Dans ce feuilleton sans fin de la crise grecque, la menace d'un «Grexit», la sortie de la zone euro, planera tant qu'Athènes et ses partenaires européens n'auront pas trouvé de solution durable. Elle est plus que jamais d'actualité à mesure que le pays exsangue, toujours en attente de l'enveloppe de 7 milliards d'euros, reliquat du plan de sauvetage de 2012, se rapproche de la faillite. Toutefois, peu d'économistes parient sur ce scénario catastrophe, très coûteux financièrement et politiquement, dont les Grecs seraient les premières victimes. La banque Natixis parle encore de «politique fiction».
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