qui joue la carte de la revision des traites consecutifs a la premiere guerre mondiale et soutient les Comitadjis et les Oustachis.

En 1924, Alexandrov est assassine par les hommes de Mikhaloff.

Profitant de la crise au sein du courant « independantiste », les « suprematistes » commandes par le general Protoguerov, un Bulgare d’origine slavomacedonienne reprennent l’innitiative.

Mikhaloff ne desarme pas et Protoguerov est assassine a son tour, en juillet 1928.

C’est alors le dechainement d’une guerre triangulaire, « independantistes » - « suprematistes » - appareil d’Etat bulgare- ; au total, entre 1924 et le printemps de 1931, plus de 20-000 morts, dont 193 cadres superieurs et dirigeants de l’ORIM...

Debarasse de la « concurrence », Mikhaloff reorganise son appareil militaire- : aux « Tchetas », unites de plusieurs dizaines de Comitadjis, infiltrees en Yougoslavie pour y faire la guerilla, il ajoute les « trokas » prefigurant les « Unites de service actif » de l’IRA, specialisees dans le terrorisme urbain.

Jusqu’a la seconde guerre mondiale malgre une mise hors-la-loi nominale de l’ORIM en Bulgarie, en 1934 s’instaure une routine d’attentats et d’operations de represailles, facon Irlande du Nord.

En 1941, la Macedoine est encore une fois redecoupee : conquise par Mussolini, l’Albanie herite de la region de Tetovo, en gros le quart nord-ouest du pays, a majorite albanaise.

La Bulgarie rafle tout le reste.

Jusqu’a la fin de la seconde guerre mondiale, « Vantche » Mikhaloff, refugie a Zagreb avec l’etat-major des « independantistes » et, protege par Ante Pavelitch, fait jouer aux Comitadjis le role d’une milice favorable al’Axe.

Ses troupes sont engagees dans les campagnes antipartisanes lancees par les nazis, les fascistes et leurs allies locaux.

Quelques unites de Comitadjis rejoignent cependant les partisans.

Ecrasee militairement, ses unites souvent massacrees apres la capitulation nazie,l’ORIM cesse en 1945 de representer une force dans des Balkans desormais communistes.

Renaissance d’une ORIM « paramilitaire »

En juin 1990, l’ORIM, qui se serait reconstituee secretement des 1980, reapparait a Skopje en tant que parti politique VMRO

La democratie etant desormais hegemonique sur l’echiquier ideologique, l’ORIM-VMRO est naturellement democratique et la valse-hesitation d’avant-guerre entre communisme et fascisme passee pudiquement sous silence.

Mais au printemps de 1992, des nouvelles inquietantes proviennent de Macedoine-Skopje :

l’ORIM-VMRO annonce la creation d’un « Comite de securite », distinct de l’armee macedonienne d’ailleurs inexistante pour l’instant

Deux de ses dirigeants, Blagoje Siljanovski, maire de la ville d’Ohrid et Nikola Veljanovski, presentent ce « comite de securite », comme un organisme paramilitaire ayant des sections dans toutes les villes et villages de Macedoine-Skopje et au total +/- 100000 militants.

« Notre comite a cree des forces speciales comme le fameux Corps de securite des Balkans qui seront responsables de la securite de la Macedoine-Skopje.

De tels corps existent des a present dans toutes les mairies et offrent leurs services et leur appui aux autorites locales en matiere de securite ».

Dans leurs interviews, Siljanovski et Veljanovski indiquent en outre que leurs Comitadjis sont presents « partout dans les Balkans ou se trouvent des slavomacedoniens », notamment en Bulgarie et en Grece ; mais aussi en Serbie, en Albanie, en Europe occidentale, aux Etats-Unis et au Canada.

Puis viennent les menaces : nous sommes prets a tout, disent-ils, pour imposer une Macedoine independante et neutre.

Si besoin est, « nous ferons usage d’autres moyens, meme d’actes de terrorisme pour attirer l’attention de l’Europe ».

Veljanovski precise quand meme que ces methodes viendront a l’ordre du jour apres epuisement des recours politiques et diplomatiques.

S’agit-il la de songes creux ? De vantardises emanant d’un groupuscule d’excites irresponsables- ?

Il ne le semble pas.
Ces propos ont ete tenus par le maire d’une grande ville et complaisamment reproduits sur plus d’une page par un grand organe de presse de Skopje.

Et ce qui precede permet de voir que cette vocation terroriste de l’ORIM-VMRO releve de tout, sauf de la generation spontanee...

Moins graves que ces menaces proprement terroristes, mais preoccupante quand meme,la transformation de la Macedoine-Skopje en plaque tournante de tous les trafics

Pour ce qui est du VMRO {ORIM en francais}

Aller voir un de mes ancien sujet

http://www.info-grece.com/agora.php?rea…

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Wed, 11/28/2007 - 18:58 Permalink
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alex

In reply to by alex

La langue slavomacedonienne a une double racine

1- l’argumentation bulgare : les slavomacedoniens parlent bulgare.

« La population qui vit en Macedoine du Vardar parle le plus pur bulgare ». (Verkovic, 1867 cite par Mojsov)

« La science moderne a definitivement admis que les Slaves de Macedoine du Vardar sont des Bulgares et que leur langue est un dialecte bulgare ». (Derjavine, 1918, )

Tout point de vue n’est pas si extreme, on trouve des affirmations plus nuancees dans chaque camp :

« Au point de vue philologique, la langue des Slaves de Macedoine se rapproche par ses traits caracteristiques plutot du bulgare que du serbe, quoiqu’elle represente un groupe de dialectes locaux qui different quelque peu les uns des autres et qui, en general, forment quelque chose de moyen entre le dialecte serbe ekavien et le bulgare oriental proprement dit. C’est pour cela que j’ai classe les Slaves de Macedoine parmi les Bulgares ». (Niederle, 1909, cite par Derjavine, 1918)

2- l’argumentation serbe : les slavomacedoniens parlent serbe, ou un « dialecte indifferencie ».

La these que la langue des slavomacedoniens est un dialecte serbe est soutenue par le livre de Jastrebov, consul de Russie a Skopje : Chants et coutumes des Serbes de Turquie (Saint Petersbourg), 1886, qui affirme que les chansons et coutumes de Macedoine sont purement serbes et proclame serbe la population slave de Macedoine en se fondant sur sa langue et son ethnographie.

Cette these est egalement a la base de tous les travaux du linguiste serbe A. Belic’ (1876-1960).

Le point de vue du geographe serbe J. Cvijic (1865-1927) est plus nuance : les Slaves de Macedoine sont « neutres au point de vue national ». Cette indifference ontologique leur permettrait d’acquerir facilement la nationalite serbe ou bulgare en fonction de l’Etat dans lequel ils seraient incorpores. Cette position de Cvijic, qui a d’ailleurs beaucoup evolue, merite d’etre relevee, car dans le discours des autres « propagandes nationales » on a souvent l’impression qu’une population qui n’a pas de conscience nationale definie n’existe pas.

