
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Athènes, dimanche soir 25 janvier 2015. | AFP/ARIS MESSINIS
Les réactions politiques affluaient au lendemain de la nette victoire du parti de gauche radicale Syriza aux élections législatives en Grèce, qui veut mettre fin à l'austérité, renégocier la dette et relancer la croissance. La droite souverainiste se réjouissait du choix des électeurs grecs, en dépit de ses désaccords avec Syriza. L'extrême droite salue « l'ouverture du procès de l'euro-austérité ».
Pour le député UMP Xavier Bertrand « il ne faut pas s'étonner que les électeurs fassent un autre choix », cependant qu'il avertit que « ce n'est pas le contribuable français qui paiera à la place du contribuable grec. Vous pouvez demander des réformes structurelles mais vous ne pouvez pas demander trop et saigner un peuple ».
« GIFLE DÉMOCRATIQUE MONSTRUEUSE »
Marine Le Pen, présidente du Front national, salue « l'ouverture du procès de l'euro-austérit? avec la victoire de Syriza en Grèce et renouvelé son souhait de sortie de la France de l'Union européenne et de l'espace Schengen pour ne pas en subir les « conséquences ». « Je me réjouis de la gifle démocratique...
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