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Un accord unanime en Europe mais d'innombrables divisions en France. Telle est la situation provoquée par la crise grecque, sur laquelle les politiques français ont exprimé des divergences.
Après 15h de tractations, avec Paris, Berlin et Athènes en tête, le résultat "reste incertain" malgré un compromis sur les exigences reclamées à la Grèce pour rester en zone euro. Pour Manuel Valls, un "Grexit" serait un "désastre".
Invité de France Inter lundi 13 juillet, le premier ministre, Manuel Valls, a évoqué la négociation sur la crise grecque, toujours en cours à Bruxelles, la qualifiant de « longue mais nécessaire, car il ne s'agit pas seulement de l'avenir de la Grèce, mais de l'avenir de l'Europ
Manuel Valls a défendu mercredi 8 juillet devant les députés le maintien de la Grèce dans la zone euro, un "enjeu géopolitique de la plus haute importance", avertissant des conséquences "terribles" pour le peuple grec en cas de sortie de la monnaie unique.
La Grèce, encouragée par de premiers commentaires positifs, mettait la dernière main jeudi au nouveau programme de réformes avec lequel elle espère convaincre ses partenaires européens de reprendre leur aide financière et de la garder dans la zone euro.
Tout faire pour maintenir la Grèce dans la zone euro: c'est ce credo, partagé sur tous les bancs de la gauche, qu'a défendu mercredi Manuel Valls à l'Assemblée lors d'un débat sans vote sur la situation de la Grèce et les enjeux européens. Applaudi y compris par les ...
L'exercice était attendu, mais fastidieux. Les députés ont débattu pendant plus de deux heures, mercredi 8 juillet, de la crise grecque et d'une éventuelle sortie du pays de la zone euro.
Après avoir prononcé son ode au couple franco-allemand et à l'Europe, il a cédé aux réclamations des députés.
La Grèce a adressé une demande de prêt au Mécanisme Européen de Stabilité. La BCE maintient le niveau des liquidités pour les banques grecques.
Plusieurs personnalités de droite, comme Nathalie Kosciusko-Morizet et Pierre Lequiller, le réclamaient dimanche. Mardi matin, sur RTL, Manuel Valls s'est dit favorable à la tenue d'un débat sans vote à l'Assemblée sur la situation en Grèce.