3- L’argumentation « macedoniste » : le slavomacedonien n’est pas une partie du bulgare ou du serbe, mais une totalite de meme rang.

« Dans la Macedoine du Vardar telle que nous la concevons, il existe deux, ou plus precisement trois dialectes slaves modernes : le bulgare, le serbe et le dialecte slavomacedonien proprement dit, qui comprend de nombreux sous-dialectes et parlers, tout a fait caracteristiques. » (Draganov : Izvestija 1887, cite par Mojsov )

Pour les « macedonistes » la mise en cause du nom de « bulgare » est d’autant plus vehemente qu’elle ne semble pas aller de soi. En 1903 un historien slavomacedonien ecrit :

« En Macedoine du Vardar, le nom de bulgare n’est nullement une denomination nationale, et c’est pourquoi aucun slavomacedonien n’a le droit d’y recourir pour exploiter les interets slavomacedoniens. Rien ne peut justifier que les Bulgares l’invoquent pour s’immiscer dans nos propres affaires. Si mon pere, mon grand-pere et mon arriere-grand-pere se disaient Bulgares par ignorance, cela ne signifie pas que je me trouve, moi aussi, dans cette meme ignorance a propos de ma nationalite ». (Misirkov, 1903, cite par Mojsov )
La position neutre : les linguistes ne font pas de politique.

Deux sous-ensembles se dessinent :

1 : la question de l’appartenance du slavomacedonien au bulgare ou au serbe a un sens, mais n’a rien a voir avec l’appartenance nationale des populations.

Le linguiste Vatroslav Oblak publie a Vienne en 1896 un livre dans lequel il s’insurge contre le role que les politiciens voudraient imposer aux philologues et aux linguistes pour servir leur propre propagande nationale a l’egard de l’appartenance nationale des slavomacedoniens :

« Du point de vue philologique, la question est ainsi posee : en vertu de leurs principales caracteristiques, les divers dialectes slavomacedoniens sont-ils en relation etroite avec les dialectes du groupe dialectal bulgare ou serbo-croate ? Si les slavoacedoniens ont le sentiment d’etre Bulgares ou Serbes, c’est a eux qu’il revient de resoudre le probleme, et ce n’est pas un sujet d’etude pour la philologie slave ». (Oblak, 1896)

Le linguiste croate Vatroslav Jagic’ (1838-1923) commente le recueil pro-serbe du consul russe Jastrebov, dont il a deja ete question, dans sa revue Archives, t. XIII, 1890. Il fait remarquer qu’au point de vue de la langue les chants figurant dans le recueil de Jastrebov peuvent etre consideres tantot comme serbes, tantot comme bulgares (slavomacedono-bulgares), mais qu’en meme temps il y en a qui peuvent etre consideres comme etant rediges dans un dialecte de transition entre le serbe et le bulgare, ou plutot dans un dialecte mixte bulgaro-serbe, caracterise par une predominance de traits serbes au point de vue

lexicologique et phonetique, et en meme temps par des formes de construction qui denotent ses liens avec le bulgare. Jagic’ est sceptique : meme de bons textes provenant d’un aussi grand nombre d’endroits que possible ne pourraient resoudre la question de savoir a qui appartient la Macedoine du Vardar, ou plutot a qui elle devrait appartenir ; car « un philologue sense ne saurait meme y penser ». D’apres lui, cependant, sur la base de materiaux certains, un philologue serait au moins en etat de se faire une juste idee des rapports de parente et autres entre slavomacedoniens et Serbes d’une part, en entre slavoacedoniens et Bulgares de l’autre, ce qui permettrait a la philologie de contribuer tout au moins a la solution. Il note :

« On ne peut vraiment croire que la haute politique fondera ses decisions sur les donnees de notre science, qui n’est pas, malheureusement, d’une autorite suffisante pour calmer les passions humaines. Il serait toutefois bien desirable que les etudes linguistiques dans la peninsule balkanique soient poussees si loin qu’on ne puisse au moins plus se servir comme moyen d’agitation de la langue parlee dans certains endroits. Tout cela ne veut pas dire que le sort d’un pays doit reposer sur une base philologique. Nous voulons bien ne pas intervenir dans les questions politiques, mais nous demandons aussi de ne pas faire violence a notre science, et de ne pas exiger d’elle de servir a des buts de propagande ». (cite par Derjavine, 1918)

2 : la question n’a aucun sens meme au niveau purement linguistique, car on est en presence d’un continuum, et que chaque fait dialectal a une repartition propre.

Le meme Jagic’, dans un travail ulterieur visant a demontrer l’unite de tous les dialectes yougo-slaves (ce qui incluait, a l’epoque, le domaine bulgare), constate que certains phenomenes linguistiques se suivent regulierement et consecutivement sur tout le territoire slave du sud, d’un bout a l’autre. Il presente ses conclusions dans l’image d’une chaine dont les divers chainons representeraient les divers dialectes ; l’endroit ou ces chainons se croisent entre eux, formant la fin d’un groupe de phenomenes et en meme temps le commencement d’un autre est appele par Jagic du terme de Ubergangsdialekte : dialecte de transition (Jagic, 1895, p. 47). Cette terminologie elle-meme a toute son importance : un « dialecte de transition » chez Jagic n’est pas la meme chose qu’un « dialecte melange » chez Belic : dans un melange il y a l’idee d’impurete, d’indecision entre deux blocs eux-memes censes etre homogenes.

Enfin A. Meillet, dont l’autorite fut grande parmi les decideurs du Traite de Versailles, a egalement une opinion d’une extreme prudence :

Bien des discussions qui se sont elevees sur les limites de telle ou telle langue sont vaines. On en apercoit la vanite quand on sait que les « dialectes » n’ont pas de limites definies, et qu’il n’y a de limites exactes que de chaque fait linguistique en particulier. [Si les politiciens ont reclame les parlers de la Macedoine du Vardar pour un tel ou tel groupe, les linguistes desinteresses ne peuvent que reserver leur opinion. En realite, ces parlers n’appartiennent en propre ni a l’un ni a l’autre des deux groupes qui se les disputent. Et, meme si les donnees linguistiques avaient une nettete qu’elles n’ont pas, la ressemblance particuliere avec l’autre groupe n’aurait rien de decisif. Il est pueril de faire intervenir la linguistique dans des questions de frontieres de cet ordre. C’est la politique qui decidera de l’avenir linguistique de la Macedoine du Vardar. (Meillet, 1928 )

Sur le territoire de l’actuelle Macedoine du Vardar, la langue officielle fut entre 1912 et 1918 le bulgare, entre 1918 et avril 1941 le serbo-croate, entre 1941 et 1944 le bulgare a nouveau. Cela n’a rien change au fait que les dialectes locaux n’etaient ni l’un ni l’autre. Entre 1912 et 1945 les slavomacedoniens firent partie d’Etats qui imposaient une langue nationale unique. Les slavomacedoniens du Vardar passent alternativement des mains des Serbes a celles des Bulgares, ils recoivent donc un enseignement alternativement en serbe et en bulgare. Ils devaient meme adapter leur nom de famille, une meme personne s’appelant alternativement Dimiskov ou Dimiskovic’ en fonction de la langue officielle de l’Etat dont faisait territorialement partie la Macedoine (cf. Garde, 1992).

