Le Premier ministre Alexis Tsipras a demandé ce samedi 31 janvier dans un communiqué transmis par son bureau «du temps pour respirer». Il a assuré «ne pas chercher le conflit» avec les partenaires européens de la Grèce, notamment l'Allemagne avec laquelle le dialogue de sourds se poursuit, et internationaux. Comme il l'avait dit pendant sa campagne, il a promis de ne prendre aucune décision «unilatérale» concernant le sujet très épineux de la dette de son pays.
«Je suis absolument persuadé que nous allons bientôt trouver un accord favorable, à la fois pour la Grèce et pour l'Europe dans son entier», écrit-il dans un communiqué. Une déclaration clairement destinée à freiner l'emballement qui menaçait depuis que son gouvernement issu de la gauche radicale a pris ses fonctions mercredi.
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