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Bras de fer greco-chypriote israelien avec une Turquie de plus en plus isole

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Προτάθηκε από alex την

On se souvient que juillet passe Hilary Clinton etait venu en grece et y etait rester deux jours

elle avait dit ceci

"Dans cette période économique difficile, nous nous tiendrons à vos côtés, nous sommes convaincus que la Nation qui a bâti le Parthénon, inventé la démocratie et inspiré le monde peut faire face au défi" a ajouté Mme Clinton après avoir signé un accord pour endiguer le trafic d'oeuvres d'art entre les Etats-Unis et la Grèce.
"Mon pays aussi a une dette" envers la civilisation occidentale née dans la Grèce antique, a-t-elle dit.

http://www.lexpress.fr/actualites/1/act…

Elle avait donne un interview a Alexis Papahella une interview pour son emission oi fakelloi

http://www.skai.gr/player/TV/?MMID=2167…

Ou elle a parler que la Grece est geostrategiquement tres importante tant pour les evenement au nor de l afrique que pour le proche orient,que la Grece a des bons rapports avec ses pays,la relation grece,Israel chypre ainsi que la decouverte de petrole et de gaz interessait les US ,qu il fallait trouver une solution aux problemes grecoturques,que la Fyrom devait accepter un compromis avec la Grece ,elle n a cite ce pays que comme Skopia et elle a parler evidement de la crise et du soutien US via le FMI

Elle a comparer la Grece a la Coree du sud ou au Bresil qui avait eux aussi passe par une crise et furent aider par le FMI

Ce qu on a pu voir c est que des qu il a des guerres dans le coins et du petrole,les US ,ils savent etre eloquent envers nous ???

[b]Surtout qu aujourd hui il s est passe quelque chose de tres important ,TRES IMPORTANT[/b]

L'exploration gazière débute à Chypre, Ankara menace de riposter.

La compagnie américaine Noble Energy a lancé l'exploration de gaz au large de Chypre, a annoncé lundi le directeur des services chypriotes de l’Énergie, Solon Kassinis, à l'agence locale CNA. Selon M. Kassinis, les forages ont commencé dimanche soir sur la plate-forme Aphrodite, dans la zone économique exclusive chypriote.

Nicosie affirme que l'exploration de gaz profite à tous les Chypriotes, et a signé avec Israël un accord délimitant les zones économiques exclusives entre les deux pays en Méditerranée, afin de continuer à rechercher ensemble des gisements sous-marins dans de gigantesques réserves de gaz localisées dans cette région.

La Turquie, elle, n'apprécie pas cette démarche. Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé lundi que son pays lancerait "très prochainement" des explorations gazières près de Chypre sous protection militaire.
"Nous allons entreprendre très prochainement, peut-être cette semaine, ces travaux dans notre zone économique exclusive", a-t-il déclaré à la presse. M. Erdogan a regretté que Chypre ait entamé des explorations en mer "dans des zones contestées", malgré l'opposition de son pays, et insisté sur le fait que ces zones seraient "sous la surveillance constante" de l'aviation et de la marine turques.

Le ministre turc de l'Energie Taner Yildiz, a de son côté prévenu que son pays riposterait à une telle opération au large de l'île divisée depuis 1974 entre communautés grecque et turque. "Si la partie grecque respecte le calendrier qu'elle a annoncé pour lancer des explorations, nous nous autoriserons nous aussi à lancer dès la semaine prochaine des travaux de sondage" pétroliers et gaziers, a déclaré M. Yildiz. "La marine turque pourrait escorter les navires d'exploration sismique", a-t-il menacé. Ankara a signé avec une compagnie norvégienne, dont il n'a pas dévoilé le nom, un accord pour des "travaux sismiques", a-t-il dit.

Ankara s'oppose à ce que la République de Chypre (internationalement reconnue) lance des opérations d'exploration, arguant que les autorités chypriotes-grecques (qui ne contrôlent que le sud de l'île) n'ont pas le droit d'exploiter les ressources naturelles de Chypre tant que celle-ci n'est pas réunifiée. La compagnie pétrolière turque TPAO est prête à se déployer dans les eaux au nord de Chypre après un accord entre Ankara et la République turque de Chypre du nord (RTCN, reconnue par la seule Turquie) sur le tracé des frontières maritimes, a encore déclaré le ministre.