Dans ce cas precis, la limite entre le donne (le continuum dialectal) et le construit (la langue normee) est floue, etant elle-meme objet de negociation, de reinterpretation constante, de reappropriation symbolique. Cela n’a aucun sens, en effet, de comparer « les » dialectes slavomacedoniens et « les » dialectes bulgares, puisqu’ils forment un continuum. C’est la frontiere d’Etat qui fait dire qu’on a un dialecte bulgare ou un dialecte macedonien

En revanche on peut comparer le macedonien norme (makedonski literaturen jazik) avec le bulgare norme (balgarski knizoven ezik), qui forment chacun un code homogene et unique

La langue normee introduit une discontinuite nette dans le continuum dialectal. Mais cette discontinuite est artefactuelle : c’est tel groupe dialectal qui est choisi comme base de la langue normee (ainsi pour le bulgare : les dialectes orientaux, pour le slavomacedonien : les dialectes centraux).

La langue normee est un objet construit, a l’issue d’une operation metalinguistique de separation entre le correct et l’incorrect. Ainsi, la decision de creer une langue normee officielle slavomacedonienne date tres exactement de 1943, quand Tito et ses partisans decident de transformer la Yougoslavie en une federation de nations. La base de cette langue slavomacedonienne normee etait le dialecte central, ou l’influence serbe et bulgare se faisait le moins sentir (il s’agissait d’une solution mediane, de compromis).

L’existence officielle de la nation slavomacedonienne est proclamee en aout 1944, date a laquelle « le slavomacedonien » - derive du dialecte slave parle aux environs de Prilep, a 70 km au sud de Skopje - devient la langue officielle de la republique nouvellement creee. L’operation de normalisation peut etre suivie a la trace : en 1945 on adopte une orthographe proche du serbe et eloignee du bulgare, qui n’empeche pas que la syntaxe analytique soit fort proche du bulgare, en 1946 parait la premiere grammaire scolaire slavomacedonienne.

LA CONCLUSION EST SIMPLE LE SLAVOMACEDONIEN EST UN DIALECTE BULGARE SERBISE EN 1943 ET LA CREATION NOMINATIVE OFFICIEL DE SON PEUPLE EN 1944 ET L ARYM n a jamais constitue une entite etatique specifique avant 1991
ET VOICI LA REPONSE DE POLTICIENS SLAVOMAVEDONIEN SUR L HERITAGE GREC DE LA MACEDOINE ANTIQUE

February 26, 1992 : The FYROM’s President Kirov Gligorov, at an interview by the Foreign Information Service daily report, Eastern Europe, stated : "We are Slavs, who came to the region in the sixth century. We are not descendants of the ancient Macedonians.

January 22, 1999 : The FYROM’s Ambassador in Washington D.C., Mrs. Ljubica Acevska, gave a speech on the present situation in the Balkans, she stated : "We do not claim to be descendants of Alexander the Great. We are Slavs and we speak a Slavic language. Greece is The FYROM’s largest trading partner and its number one "investor."

February 24, 1999 : The FYROM.’s Ambassador to Canada, Gyordan Veselinov, in an interview with the "Ottawa Citizen", he admitted : "We are not related to the northern Greeks who produced leaders like Philip and Alexander the Great. We are Slavs and our language is closely related to Bulgarian. There is some confusion about our identity."

December 29, 2001 : In an interview to Utrinski Vesnik of Skopje, the Foreign Minister of The FYROM Slobodan Casule said that he mentioned to the Foreign Minister of Bulgaria Solomon Pasi that they “belong to the same Slav people.”

SI CERTAINS DE LEURS GRANDS POLITICIENS SONT D ACCORD AVEC NOUS POURQUOI CONTINUEENT ILS LEUR FARCE ????

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Wed, 11/28/2007 - 18:59 Permalink
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alex

In reply to by alex

Sujet : La voix slavo-macedonienne LA PARTIE D’EGEE DE LA MACEDOINE AU COURS DE LA GUERRE DE LIBERATION NATIONALE
(1941-1945)
Apres la capitulation de la Grece (1941), la partie d’Egee de la Macedoine est partagee entre la Bulgarie, l’Italie et l’Allemagne. L’occupant bulgare s’efforce a attirer la population macedonienne par la formation de troupes pour la lutte avec des forces nationalistes grecques et a elargir ses apropriations territoriales a la Macedoine d’Egee entiere, tandis que les Grecs - et la gauche (PCG, EAM,ELAS) et la droite - veuillent sauvegarder l’integrite territoriale grecque acquise en 1913 et en 1919.
Dans les circonstances de l’occupation fasciste, les Macedoniens s’inserent activement a la Guerre de liberation nationale et antifasciste, mais avec des aspirations tres diversifiees : depuis le programme national macedonien maximaliste ayant pout but l’union de la Macedoine jusqu’au programme national minimaliste, c’est-a-dire le respect de droits minoritaires des Macedoniens en Grece qui coincide avec la politique du PCG. La realisation du programme national maximaliste est empechee par le PCG et EAM et les Macedoniens peuvent se battre uniquement pour la realisation du programme minimaliste, dans le cadre du PCG et d’EAM-ELAS.
Au cours de la GLN, les Macedoniens forment leurs propres organisations militaires-politiques. En 1942, dans la region de Voden est formee l’Organisation antifasciste macedonienne (OAM) et en 1943 dans la region de Kostour et de Lerine, le Front de liberation slavo-macedonien (FLSM).
Parallelement a ceux-ci, on constitue aussi des formations militaires macedoniennes : le detachement "Lazo Trpovski" (1943), le bataillon de Kostour-Lerine "Gotse" et le bataillon macedonien de la region de Voden (juin 1944). En 1944 est formee la Premiere brigade egeenne qui participe aux luttes finales pour la liberation de la Macedoine federale.
Pendant la guerre, les Macedoniens reussissent a affirmer leurs valeurs nationales-de culture.
On publie des journaux macedoniens : "Sloveno-makedonski glas" (La voix slavo-macedonienne), "Pobeda" (La victoire) etc.
On ouvre les premieres ecoles macedoniennes, on organise des cours pour la formation d’instituteurs et on publie l’abecedaire et le livre de lecture.
La langue macedonienne est introduite aussi dans la liturgie. Les societes culturelles macedoniennes presentent le folklore macedonien. On joue aussi la piece de theatre "Les noces sanglantes macedoniennes".
En 1945, tous ces droits sont abolis de nouveau par les autorites grecques qui continuent leur politique traditionelle de denationalisation et d’assimilation du peuple macedonien de la partie egeenne de la Macedoine
du site propagandiste de Soros

http://www.soros.org.mk/archive/francus…

Voila un texte de propagande d un site slavomacedonien de Soros et que voyons nous ici mes amis
Front de liberation slavo-macedonien (FLSM) et le journal de "Sloveno-makedonski glas" c est a dire La voix slavo-macedonienne

