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La Grèce et ses créanciers peinent toujours à trouver les bases d'un accord

Published in Les Echos on
Le premier ministre Alexis Tsipras dénonce les exigences de certaines institutions et nie toute intransigeance de la part de la Grèce à trouver un accord.
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Le premier ministre Alexis Tsipras dénonce les exigences de certaines institutions et nie toute intransigeance de la part de la Grèce à trouver un accord. - InTime News/At/REX Shut/SIPA

Dans une tribune, Alexis Tsipras se défend de toute intransigeance et met en garde contre une Europe à deux vitesses.La Banque centrale européenne devrait, mercredi, réaffirmer sa fermeté vis à vis d'Athènes

Alors que les pressions augmentent pour trouver un compromis qui permettrait à Athènes d'obtenir le versement de plusieurs milliards d'euros en échange de réformes structurelles, le gouvernement grec veut toujours croire à un accord proche. «?Nous pensons que nous pouvons et que nous aurons un accord dans la semaine?», a dit samedi à la chaîne de télévision Skai Nikos Voutsis, le ministre grec de l'Intérieur. Pour cela, Athènes se dit prêt à faire des concessions pour trouver au plus vite un terrain d'entente avec ses créanciers internationaux. Pour cela, la Grèce pourrait différer «?de six mois voire d'un an?» la mise en oeuvre de certains pans de son programme anti-austérité, a déclaré Nikos Voutsis, qui ne participe pas personnellement aux négociations. Le temps presse puisque la Grèce risque de se retrouver en situation de défaut de paiement dans les semaines qui viennent sans l'apport financier d'un plan d'aide qui prend fin le 30 juin.

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