article de M. Théodôrakis

Rien de nouveau dans ce qu'il dit à mon humble avis.Toujours "collé" à ses idées de gauche alors que la crise existante n'est que le fruit du pouvoir "papale" trop longtemps béni par toutes les forces de gauche.Un virage vers la droite de durant les années quatre-vingt-dix me donne l'impression de quelqu'un de très versatile en politique.
Car dans ces dix plaies du Pharaon ,ce qui m'étonne de sa part c'est que nulle part ne fait-il allusion à une immigration incontrôlable et incontrôlée,qui est le résultat d'un patronnat grec hyper-puissant ,fruit d'un libéralisme sauvage,et d'un autre côté une gauche qui n'ose pas prendre ses responsabilités et dénoncer les fautifs par rapport au chômage croissant des jeunes grecs qui passent leurs temps aux cafés et pubs à siroter du nescafé-frappé et à fumer des clopes américaines.
Un génocide culturel comme partout ailleurs en nous ingurgitant quotidiennemnt de la sous-culture yankee,ce qui arrange autant la gauche "spirituelle" défendue par Mikis que la droite "capitaliste".
Une gauche qui pour faire chic et politiquement correct défend les immigrés qui ont été victimes de milieux mafieux(patronnats) afin de les faire venir au paradis européen.Bref,une gauche conformiste qui épaule une droite libérale et qui de pair gère l'économie en se partageant mutuellement le pouvoir.
Et notre grand compositeur Théodorakis d'en faire partie un peu par inconscience ou tout simplement parce-que vu l'âge on ne change plus facilement d'idées.