Mais pour avoir le coeur net que ce n etait pas une mauvaise traduction en francais ,j ai ete sur ce site pour voir la version anglaise et qu ai je decouvert sur ce lien

http://www.soros.org.mk/archive/G07/A07…
the Slavo-Macedonian National Liberation Front (SNOF) et The Macedonian newspapers "Sloveno-makedonski glas" ("The Slavo-Macedonian Voice

La je me suis dit qu il y a peut etre une mauvaise traduction anglaise concernant ce sujet alors je suis retourner voir sur ce site la version slavomacedonienne

http://www.soros.org.mk/archive/G07/mar…

Et qu ai je decouvert sur ce lien
Sloveno-makedonskiot narodnoosloboditelen front (SNOF) et "Sloveno-makedonski glas"

Et apres ca ils nous disent que nous sommes raciste avec eux quand on les designe comme slavomacedonien alors que c est eux qui l aviez utiliser pour ce definir a l epoque

Ca vient de leur propagande et c est eux qui le signent de plus

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Wed, 11/28/2007 - 19:01 Permalink

L homme qui voulu etre roi et veut devenir la conscience du monde

Soros et la Fyrom, un roman d amour platonique 1992-1995

Nulle part Soros n avait mis tant d’energie et d’argent pour soutenir un gouvernement comme celui de la Fyrom.

« George est le sauveur de la Macedoine, » a declare son ami Morton Abramowitz .

Le representant slavomacedonien a Washington de l epoque, Ljubica Acevska, indiqua que Soros a donner deux prets de vingt-cinq millions de dollars,dont l un etait pour l achat de petrol

Les « gens ont eu difficile a croire,’aucun pays ne nous aide pas — pourquoi est-ce qu’un individu nous aiderait ? ’Rappelez-vous, vingt-cinq million de dollars pour la Macedoine c est comme des milliards ici. ....

Le geste que Soros avait beaucoup aider le gouvernement de la Fyrom a l epoque du blocus grec .

Comment tout a commencer ?

En 1992 et 1993, le gouvernement de Gligorov avait publie de nouveaux manuels scolaires qui montraient « des frontieres ethniques geographiques » englobant toute la Macedoine grecque ; le drapeau du pays portait le symbole de l’empire de Alexandre le grand ; et un preambule a sa constitution 1991 mettait en gage a protegez les slavomacedoniens partout ou ils se trouvent.

C’etait la situation quand Soros est arrive a Skopje, la capitale de la Fyrom, en septembre 1992.

Il etait venu directement de Bulgarie, ou on lui avait donne l’avis bulgare concernant cette identite fabriquee aux aspirations irredentistes legue par Tito.

« Soros ne conaissait rien au sujet de la Fyrom , » avait dit Acevska . « Quand il est arrive, sa tete etait rempli de propagande venant Bulgarie — il etait probablement desole qu’il ait ete ici.

Alors il a eu une reunion avec le president et pris le dejeuner avec lui et il a change d’avis.

Sa politique qui suivit cette decision fut si "JE FRAPPE la dure realite , l’illusion vivra"

Il dit, ’si je depense assez, je reprend le droit avec moi. ’« Si je suis avec les "bon-type",il faut creer les "mauvais-type", Les Grecs sont devenus les mauvais types.

Il n’a jamais ete en Grece pour comprendre la vue grecque a ce probleme.

Resultats les fondations (de Soros) exempts d’impots qui recoivent des contributions deductibles de l’impot , les fondations de Soros, selon I.R.S. regnent et ne sont pas supposes a s engagez sous des formes d’activite politique.

Soros, comme il a fait souvent dans sa vie financiere, se deplace agressivement sur un secteur difficile, Soros n’a cache aucun secret sur sa volonte de soutenir Gligorov, meme dans le contexte d’une campagne electorale.

En novembre de la meme annee, Gligorov et sa coalition avait gagne une majorite suffisante (dans l’election que les deux partis principaux d’opposition avaient ete exclu).

Ljupco Georgievski, chef de la droite de l’opposition V.M.R.O. , avait declarer que les fondations de Soros sont « une machine de soutien au gouvernement. »

Pratiquement toutes les concessions faite a ses fondations,rajoute t il , sont associes d’une maniere quelconque a la partie regnante.

Se rapporter une station de television, A1, qui recoit l’appui de Soros, Georgievski dit, « il est vraiment une alternative dans sa programmation culturelle ; cependant, dans la politique. on voit que les ministres du gouvernement actuel plus souvent que sur la television d etat .

« Marshall Harris, qui etait autrefois dans le State Department et est maintenant directeur executif du Conseil d’action pour la paix aux Balkans ( l’organisation a commence en 1993 avec Soros ), dit « des plaintes J’en ai entendu beaucoup — que [le gouvernement de Gligorov] refuse l acces aux medias a tout les autre partis et favorisent ceux de sa propre coalition, les informations sur des negociations [dans le conflit avec la Grece] on toujours ete garde sous un top secret.

« Puisque en 1992, Soros avait incite agressivement en faisant un lobbying pour la reconaissance nominative de la Fyrom, alors que la Grece avait fait le cas que la reconaissance nominative ne devait donner des concessions aux slavomacedoniennes sur le nom, le drapeau, et sa constitution.

Le President Clinton avait convenu de reconnaitre la Macedoine sous le nom de l’ancienne Republique yougoslave de Macedoine — une tentative de ne pas montrer de prejudice a l’un ou l’autre cote.

La Grece avait exerce des represailles avec un embargo, et Clinton, apres avoir rencontre des representants Greco-Americain avaient essentiellement prit la decission de geler le probleme de cette reconaissance onomastique.

A la conferences de Bretton Woods a Washington, Soros avait travaille dans les coulisses assidument, essayant de persuader des membres de l Union europeenne d aider la Fyrom. (La Grece, qui avais alors la presidence de l’E.U., avais mis un veto n’importe quelle aide.)

Ce n etaient pas les seuls efforts que Soros avaient fait a l epoque.

Le Conseil des fondations de Soros pour La paix dans les Balkans avaient lance un effort plus important pour la Fyrom.

En fevrier 1994, elle a publie un « livre blanc de la Macedoine, » une publication soutenant la position la Fyrom vis-a-vis de la Grece, et qui fut distribue a la Maison Blanche,aux bureaux des Cabinets ministeriels, aux congres, et a une centaines de personnalitees des medias.

Plusieurs mois plus tard, en mai, il a publie un autre rapport, qui a egalement soutenu la Fyrom.

Que voulait Soros en Fyrom ?

Simplement etre incontournable en controlant le monde politique et les medias, etre le representant du gouvernement de la Fyrom dans la crise des balkans et etre le seul adversaire de ces investisseurs grecs colonialistes.

A cette epoque George Soros etait le proprietaire d’une republique bananiere nomme FYROM

C est lui qui a diaboliser la Grece dans tous les media occidentaux concernant cette bataille nominative

Sa fondation etait l etat dans l etat

Pourquoi a t il perdu le controle de cet etat ?

