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Michel de Grèce: «Casser l’histoire, c’est déraciner un peuple»

Published in Le Figaro on
«J'aime les aventuriers. J'aimerais m'identifier à eux, car tous sont animés par un idéal, une idée, un rêve ou une vocation qui les poussent en avant, sans regarder les dangers», explique Michel de Grèce. SEBASTIEN_VINCENT
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«J'aime les aventuriers. J'aimerais m'identifier à eux, car tous sont animés par un idéal, une idée, un rêve ou une vocation qui les poussent en avant, sans regarder les dangers», explique Michel de Grèce. SEBASTIEN_VINCENT

Certains, comme Marie Laveau, prêtresse vaudoue vengeresse, ou Zoé Porphyrogénète, impératrice byzantine aux multiples époux, ne sont guère connus. D'autres, à l'image de Louis-Philippe Ier, roi des Français, Louis II de Bavière, ou encore Dracula, inspiré d'un prince de Transylvanie, sont plus familiers. D'un ton alerte, et souvent chargé d'émotion quand il s'agit de ses ancêtres, le prince Michel de Grèce peint des personnages historiques qui le font rêver. Après une vingtaine d'ouvrages, parmi lesquels Louis XIV. L'envers du soleil ; La Nuit du sérail ; Les Mystères d'Alexandre le Grand, il publie Mes aventuriers excentriques, chez Stock.

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LE FIGARO. - En quoi ces «aventuriers excentriques» vous fascinent-ils?

Michel de GRÈCE. - Je répondrais que tous les aventuriers sont excentriques par définition et que, d'une certaine façon, tous les excentriques sont des aventuriers. J'aime les aventuriers. J'aimerais m'identifier à eux, car tous sont animés par un idéal, une idée, un rêve ou une vocation…

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