Le retour des marbres du Parthénon est une cause sacrée, c'est entendu. Mais, pour y parvenir, il faut une véritable volonté politique, s'emporte I Kathimerini. Beaucoup de bruit pour rien". Paraphraser Shakespeare est ce qui convient encore le mieux à l'affaire du retour des marbres du Parthénon, qui fait subitement la une des journaux britanniques et du New York Times [voir ci-contre]. Paradoxalement, tout Grec qui a suivi l'affaire et s'est battu pour la cause sacrée du rapatriement des frises du Parthénon ne peut qu'être d'accord avec… le directeur du British Museum. M. Nil Mac Gregor, en effet, a raison de s'en prendre, dans les pages du Sunday Telegraph, à cette "luxueuse et coûteuse campagne de relations publiques" qui tente
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