En 1995 ,les Grecs etaient devenues legerement plus flexible concernant la nomination finale de la Fyrom

Soros decida de faire accepter a Gligorov ,le nom de SLAVOMACEDOINE ou NOUVELLE MACEDOINE

Soros, c etait transforme en dictacteur et somma Gligorov d accepter, mais un homme d affaire n est pas un politicien, surtout pas un politicien de la trempe de Gligorov

Gligorov,"le renard des Balkans",ayant une experience politique de plus de 50 ans ayant survecu a toutes les crises de cette region et apparachnik titiste et cela depuis 1945 en etant un des participant a la seance et les decisions prises a l’ASNOM (Assemblee anti-fasciste de liberation nationale de Macedoine)
ASNOM etait l assemblee qui creaa la Fyrom

Gligorov remercia Soros pour service rendu et le ballaya de toute implication dans les affaires du pays

C est a ce moment la que le parti de Gligorov pactisa avec l ennemi grec en favorisant les investisseurs grecs sur le marche de la Fyrom en acceptant corruption sur corruption,

Pour Gligorov, il y avait un ennemi plus dangereux que les grecs sur son sol, l imperialisme americain dont Soros etait le chef de file qui oeuvrait a une demembration de la Fyrom

Ce qui failli arriver en 2001, sauver a la derniere minute par ces deux " faux ennemis", la Grece et la Bulgarie

La fondation Soros est toujours presente en Fyrom ou elle est un acteur de nuisance envers la Fyrom

Elle soutient les droits des minoritees albanaise et rroms sur le territoire de la Fyrom

La pieuvre des fondations Soros sont partout dans les Balkans et dans l ex URSS et ont fait partit a bon nombre de manipulation et de revolution de couleur comme celle d Ukraine et de Georgie

Soros avait soutenu Bush pere et soutien Junior actuellement dans ses politiques militaro-imperialistes dans le monde

Le journal The Nation a recemment revele que c’est George Soros, via les societes Harken Energy et Spectrum 7, qui, en 1990, sauva George W. Bush de la faillite en epurant ses dettes.

Interroge a ce sujet par le journal, il a declare avoir agit ainsi pour s’acheter « de l’influence politique »

A voir aussi sur ce site
http://www.antiwar.com/justin/j031901.h…

A voir aussi sur ce site concernant les fondations Soros dans le monde
http://www.soros.org
Et chercher aussi sur Michel Rocard

Michel Rocard est ancien Premier ministre socialiste francais (1989-1991). Il est depute au Parlement europeen. Proche de George Soros, il est administrateur de l’International Crisis Group. Il est membre de la Commission independante sur la Turquie mis en place par le British Council et l’Open Society Insitute de George Soros.

Ou sur l ancien president de Finlande
Martti Ahtisaari est fondateur et president du Conseil d’administration de la Crisis Management Initiative. Il est president du conseil d’administration de l’International Crisis Group et membre du Conseil d’orientation de l’Open Society Institute de George Soros. Il a ete envoye special de l’ONU en Bosnie Herzegovine. Il est president de la Commission independante sur la Turquie mis en place par le British Council et l’Open Society Insitute.
Sachant le role qu a joue Michel Rocard dans les accords a Ohrid et de Martti Ahtisaari sur le statut du Kossovo, vous voyez qui a beaucoup de pain sur la planche

Sans parler des ONG, Human Rights Watch et l’International Crisis Group
Outre l’Open Society Institute (OSI), qui est present dans une cinquantaine de pays, George Soros a cree ou finance diverses associations et fondation de premier plan, tel que Human Rights Watch et l’International Crisis Group.
Human Rights Watch (HRW) a ete l’une des organisations qui a le plus documente les crimes attribues a Slobodan Milosevic, justifiant ainsi l’intervention de l’OTAN contre la Serbie. Une large partie des imputations de cette association n’a pu etre confirmee a ce jour par le Tribunal penal international pour l’ex-Yougoslavie.

L’International Crisis Group (ICG) a ete cree en 1994 comme organisation diplomatique non-gouvernementale, sous la presidence du senateur democrate George Mitchell (qui donna son nom au rapport du meme nom sur la question israelo-palestinienne). D’abord actif au Burundi, au Nigeria et au Sierra-Leone, l’ICG s’est rapproche de l’OTAN a propos de la Yougoslavie. Il est aujourd’hui preside par Martti Ahtisaari, l’ancien president finlandais qui fit mine de negocier avec Milosevic pour empecher la guerre. Son conseil d’administration ressemble a un bottin de personnalites atlantistes. Aux cotes des anciens conseillers nationaux de securite Richard Allen et Zbigniew Brzezinski, on trouve le prince koweitien Saud Nasir Al-Sabah, l’ancien procureur du Tribunal penal international pour l’ex-Yougoslavie Louise Arbour, ou l’ancien commandeur supreme de l’OTAN pendant la guerre de Yougoslavie le general Wesley Clark. Quelques relations financieres comme l’ex-president philippin Fidel Ramos ou l’oligarque russe Michail Khodorkovsky, tous membres du Carlyle Group.

Figurent aussi des personnalites francaises : Simone Veil, presidente du memorial de la Shoah, et la journaliste Christine Ockrent, epouse de l’ex-gouverneur du Kosovo Bernard Kouchner.

En 2001, George Soros a cree le Democracy Coalition Project (DCP) charge d’animer le forum non-gouvernemental en marge des sommets de la Communaute des democraties organises par le departement d’Etat etats-unien.

Pour finir sa vision du monde, il cite :
« OUI, J’AI UNE POLITIQUE ETRANGERE : MON OBJECTIF EST DE DEVENIR LA CONSCIENCE DU MONDE. »

Et dernier nouvlle de cette annee non seulement ils divisent en Fyrom mais il le fait aussi concernant les peuples albanophones en incitant a la reconaissance de difference entre albanais d albanie et entre Kosovar

Ses Ongs au Kosovo sont entrain d etablir une gramaire kosovare qui sera differente que celle d Albanie

Coup qu il a deja reussis au Montenegro ou le dialecte montenegrins c est completement differencier a celui du Serbe

Et de plus il traduit en plusieurs langues bon nombres de torchons fasificateurs dans les langues balkaniques et turcs comme les bouquins d un vieux decorateur illumine

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Wed, 11/28/2007 - 19:04 Permalink
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alex

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Les propagandes slavomacedoniennes disent que la Grece ne s est offusque qu a partie de 1991