L'UE a aussitôt appelé Ankara à la retenue. "En ce qui concerne les forages pétroliers, nous avons, d'une manière générale, dit que nous appelions la Turquie à s'abstenir de toute sorte de menace, ou sources de frictions, ou d'actions qui pourraient affecter de manière négative" ses liens avec Chypre, a déclaré Maja Kocijancic, une porte-parole de la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton.

Les Etats-Unis, de leur côté, ont soutenu le droit de Chypre aux explorations énergétiques, selon un haut responsable américain Les explorations chypriotes "ne doivent pas affaiblir les négociations (pour résoudre la partition de l'île) ni interférer" avec celles-ci, a déclaré cette source sous réserve de l'anonymat, après une rencontre bilatérale Etats-Unis - Turquie à New York.

http://www.lorientlejour.com/category/%…

Pacte de défense israélo-grecs invoqué contre les mouvements navals et aériens Turcs

Israël et la grèce ont invoqué un pacte de défense mutuelle, signé secrètement, il y a seulement 12 jours, à la lumière des lourds mouvements de l'armée aérienne et maritime Turque à l'est de la Méditerranée.

Cela a été décidé lors d'une conversation téléphonique mercredi soir entre les ministres israéliens et le Premier ministre grec, Benyamin Netanyahou et George Papandreou. Le Cabinet a été convoqué pour la session sur la menace turque: Pétrole off-shore et plates-formes de gaz.

Le Premier ministre grec ajoute des mouvements de la flotte turque dans la mer Égée et la mer Méditerranée. Il était particulièrement préoccupé par les vols d'observation soudainement augmenté dans les dernières 48 heures sur l'île grecque de Kastelorizo ​​dans la Méditerranée au sud-est à seulement deux kilomètres de la côte turque. Ces vols sont escortés par des avions de combat turcs.
Athènes craint une attaque turque sur l'île, dont la population est de moins de 1000 habitants. Israël soupçonne une attaque turque sur l'île grecque qui sera le signal de l'agression militaire turque contre ses plateformes pétrolières et gazières situées dans la région méditerranéenne entre Israël et Chypre. Papandreou a déclaré que les Turcs sont capables d'attaques par surprise sur d'autres îles grecques proches des côtes turques.
Ankara agissant sous le prétexte que Israël et Chypre n'ont pas le droit de marquer et d'exploiter le gaz et le petrole des zones de la Méditerranée orientale - un combustible riche dans la région sans le consentement de la turquie et de Chypre (la République turque de Chypre du Nord - RTCN).

Ni Jérusalem ni Athènes ont révélé de quelle façon ils ont invoqué le pacte de défense

http://revivall.over-blog.com/article-p…

http://www.20minutes.fr/ledirect/790528…

Les Turcs ont envoyes plus de 17 navires de guerre au nord de Chypre,les israeliens,eux ont deux navires qui protege le bateau de forage de la Noble,la Grece a sur place des bateaux de guerre a Kastelorizo et a Chypre,toute l armee navale est en Alerte idem de l armee de l air

Les deux bases anglaises de Chypre le sont aussi

Mais cette fois la Turquie a devant elle ,Chypre,la Grece,Israel,l U.E et les USA,Noble est une companies US

Erdogan est rappelle a Washinghton pour lui expliquer les limites a e pas franchir

Le calme avant la tempete ????

En temps crise et avec nos voisins,Lybiens en guerre civile,l Egypte en sursis,Les palestiniens qui font le forcing pour etre reconnu,Israel qui defend ses interet,la Syrie en decompossition,le bras de fer greco chypriote israelien avec la Turquie de plus en plus isole sent la poudre

Maintenant nous comprenons mieux le pourquoi de la venu d Hillary en Grece,elle etait venu simplement nous donner leur feux vert,apres celui de Merkell lors de sa visite a Chypre celle d un premier chancelier allemand sur l ile d Aphrodite

Par teps de crise l es evenement se chamboulle a une vitesse incroyable dans notre region sensible est mediterranneenne

Ta leme

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Pascal Olivier

Σε απάντηση του από nemesis

Bonjour,

Oui Todd est impressionnant, presque trop. Une anthropologie - qui fait le constat que le seuil de 70% d'alphabétisation dans une population débouche immanquablement sur une révolution et l'arrivée d'une nouvelle classe au pouvoir, que la France a atteint ce seuil en 1789 et la la Russie en 1917 - nous écraserait presque par son déterminisme désenchantant.

