L'amendement, qui permet pour la première fois en Grèce l'incinération funéraire, a été voté mercredi par une majorité des députés de Nea Dimokratia, du PASOK et de Synaspismos, des députés de ces partis étant à l'origine de l'initiative.
L'amendement renvoie à un décret présidentiel fixant les lieux où seront crées des centres d'incinération avec l'accord de la municipalité ou commune et, comme s'y est engagé le ministre de l'Intérieur, Prokopis Pavlopoulos, "tout sera garanti pour que cette liberté, a présent accordée, ne devienne pas l'occasion d'une exploitation [commerciale]".
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