On joue depuis plus de cinq heures. Le soleil a lentement tourné sur le Lenglen. Les ombres, les scénarios, les jeux se sont étirés sans que l'on s'en aperçoive. Les notions de fatigue et de temps sont omniprésentes et en même temps, elles ne veulent plus dire grand chose. Rien d'essentiel en tous cas à ce moment du match entre Stan Wawrinka et Stefanos Tsitsipas. Il ne reste que deux volontés, deux obstinations qui se font face. Personne ne veut céder: ni le Suisse, ni le Grec, ni le public qui sent qu'il vit un moment au-delà du sport.
Lire aussi: Stan Wawrinka, une proie dans les serres
Συνεχίστε την ανάγνωση στην