D’une frontière à l’autre : mouvement de fuites, mouvements discontinus dans le monde néo-hellénique. Présences néohelléniques dans les pays francophones ici-maintenant et ailleurs, était le thème du 20e colloque international des néo-hellénistes qui s'est tenu du 24 au 26 mai dernier à Lille le. Trois journées au programme dense avec des nombreuses participations des universités francophones.
Articulé autour de six thèmes (poésie, roman -littérature narrative et échanges littéraires, théâtre, arts plastiques et arts du spectacle, linguistique, histoire et histoire des idées) ce colloque a rassemblé cinquante six universitaires qui représentaient des universités françaises (Lyon 3, Paris IV, Paris X, Nice, Tours, Rennes 2, Marc Bloch Strasbourg II, Lille 3, l’Education Nationale Francaise et grecque, l’INALCO, l’association Phonie-Graphie), des universités grecques (Athènes, Egée, Ioannina, Péloponnèse, Université Aristote de Thessalonique), l’Intercollège-Nicosia de Chypre, les universités de Genève, de Gand, de Louvain et de Liège.
Nombre des intervenants retrouvaient en la circonstance le cadre dans lequel ils avaient effectué leurs études. Les participants à l’unanimité ont apprécié la remarquable organisation de cette rencontre par son responsable, Constantin Bobas, Maître de Conférence, et n'ont eu de cesse de le remercier pour la chaleur de l’accueil qui leur a été réservé.
La diversité et la richesse des communications et des échanges a montré la vitalité des études néo-helléniques en France et il reste à souhaiter que la publicaiton des actes du colloque, prévue pour l’an prochain trouve l'écho et la diffusion qu’elle mérite. Rendez-vous a déjà été pris à Lyon pour le prochain colloque qui aura lieu en 2009.
i-GR/NG