Il suffit de longer les quelque 17 km de l'avenue Valiye Asr, au c?ur de Téhéran, pour s'apercevoir que l'Iran a besoin de grands chantiers pour se reconstruire. Immeubles délabrés, routes défoncées, pollution atmosphérique pesante, le temps semble s'être arrêté il y a plus de trente ans. Pourtant, dans ce capharnaüm quotidien, rythmé par des kilomètres de bouchons et, ce lundi, par une tempête de neige, les Iraniens commencent à respirer. Depuis le 16 janvier dernier, qui marque la fin de longues années d'embargo international, dont les cinq dernières avec les sanctions de l'Union européenne, leur soif d'ouverture au monde est affichée et ...
Συνεχίστε την ανάγνωση στην