Voila quelques archives d epoque qui disent le contraire

Traduction d un extrait d une archive de RADIO FREE EUROPE concernant la visite de Tito a Athenes du 10 au 13 mai 1976
La visite de Tito a Athenes peut egalement etre regardee comme une autre etape dans la direction d’encourager la paix et la cooperation dans les Balkans.
Apres que la visite de Ceausescu a Athenes (le 26 au 29 mars 1976) qui a ete suivi de pres la visite de Todor Zhivkov (le 9 au 11 avril 1976), la visite de Tito avait pour but d eclaircir quelques questions qui avaient cree certain degre de dissonance dans les relations entre Athenes et Belgrade.
Tandis qu’en Grece, Todor Zhivkov — selon les commentaires de la presse yougoslave — « est alle plus loin que n’importe qui en essayant de nier l’existence de la nation macedonienne. « Pour lui, « Macedoine est simplement une idee geographique et rien plus. « cette formulation est plus ou moins identique aux vues grecques, un fait que les commentateurs de la presse yougoslave ont soigneusement evite de mentionne.
Voir sur ce site voir ICI

http://www.osa.ceu.hu/files/holdings/30…

Ou

une autre Archive d epoque
Traduction en Francais d un extrait d une archive de radio free europe dont le titre est :
Yugoslav Leaders Attacked Bulgaria and Greece for Their Attitude to Macedonians du 6 octobre 1960
Kardelj a lui-meme parle egalement au sujet de la question macedonienne.
Remise a l ordre du jour cela par « quelques cercles etrangers ou il y a une discussion sur la question : y a-t-il un peuple macedonien ou pas ? « , Kardelj dit : « Cette discussion ne nous derangerait pas, si derriere elle d’autres actions ne sont pas cachees, qui offenseraient non seulement les macedoniens, mais nuiraient egalement les relations parmi les pays balkaniques.
Voir ICI

http://files.osa.ceu.hu/holdings/300/8/…

Juste pour dire que la Bulgarie et la Grece n ont jamais change leur politique envers les slavomacedoniens depuis 1945
Ici nous avons des archives datant de 1976 et de 1960 si vous voulez d autre archives anterieures ou il est indique que la Grece et la Bulgarie unaniment descreditent les theses identitaires slavomacedoniennes et qui fait debat meme au sein de l ONU de l epoque faite moi signe

Je suis a votre service

Et aller voir sur cette archive comment la langue slave des slavomacedoniens est devenus en 1971 langue federale de la Yougoslavie par trahison russe envers leur allies bulgares

YUGOSLAV-SOVIET CONTROVERSY OVER MACEDONIAN LANGUAGE

Venant de ce site voir ICI

http://files.osa.ceu.hu/holdings/300/8/…

Initialement il y avait en effet dans ces six republiques, cinq nationalites reconnues (Narodi) : les Slovenes de langue slovene et de religion catholique, les Croates de langue serbo-croate et de religion catholique, les Serbes et les Montenegrins de langue serbo-croate et de religion orthodoxe ou musulmane, et les Macedoniens de langue bulgare et de religion orthodoxe

Ce qui est marrant que ces sites d archives sont aussi des sites des fondations de Soros qui repertorie ces archives

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Wed, 11/28/2007 - 19:08 Permalink
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alex

In reply to by alex

Il y a peut-etre plus de 350.000 slavomacedoniens en Albanie ???

La situation difficile pour les slavomacedoniens en Albanie est deja connue .

Le chiffre des slavomacedoniens en Albanie reconnu parle gouvernement continue de presenter de maniere irrealiste leurs nombres.

l’Albanie reconnais sur son territoireses seulement 5.000 slavomacedoniens.

Mais nous, les organisations slavomacedoniennes en Albanie comptont 120.000 slavomacedoniens qui sont membres de nos organisations, et si nous etudions leur ensemble,il y a peut-etre plus de 350.000 slavomacedoniens en Albanie

extrait traduit de l anglais venant de ce site de fous slavomacedoniens en Albanie

http://www.macedoniansinalbania.org/new…

Cherchez bien dans ce site, il est fort revelateur de ce delir

Il y avait deja selon eux une importante minoritee slavomacedonienne fantome en Grece et en Bulgarie maintenant, ils declarent qu ils sont 350.000 en Albanie

Mais ou sont ils ??????

Et en plus ils osent affirmer un chiffre a peu pres equivalent au chiffre de la minoritee albanaise en ARYM

Les grecs en Albanie sont visibles et revendicatifs ,chose connue et reconnue par nos amis albanais
Mais ce delire slavomacedoniens d ou sorte t il ?
APRES LEUR VOLONTER DE FALSIFIER L HISTOIRE MAINTENANT ILS INVENTENT DES GRANDES MINORITEES FANTOMES PARTOUT DANS LES BALKANS

Et savez vous comment ont ils creer leur parti en Bulgarie liser cet article anglais

Sujet : Pirin Organization OMO Ilinden - Pirin facing sentence for document fraud ?
6 April 2007 | 12:28 | FOCUS News Agency

Sofia. The Bulgarian political organization VMRO will report to the Prosecutor’s office about violations, made by the unregistered organization OMO Ilinden - Pirin, the leader of VMRO Krasimir Karakachanov said in an interview for FOCUS News Agency. ‘Stoyko Stoykov’s insolence has passed any boundaries with his constant abuse of Bulgaria and we have decided to report to the Prosecutor’s office about the criminal activity of the unregistered OMO Ilinden’, Karakachanov said. On November 15 2006 the Prosecutor’s office in Sofia has requested the National Police service in Bulgaria to carry out an additional check concerning the registration of OMO Ilinden - Pirin. The check has been carried out on the territories of the regions of Blagoevgrad, Varna, Pleven, Shumen, Plovdiv, Pazadrdzhik, Sofia, etc.

The check revealed that from a total of 5,800 signatures, submitted by OMO Ilinden - Pirin :

1,168 persons never gave their permission to be included as members of this party ;
158 persons do not live on the address noted in the lists ;
2 persons are minors ;
5 persons are registered as mentally ill ;
28 persons are members of other parties ;
48 persons have been residing abroad at the time the lists were prepared ;
13 persons have died. The information has been submitted to the Prosecutor’s office.
OMO Ilinden - PIRIN is a non-government organization, which declares itself as an organization, which’s aim is to protect the rights, language and the nationality of people, living in Bulgaria, who define themselves as Macedonians.

It was registered as a political party in 1999. At the local elections in 1999, OMO Ilinden - PIRIN won two mayor’s offices in villages in Bulgaria. On February 2000 it was declared anti-constitutional by the Constitutional court in Bulgaria and banned from participation at political elections. On June 25, 2006 OMO Ilinden - PIRIN held a founding meeting in the town of Gotse Delchev. At that meeting Stoyko Stoykov was elected Chairman of the party. Journalists were not allowed to attend the meeting. According to the Bulgarian laws, in order to register a political party, it must submit 5,000 signatures in three months following its founding meeting. One day before the deadline, information appears, according to which representatives of OMO Ilinden - PIRIN were offering money to people in the Roma areas of villages to sign the subscription.
On October 31st, the court refused registration of the party, as it becomes clear that

En Grece la poigne qui se revendique slavomacedonien ont un parti qui s appelle Vino Zito dit RAINBOW

Et a participer a plusieurs elections

Voila les resultats aller les voir sur ce site

http://en.wikipedia.org/wiki/Rainbow_%2…

Le chiffre de 0.098% en 2004 fut leur plus gros score soit 6,176 votes

Aller voir tout les resultats des elections europeennes en Grece ou Rainbow-Vinozito a participer voir ICI

http://en.wikipedia.org/wiki/European_P…

Et apres ils parlent d une minoritee slavomacedonienne en Grece ,des plus risibles

Voila un site avec differents article parlant sur le meme theme qui viennent comme par hasard d une certaine ONG de Soros entre autre

http://www.ex-yupress.com/mkutvesnik/mk…

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Wed, 11/28/2007 - 19:12 Permalink

Il n est pas sain d etre president de la republique de la Fyrom et etre concilliant avec les grecs ou albanais

Mais qui voulait voir disparaitre l’apotre de la coexistence multiethnique en Macedoine

Comme dans la plupart des pays de l’Est, les ex-communistes slavomacedoniens etaient des politiciens habiles, occidentalises et quelque peu cyniques, dont l’ideologie oscillait entre le dirigisme etatique et le liberalisme.

