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«Le président de la République doit être en position de force pour pouvoir négocier»,a plaidé la coprésidente du groupe EELV Barbara Pompili, regrettant l'absence d'un vote à l'issue du débat. Crédits photo : François BOUCHON/Le Figaro
Plusieurs personnalités de droite, comme Nathalie Kosciusko-Morizet et Pierre Lequiller, le réclamaient dimanche. Mardi matin, sur RTL, Manuel Valls s'est dit favorable à la tenue d'un débat sans vote à l'Assemblée sur la situation en Grèce. «Nous proposons qu'il puisse y avoir - c'est à l'Assemblée nationale de l'organiser - un débat, si ...
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