Quelle ironie ! Lui qui a chanté "La libération de la Grèce de la dictature des colonels, les yeux tournés vers le Chili de Pinochet en 74", lui qui a été arrêté, torturé, emprisonné par cette dictature, lui qui était le symbole de cette Grèce qui résiste, de cette Grèce, qui durant les années de plomb, était du mauvais côté du bâton, lui, Mikis Théodorakis, le compositeur génial de "Zorba le Grec", se retrouve aujourd'hui adulé par les admirateurs de cette dictature des colonels.
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