L’attentat a la voiture piegee perpetre en octobre 1995 contre le president, Kiro Gligorov, l’attentat est advenu un jour apres la rencontre entre Gligorov et le gouvernement de Belgrade et deux jours avant la ratification, par le Parlement, des compromis avec la Grece.

L’origine de cet attentat, condamne fermement par toutes les formations politiques du pays et par les voisins, n’a jamais ete elucidee ; ce qui est sur, c’est que Gligorov, miraculeusement remis apres une operation "teleguidee" par des chirurgiens occidentaux eminents, a su reaffirmer son role d’unique garant de la paix dans le pays jusqu a la fin de son regne le 19 novembre 1999, on sait ce qui c est passe apres lui.

Acteur principal de la secession et de l’epoque de la transition, ce "renard des Balkans", elu deux fois depuis 1991 etait hautement apprecie par les Occidentaux, car il semblait avoir preserve le pays des conflits.

Cependant, Gligorov avait prefere remettre les problemes que les resoudre, promettre que tenir ses promesses. Limitons-nous aux multiples avances faites aux Albanais derriere le dos de l’opposition pour des raisons tactiques.

Or, les bombes politiques a retardement commencaient a eclater...

Que reprochaient a M. Gligorov ceux qui ont tente de l’assassiner ? Ses liens etroits avec Belgrade ou, au contraire, les distances prises avec la Serbie ? Le compromis passe avec la Grece, considere comme une trahison de la cause nationale ?

Petit recapitulatif des evenements anterieurs

le 13 septembre de la meme annee, les Grecs acceptaient de lever l’embargo en echange de deux concessions : la suppression de l’article 49 de la Constitution de la Macedoine, adoptee en 1991, selon lequel « la Republique veille a la situation et aux droits des citoyens des pays voisins d’origine macedonienne » et l’abandon du « soleil de Vergina » a seize branches sur son drapeau national _ de fait, l’embleme de Philippe II et d’Alexandre le Grand est remplace par un soleil jaune sur fond rouge depuis le 6 octobre 1995, en vertu d’un vote quasi unanime du Parlement macedonien... trois jours apres l’attentat contre M. Gligorov.

L’accaparement de l’economie par les "ex" etait accompagne de la marginalisation croissante sur le plan politique de couches entieres de la population.

Quant au VMRO-DPMNE, la force anticommuniste (et, par consequent, anti-serbe) la plus importante dans le pays avait remporte les premieres elections multipartites, apres de longues negociations, cette formation se decide d’entrer en coalition avec tous les partis de la Fyrom, y compris les ex-communsites, pour exclure les Albanais : le nationalisme l’emportait sur l’anticommunisme.

Ce compromis, ainsi que les fragmentations internes, semble a l’origine de son l’echec.

Dans un deuxieme temps, le VMRO-DPMNE rompa ses relations avec les ex-communistes en les accusant de negocier derriere son dos avec les Albanais puis Liouptcho Georguievski rend son portefeuille de premier ministre pour laisser ses adversaires former seuls un gouvernement.

Enfin, la formation boycotta inconsiderement les elections d’octobre 1994 en accusant l’Alliance pour la Macedoine au pouvoir de fraudes (par exemple l’inscription au dernier moment sur les listes de plus de 100 000 Albanais, n’ayant pas le droit de voter selon le code de la nationalite macedonienne).

Or, il n’y a plus d’opposition anti-communiste sur la scene politique ; on pouvait donc craindre que les mecontents du demi-secle de socialisme seront tentes par des moyens d’action extra-parlementaires.

Par ailleurs, les militants VMRO-DPMNE manquaient d’experience ; leur politique etait incoherente et irrealiste, marquee par des querelles internes ; leur ultranationalisme naif, exacerbe par la l’importante diaspora macedonienne en Amerique, en Australie et au Canada dont on ne saurait sous-estimer l’influence sur le pays, a decu les Occidentaux qui ont prefere comme interlocuteurs les ex-communistes, defendant, au moins sur le papier, l’idee d’un "Etat de tous les citoyens".

Voila la situation qui se presentait peu avant l attentat contre Gligorov

Signalon a nouveau qu il a eu lieu "un jour apres la rencontre entre Gligorov et le gouvernement de Belgrade et deux jours avant la ratification, par le Parlement, des compromis avec la Grece.

Que savons nous qui est contre les serbes et est ultranationaliste contre toute concesion avec la Grece ,antibulgare a l extreme et qui est anti-albanais et contre tout droit a cette minoritee, qui voit Gligorov comme l homme a abattre meme par des moyens d’action extra-parlementaires.

N oublions pas que Gligorov avait declare aussi :

February 26, 1992 : The FYROM’s President Kirov Gligorov, at an interview by the Foreign Information Service daily report, Eastern Europe, stated : "We are Slavs, who came to the region in the sixth century. We are not descendants of the ancient Macedonians
"We are Macedonians but we are Slav Macedonians. That’s who we are ! We have no connection to Alexander the Greek and his Macedonia. The ancient Macedonians no longer exist, they had disappeared from history long time ago. Our ancestors came here in the 5th and 6th century (AD)." (Toronto Star, March 15, 1992)
Une trahison pour tout nationaliste
QUI ???

Le VMRO-DPMNE

Pourquoi vouloir le liquider ?
Simplement parce qu il etait un traitre a la cause macedoniste

Aujourd hui ce parti detient le pouvoir en FYROM et nous voyons bien ou il veut en venir ???

En 2004 alors que la Grece etait proche d un accord avec la Fyrom concernant le nom ,un autre president meurt mysterieusement dans un crash d avion en Bonie ou on a jamais retrouve le corp du pilote et encore aujourd hui nous ne conaissons pas son nom ,le nom du copilote pourtant fut connu directement apres le crash

C'est essentiellement grace a sa reputation de reformiste modere que Trajkovski est choisi comme candidat du parti VMRO-DPMNE aux elections presidentielles du 14 novembre 1999, pour remplacer le president sortant, Kiro Gligorov.

Trajkovski l'emporte avec 52% des voix face a Tito Petkovski (45%).

Il etait prevu qu'il prenne le pouvoir 5 jours plus tard (le 19 novembre), mais comme les resultats sont contestes, le parlementaire Savo Klimovski assure l'interim jusqu'a ce que les partisans de Petkovski perdent leur appel un mois plus tard (decembre).