Je lui reproche de ne pas avoir pris la mesure de ce qu'est l'islam, de ne pas voir qu'il sied au monde post démocratique que l'on nous prépare. Todd est un progressiste qui croit dans le progrès, d'où son optimisme. Régis Debray est un progressiste qui ne croit plus au progrès mais qui demeure progressiste par volontarisme, d'où son sens du tragique.

Je partage en revanche l'optimisme de Todd et le vôtre pour ce qui est de l'Iran. Le soubassement perse n'a pas grand chose à voir avec celui des nomades turcs venus des steppes de Mongolie ou descendus des montagnes de l'Altaï. Nos amis Grecs les connaissent de longue date, de Salamine à l'Anabase. L'islam a éteint doucement mais sûrement cette grande civilisation. Mais le chiisme les a gardé à l'écart de l'oumma comme pour les préserver. Le clergé chiite est structuré et hiérarchisé ( héritage de leurs ancêtres perses ?). L'interprétation n'est toujours pas arrêtée, alors qu'elle l'est depuis le Xe siècle (IIIe siècle de l'Hégire) chez les sunnites. Par dessus tout les chiites ont une longue expérience du retrait du politique depuis leur défaite en 680 à Kerbala.

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Παρ, 09/23/2011 - 15:38 Μόνιμος σύνδεσμος
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Pascal Olivier

Σε απάντηση του από Philippe

Voici un lien :

http://www.postedeveille.ca/2009/10/tur…
(Pour faire marcher le lien mettre un accent circonflexe sur le premier "e" de "reve" et un accent aiguë sur le "e" de "retablir", le logiciel ne les prend pas. )

Il n'y a rien d'extraordinaire dans ces propos. La Turquie néo-ottomane est pensée par un théoricien de haut vol, diplomate talentueux qui n'est autre que le ministre des affaires étrangères Ahmet Davutoğlu. En visite à Sarajevo ou à Pristina , il ne peut s'empêcher de retenir son émotion et de déclamer qu'il se sent chez lui.
http://www.diploweb.com/Turquie-repense…

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Παρ, 09/23/2011 - 15:29 Μόνιμος σύνδεσμος
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nemesis

Σε απάντηση του από Pascal Olivier

Braudel en conclusion de sa magistrale thèse sur la Méditerranée disait que les hommes ne sont pas libres et que l'apparent chaos de l'histoire politique n'était qu'un voile superficiel sur des déterminations autrement plus profondes.

Je n'ai pas trop de "religion" là-dessus. Je partage votre réticence devant une histoire qui serait trop mécanique et indifférente à la conjoncture. La complexité des sociétés humaines tient justement à l'interaction entre les grandes courbes du temps long et les petits et grands événements qui servent de catalyseurs à des causalités anciennes.

Pour illustrer mon propos, prenons justement le cas persan. Cette société témoigne depuis longtemps de traits qui nous semblent familiers vus de France : un (quasi-) État-Nation ayant fait de l'autonomie religieuse un instrument de son particularisme, une culture étatique pluri-millénaire ayant assimilé l'Islam, une structuration sociale et familiale que Todd avait bien étudié, une économie plus diversifiée que ses voisins immédiats, l'existence d'une élite intellectuelle qui continue à se développer malgré le carcan théocratique, une culture politique qui a depuis longtemps dépassé le niveau ethnique ou tribal (la révolution de 1907) ... Beaucoup de points positifs - comme le cas turc - qui contrastent dramatiquement avec "l'accident" de 1979.

Mais 1979 est-il un accident ? Je crois qu'on oublie trop vite que la République en France a mis quasiment un siècle pour s'installer définitivement (1789-1875). De la salle du Jeu de Paume à l'amendement Wallon, on compte une dictature collectiviste quasi-totalitaire, 2 régimes militaires, 3 retours à la monarchie, des républiques censitaires voire autoritaires et je ne sais combien de coups d'État.

