La conférence internationale sur Chypre qui s'est ouverte ce jeudi à Genève sonnait également l'entrée dans l'arène diplomatique multilatérale d'António Guterres.
«Une solution pour réunifier l'île de Chypre est à portée de main.» Au Mont-Pèlerin, pour l'ouverture de négociations de la dernière chance sur la réunification de Chypre, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, s'est voulu optimiste, lundi.
Les discussions, qui doivent durer jusqu'à vendredi, réunissent le président chypriote grec Nicos Anastasiades et le leader chypriote turc Mustafa Akinci. Après la neige du matin, la météo s'est dégagée pour leur ouverture par Ban Ki-moon.
Les dirigeants chypriotes grec et turc se retrouvent de lundi à vendredi au Mont-Pèlerin (VD) sous l'égide de l'ONU. Ils doivent poursuivre leurs négociations en vue d'un accord sur la réunification de l'île, divisée depuis 42 ans.
Le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, a déclaré samedi 18 juin que « la détention » en Grèce de migrants arrivés depuis l'entrée en vigueur de l'accord UE-Turquie, le 20 mars, « devrait cesser immédiatement ».
«C'est un cadeau symbolique, un outil de vie pour des milliers de réfugiés qui sont arrivés sur les îles grecques en traversant la mer Egée», a déclaré M. Tsipras en présentant l'objet au secrétaire général des Nations unies en visite à Athènes.