Son mandat est marque par les tensions entre les Macedoniens slaves et l'importante minorite albanaise d'ex-Yougoslavie.

La guerre au Kosovo a entraine des mois de violents combats armes entre les forces de securite slavomacedoniennes et les rebelles albanais desirant l'independance.

Bien que ses pouvoirs soient limites et son role essentiellement representatif, il arbitre les accords de paix de l'OTAN en 2001, accords qui mirent fin a la violence et empecherent une guerre civile de grande envergure en Fyrom.

Il joue le role de moderateur dans le dialogue ethnique, soutenant une meilleure integration des Albanais.

Il etait la personne cle pour resoudre le conflit.

Trajkovski est mort le 26 fevrier 2004 dans un accident d'avion alors qu'il se rendait a une conference economique en Bosnie-Herzegovine. Les controleurs aeriens perdirent tout contact avec l'avion suite a de mauvaises conditions meteo. L'epave de l'avion fut retrouvee dans une region montagneuse au Sud Ouest de la Bosnie, pres du village de Pitulja, 32 km au sud ouest de Mostar. Les huit autres passagers decederent egalement.

A bord de l'appareil, outre le president Trajkovski, se trouvaient ses conseillers Dimka Ilkova Boskovic, Risto Blazevski et Anita Lozanovska ainsi qu'un responsable du ministere des Affaires etrangeres, Mile Krstevski et deux officiers charges de la securite Ace Bozinovski et Boris Velinovski. Le co-pilote a ete identifie sous le nom de Branko Ivanovski tandis que le nom du pilote n'etait pas connu dans l'immediat.

Ce dernier extrait vient de ce site

http://deces-celebres.skynetblogs.be/po…

Pas bon d etre en Fyrom president et ouvert a des concessions que ce soit envers les albanais ou les grecs

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Wed, 11/28/2007 - 19:15 Permalink

L’ARYM ne peut en aucun cas adherer a l’UE et a l’OTAN sous le nom de « Republique de Macedoine ».

Cela etait su depuis le depart, l’ARYM elle-meme en ayant convenu : conformement a l’article 11, par. 1, de l’Accord Interimaire, la Grece « convient de ne pas s’opposer a la demande de candidature de la seconde Partie prenante (c’est-a-dire, de l’ARYM) aupres d’organisations et d’institutions internationales, multipartites et regionales dont la premiere Partie prenante (la Grece) est membre.
Malgre cela, la premiere Partie prenante (la Grece) se reserve le droit d’emettre des objections sur toute participation a ces organisations si et dans la mesure ou la seconde Partie prenante (ARYM) est mentionnee dans ces organisations ou institutions sous un nom different de celui vise au par. 2 de la Resolution 817/1993 du Conseil de Securite des Nations Unies ».

Il faut savoir de quoi on parle, comme nous le voyons la Grece decidera si oui ou non ,la Fyrom fera partie de l Otan ou de l U.E, car elle a le droit international avec elle comme ce qu elle a fait avec cette derniere avec la francophonie,il y a peu et tout ca legalement

Mais n oubliez pas que les accords d Ohrid doivent etre appliques completement et ses accords stipulent par le changement constitutionnel lui aussi le changement nominatif constitutionnel du pays et de la denomination du peuple dans son integralite dans ce pays vu que maintenant les albanais de la Fyrom sont un peuple constituant

Et on est loin du cas surtout que dernierement les slavomacedoniens ont continue la surenchere de provocations incendiaires envers leur grande minorite en interdisant le drapeau albanais sur le edificies publique ou cette minorite est majoritaire qui va a l encontre de ses accords

Sans parler qu il y a en Fyrom non pas une nationalite mais des nationalites distinctes de celle des slavomacedoniens qui non pas le droit du titre Macedonien qui sont les albanais ,turcs,serbes,rroms etc etc qui sont seulement CITOYEN DE LA FYROM pas MACEDONIEN ,ce titre ne l a que les slavomacedoniens

La constitution de la Fyrom est baser sur la constitution des nationalites de la constitution de la Yougoslavie

Un pays multiethnique ou il y a deux peuples constituants ne peut pas avoir comme nom du pays ,le nom d une des ethnies du territoire comme ce qui se passe en Belgique qui est le pays des flamands et wallons mais qui sont tous belges citoyen de la Belgique,idem en Suisse et ailleurs

C etait le cas en Yougoslavie et evidement en URSS se sera le cas aussi pour la Fyrom si elle tient vraiment a rester un pays viable

Meme si comme nous le voyons,l URSS,la Yougoslavie,la Tchecoslovaquie et actuellement c est bien partie en Belgique,un pays multiethnique constitutif en Europe a vraiment dur d avoir une perennite

Le cas de l Espagne et du Canada ont ete mis plusieurs fois en suspend mais pour combien de temps encore ??

Alors un pays immature combien a t il encore devant lui pour qu il arrive a maturite avant implosion ???

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Wed, 11/28/2007 - 19:19 Permalink

[img]http://www.mymacedonia.net/links/images…]

Voila le drapeau de la Fyrom depuis 1946 jusqu en 1991 ou la Fyrom a utiliser le soleil de Vergina pour la premiere fois

[img]http://makedonia.eu.org/images/mkd2.GIF…]

qui a ete utiliser jusqu en 1995 ou ils ont du obeir aux recommandation onusienne concernant le vol de bien d autrui en le replacant par celui ci

[img]http://www.mymacedonia.net/links/images…]

Saviez vous que l soleil de vergina a un sens

[img]http://reiki.pblogs.gr/files/67624-suno…]

Ce soleil symbolisait les douze dieux de l olympe et les quatres elements

C etait un symbole qui etait non seulement panhellenique mais de plus qui etait un symbole universel dans le monde hellenistique

On le retrouve partout en Grece

[img]http://reiki.pblogs.gr/files/67621-Heli…]

en forme d aureole sur la tete du dieu Helios sur une fresque entique

meme sur des dessins de poterie de hoplyte athenien

[img]http://www.matia.gr/7/71/7106/images/1/…]

Sana parler de la monnaie macedonienne

[img]http://reiki.pblogs.gr/files/66030-336-…]

[img]http://reiki.pblogs.gr/files/66041-Alex…]

Voila pour changer un peu concernant le probleme onomastique de la Fyrom

Amicalement

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Wed, 11/28/2007 - 19:26 Permalink
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Illyria

Dossiers intéressants en effet. On verra comment ce feuilleton va se terminer. Mais il faut souligner que tout le mal vient du communisme, que ce soit sur la Macédoine ou d'autres dossiers balkaniques. Le communisme c'est comme la radioactivité, même après sa mort il continue d'emmerder le monde. Le problème macédonien est un problème créé par des communistes, et même s'ils ne sont plus là, le problème lui il est toujours là. Le communisme c'est un poison toxique aussi pire que la radioactiovité. Et je ne dis pas bravo aux balkaniques d'avoir adopté ce poison toxique ! (td)

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Wed, 11/28/2007 - 21:38 Permalink