Il est certain qu'une histoire à la Malet & Isaac donnerait presque le tournis tant le chaos des événements se dérobe à toute solution de continuité. Pourtant, en faisant un effort, on finit par trouver des lignes de faille : la substitution d'une élite entrepreneuriale et rentière à l'aristocratie terrienne, une lutte séculaire contre l'influence sociale, économique, culturelle et politique de l'Église, la construction autoritaire d'une identité nationale fondée sur la conscription, l'instruction publique et la destruction des particularismes provinciaux... En d'autres termes, la "Révolution Française" du 19° siècle fut à la fois mutation socio-économique et acculturation de masse.

C'est ma clef de lecture de l'actualité balkanique et moyen-orientale. Ataturk n'a pas été l'astre unique que certains décrivent. Sa politique brutale n'a été possible que parce que le Tanzimat ("Réformes") turc prenait racines dans une vieille inquiétude des élites turques face à l'affaiblissement deux fois séculaire de "l'homme malade de l'Europe". Sans cette histoire et cette conscience politique de leur vulnérabilité qui tenaillait déjà les élites ottomanes, le bond en avant autoritaire de 1923 eut été impensable. Et dans cette perspective les racines, les textes et les références millénaires ont une importance réelle, mais nullement décisive.

On ne peut essentialiser les textes et les cultures. L'Islam n'existe pas plus que la Chrétienté. La division et le sectarisme font partie de la nature humaine. Les seuls à croire à l'unité universelle de leurs fois respectives sont les zinzins d'Al-Qaida et les mystiques qui attendent l'Empereur des Derniers Jours. Il n'y a même pas un " islam turc " quand on sait l'importance des Alévis et autres sectes, et même au sein des Sunnites combien d'écoles, de mouvances, de confréries, de sensibilités ? L'impression monolithique est une construction extérieure, un peu comme ceux qui parlent des "Arabes" en y subsumant les Berbères de l'Atlas, les populations négro-nilotiques du Nord-Soudan ou les Byzanto-Maronites de Chypre...

Je crois, en définitive, que le substrat religieux et culturel influence mais ne suffit pas à déterminer les événements. C'est une clef parmi beaucoup d'autres. Une clef souvent plus pertinente que l'écume journalistique mais infiniment moins décisive que l'autonomie financière d'une femme, sa capacité à vivre seule, à divorcer si besoin, à étudier, à influencer ses enfants et leur donner une image valorisée de la condition humaine ;-)

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Παρ, 09/23/2011 - 21:44 Μόνιμος σύνδεσμος
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Pascal Olivier

Σε απάντηση του από nemesis

«[i]Les références millénaires ont une importance réelle[/i]» je suis d’accord, «[i]mais infiniment moins décisive[/i]» c’est un peu moins sûr. Si les Etats-Unis d’Europe sont une utopie c’est bien parce qu’il y a en Europe des nations millénaires, ce qui n’est pas le cas des Etats-Unis d’Amérique. Avoir forcé les choses avec l’euro débouche sur une catastrophe. Israël de retour après 2000 ans, ce n’est pas rien non plus.1979 en Iran est également un télescopage millénaire. 13 siècles séparent 680 (Kerbala) de 1979. C’est presque incroyable de voir Hussein se rappeler à Yazid !

L’inquiétude et le sentiment de vulnérabilité des élites ottomanes sont tout à fait légitimes eu égard à ce manque de profondeur millénaire. Après tout Constantinople était tombée il n’y a pas si longtemps et il n’y eut pas l’équivalent d’un baptême de Reims. Evidement s’il y avait eu conversion, Moscou ne serait pas devenu la troisième Rome. Cette conversion au christianisme avait failli se faire avec les Mongols (pas encore islamisés) au moment des croisades. Il y a donc bien entre l’Empire russe, l’Empire turc et l’Empire perse un empire de trop. Je pense que Kemal l’avait bien compris en construisant aux forceps le nouvel Etat turc sur les cadavres des Arméniens, des Grecs, des Syriaques et des Assyro-chaldéens. Aujourd’hui rien n’est réglé, il y a toujours harcèlement militaire de la Grèce, occupation de Chypre, blocus de l’Arménie, tentative de prendre de l’ascendant sur les anciens sujets arabes et balkaniques. La stratégie néo-ottomane inspirée par le brillant et fin Ahmet Davutoglu est à haut risque. Le sentiment de vulnérabilité tourne à l’abject parce que non seulement les turcs n’ont toujours pas fait amende honorable, mais parce que par dessus tout ils se sentent illégitimes, ils savent qu’ils ont commis un rapt et un crime. Je ne vois pas comment expliquer autrement les manifestations à Constantinople avec des slogans et des pancartes «C’est à nous depuis 1453», la célébration enjouée du génocide arménien par des turcs http://www.youtube.com/watch?v=LNfpYNeS…, les incroyables provocations turques y compris sur ce forum. Ayant pris la mesure de la résistance des peuples européens Gül exige plus d’immigration en Europe. En paraphrasant Bertolt Brecht : Les peules européens pensent mal, changeons les peuples.

