Παράκαμψη προς το κυρίως περιεχόμενο

Caramanlis au journal Le Monde souhaite une Grèce ‘à l'avant-garde de l'Europe’

Profile picture for user iNFO-GRECE
Από iNFO-GRECE,

Le Premier ministre grec, Costas Caramanlis, s'est dit pleinement convaincu du succès des JO d'Athènes dont le coup d'envoi sera donne vendredi par la grande cérémonie d'ouverture au Stade olympique d'Athènes, alors qu'il a déclaré souhaiter pour la Grèce une place à l'avant-garde de l'Europe. M. Caramanlis a également annoncé qu’après les JO il y aura un rééquilibrage des investissements publics au profit des régions.


Dans un dossier spécial du Monde du Week-End sur la Grèce intitulé "Periple politique et culturel dans la Grèce des Jeux olympiques", M. Caramanlis parle de la Grèce des JO, mais aussi de sa vision de l'avenir du pays au plan politique et économique au sein de la grande Europe des "25".

Interrogé sur le dossier-clé de la sécurité dans les préparatifs des JO d'Athènes, M. Caramanlis a affirmé être "tout à fait confiant". "Personne, nulle part, ne peut garantir une sécurité absolue, mais nous avons fait tout ce qui était humainement possible. D'abord, nous avons dépensé pour la sécurité quatre fois plus que Sydney, il y a quatre ans. Cela montre la dimension de l'effort accompli. Ensuite, personne ne peut garantir la sécurité tout seul. On a besoin de la coopération internationale. Nous travaillons depuis longtemps avec nos partenaires et alliés, et une des premières décisions de mon gouvernement a été de demander officiellement la coopération de l'OTAN", a indiqué M. Caramanlis aux journalistes Didier Kunz et Daniel Vernet.

Alors qu'invité a préciser le rôle exact de l'OTAN dans le dispositif de sécurité, le chef du gouvernement a expliqué qu'il s'agira "essentiellement de la surveillance de l'espace aérien et maritime, ainsi que d'un soutien en cas d'incident avec des matières biologiques, chimiques ou nucléaires".

M. Caramanlis, qui a été également questionné sur le volet financier de l'organisation des JO, son impact sur le déficit public, mais aussi sur les perspectives de l'économie nationale dans l'après-JO, a reconnu que "le coût des JO a dépassé les prévisions, en partie à cause du retard pris au début". "Mais je ne suis pas homme à me tracasser pour des choses qui ne peuvent plus être changées. Y aura-t-il une phase négative après les Jeux? Je ne le crois pas. Nos priorités seront les investissements dans les infrastructures, les travaux publics dans les régions périphériques du pays, car il est vrai que ces dernières années, à cause des JO, l'argent a été dépensé dans Athènes et autour d'Athènes", a-t-il dit.

i-GR/ANA

Βαθμολογήστε πρώτοι αυτό το άρθρο