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La Grèce n'exclut pas un soutien de la Chine et la Russie

Published in Le Figaro on
Chine et Russie entretiennent des relation étroites avec Athènes.
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Chine et Russie entretiennent des relation étroites avec Athènes. Crédits photo : ALKIS KONSTANTINIDIS/REUTERS

Athènes n'hésitera pas à tourner le dos à ses partenaires européens pour aller chercher un soutien financier ailleurs. Plus particulièrement en Chine et en Russie. C'est le message lancé par Nikos Chountis, ministre des Affaires européennes au sein du gouvernement d'Alexis Tsipras, à quelques heures de l'Eurogroupe et du Conseil européen durant lequel Athènes va tenter de convaincre ses créanciers de revoir les conditions de leur plan d'aide et de réaménager sa dette.

Nikos Chountis confirme les appels du pied des deux pays: «Il y a eu des propositions, je dirais des offres, de soutien économique de la part de la Russie juste après les élections (du 25 janvier, ndlr), de même que de la part de la Chine, en ce qui concerne une aide, des possibilités d'investissement», a-t-il affirmé. Il assure qu'Athènes n'a pas demandé ce soutien mais que ce dernier sera considéré avec un grand sérieux en cas d'échec des négociations. «Nous voulons un accord. Mais s'il n'y a pas d'accord -espérons qu'il y en aura un - et si nous voyons que l'Allemagne demeure intransigeante et veut faire exploser l'Europe, alors nous devrons recourir à un plan B», a confirmé son collègue à la Défense,...

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