Je pense comme vous que les clefs forgées par Todd sont décisives, mais pas infiniment moins que le substrat religieux et culturel. Je pense aussi comme Eric Zemmour à propos du Destin des immigrés que Todd referme lui-même les portes qu’il a ouvertes : «Todd est un serrurier qui aurait forgé une clef magique ouvrant des portes soigneusement closes mais qui, effrayé par les monstres qu’il découvre, claque la porte derrière lui, jette la clef, et affirme d’un air dégagé qu’ «il n’y a rien à voir». Et, lorsque les curieux le pressent, il leur invente un conte pour enfant auquel il finit par croire lui-même. L’optimisme est de commande, il s’apparente à un «wishful thinking», une prière, une naïveté. La célèbre réplique du film Drôle de drame est retournée : « À force de ne pas dire des choses horribles, elles n’arriveront pas»

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Κυρ, 09/25/2011 - 20:19 Μόνιμος σύνδεσμος
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Pascal Olivier

Σε απάντηση του από Pascal Olivier

Une erreur qui s'est glissée dans la première phrase du dernier paragraphe en inverse le sens. Il faut lire : "[i]Je pense comme vous que les clefs forgées par Todd sont décisives, mais pas infiniment [u][b]plus[/b][/u] que le substrat religieux et culturel.[/i]"

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Δευ, 09/26/2011 - 10:38 Μόνιμος σύνδεσμος
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Alison

Bonjour,

ce n`est pas ma tasse de thé ce conflit historique mais ne pensez vous pas, que l`Europe aide financièrement la Grèce même au delà du raisonnable ce que pensent certains, pour simplement conserver un point géostratégique militaire sur le proche et moyen orient ?
La Crète a servit de base de relais pour la Libye...

C`est une question ou suggestion, pas une affirmation.

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Τετ, 09/21/2011 - 16:13 Μόνιμος σύνδεσμος
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Pascal Olivier

Σε απάντηση του από Alison

Bonjour,

Oui, il y a une base de l'Otan à Souda, c'est à tire-d'aile de la Libye. Il n'est donc pas étonnant qu'elle ait servi. Mais il y en a en Italie dont une en Sicile (très proche également de la Libye), en Espagne, en Turquie, au Qatar, à Bahreïn etc... Il y a aussi la très grosse base britannique à Chypre. Il est vrai que la Turquie faisant de plus en plus défaut, l'importance stratégique de la Grèce ne fera qu'augmenter.

Cependant, je ne pense pas que ce soit la raison de l'aide financière à la Grèce. Charité bien ordonnée commence par soi-même, la France et l'Allemagne en ont profité pour se faire acheter des armements, une sorte de retour sur investissement. Cela aurait été un comble que l'argent des Français et des Allemands serve à acheter aux Américains !

France et Allemagne ont des échéances électorales et essayent d'acheter du temps à prix d'or. Ce temps sert à voir venir. Ils le font tant que c'est la Grèce qui est sur la sellette. Bien que déraisonnablement hors de prix, c'est peu en comparaison des besoins de l'Espagne. L'indécision est de mise. Quelque soit l'option retenue, elle sera douloureuse. L'Allemagne arrêtera probablement de payer quand se sera le tour du gros morceau espagnol. Reste à savoir si on signera l'acte de décès de l'euro, tel que nous le connaissons aujourd'hui, avant ou après les présidentielles en France. Je suis au demeurant assez inquiet de l'incurie de ceux qui nous gouvernent, les Etats-Unis sont également inquiets. L'UE d'habitude servile à l'égard de l'Oncle Sam a renvoyé le secrétaire d'Etat américain au Trésor, Timothy Geithner, dans ses cordes alors qu'il suggérait des actions de relance de bon sens pour endiguer les risques de récession mondiale.

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Πέμ, 09/22/2011 - 13:33 Μόνιμος σύνδεσμος