Les négociations entre Athènes et ses créanciers, autour de la liste des réformes proposées par le gouvernement grec, sont à leur apogée. De leur évolution dépendra le prochain Eurogroupe extraordinaire, qui doit ouvrir les vannes du financement à la Grèce de 7,2 milliards. Or, deux mois après son arrivée au pouvoir, personne ne sait quelles sont les intentions d'Alexis Tsipras. D'un côté, le premier ministre déclare, dans la presse dominicale, vouloir «une solution avec l'Europe» et, de l'autre, il précise les lignes rouges à ne pas franchir.
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