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La Commission européenne s'intéresse de près au financement de la ''Nouvelle Olympic Airways''

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Από iNFO-GRECE,

Le président d'Olympic airways, Dyonissis Kalofonos, a caractérisé d'attendu l'intervention de la Commission européenne qui, par l'intermédiaire de son porte-parole, a fait clairement remarquer que la Commission étudiera si le schéma de création de la Nouvelle Olympic airways(NOA) est conforme au droit européen.


S'exprimant à la station de radio "Flash", M. Kalofonos a insisté que la Commission européenne s'intéresse au sujet de la NOA car son statut touche à la logique de marche et à la concurrence, ajoutant que la création de la NOA, qui sera débattue au Parlement dans le courant du mois d'août, se fait en toute transparence et conformément à la légalité et aux règles du marché, le ministre des Transports et des Communications étant en contact constant avec la Commission européenne.

M. Kalofonos a exprime sa certitude qu'il ne devrait pas y avoir d'obstacles du côté de la Commission européenne, car le statut est crée sur la base des règles en vigueur en ce qui concerne l'investissement prive, puisque la nouvelle société utilise son propre capital et qu' elle n'est pas subventionnée par l'Etat, le but étant une totale privatisation de la société.

M. Kalofonos a précisé que selon les statuts, la société créée effectuera seulement le transport aérien, alors que les autres activités de l'ancienne Olympic, comme notamment la maintenance technique et le transports de marchandises seront organises en sociétés autonomes, sous le contrôle de l'Etat, dans le but de les privatiser.

Toutefois, outre l'affaire de fond, et du rôle de l'Etat dans le sauvetage d'Olympic Airways au bord du dépôt de bilan, la Commission européenne a exprimé des sérieux doutes concernant certaines mesures d'indemnisation accordées par le gouvernement grec (environ 5 Millions d'euros) à Olympic Airways et Aegean Cronus suite aux attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis. La Commission considère que les indemnisations pour des vols annulés après le 14 septembre 2001, ainsi que pour des pertes dans des zones non fermées au trafic, ne seraient pas en accord avec la législation européenne en matière d'aides d'Etat.

Pour une partie des 5 millions, la Grèce n'a pas justifié le lien direct des pertes compensables avec des restrictions de vol avérées, comme le demandait la Commission. Il s'agit particulièrement de pertes qui n'auraient pas été subies du fait d'annulations de vols à destination d'espaces fermés au trafic ou pour des passagers en correspondance de ou vers le réseau transatlantique durant ces journées.

Une autre partie concerne les 15 et 16 septembre 2001, soit au-delà de la période éligible visée dans la communication de la Commission et dont le dépassement a déjà donné lieu à des décisions finales négatives.

i-GR/ANA

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