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Vive la Grèce, la drachme, la France, le franc et Zemmour

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Submitted by Pascal Olivier on
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http://www.dailymotion.com/video/xc5v02…

La monnaie unique, sans gouvernement économique de la zone euro (l'Allemagne n'en veut pas), avec une BCE indépendante qui n'a de compte à rendre à personne et dont le seul mandat est le contrôle de l'inflation ( l'Allemagne refuse de modifier cette indépendance et ce mandat qui sont inscrits dans le marbre de Maastricht et de Lisbonne), est une gageure.

Si l'Allemagne ne revient pas à la raison, la solution serait le retour à la monnaie commune, donc une monnaie qui serve en dehors de la zone euro, mais avec des parités différentes à l'intérieur de la zone. Il reste à espérer qu'il ne soit pas trop tard pour ce scénario.Les économistes prédisent soit ce retour à la monnaie commune, soit l'éclatement en plusieurs zones euros, soit le retour aux monnaies nationales.

Nos amis grecs ne doivent surtout pas culpabiliser comme j'ai pu le lire dans certains commentaires. Le système généreux de retraite grec est tout à l'honneur de la Grèce. Bravo à A.E pour sa lucidité dans son édito "[i]Et si ce n'était pas vrai ![/i]" Aujourd'hui c'est le protectorat ouest-européen dans son ensemble qui se trouve pris dans le piège des puissances du moment, Etats-Unis, Chine et Allemagne en interne.

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Mario

Erreur, commise par rapport à la Grèce

Grèce : Juncker reconnaît une "erreur de négligence" de la zone euro

Le président de l'Eurogroupe a admis que le forum des ministres des Finances n'a pas suffisamment pris en compte la situation de la Grèce.

Le président de l'Eurogroupe Jean-Claude Juncker
a admis samedi que l'Eurogroupe avait commis une "erreur de négligence moyennement grave" en ne s'étant pas occupé suffisamment de la situation financière de la Grèce.
"Nous considérons le manque de préoccupation face la situation de la Grèce comme une erreur de négligence moyennement grave", a-t-il déclaré dans le quotidien Süddeutsche Zeitung.
L'Eurogroupe, le forum des ministres des Finances de la zone euro, "va se pencher à l'avenir beaucoup plus intensivement et sévèrement sur la compétitivité des pays", a prévenu le Luxembourgeois.
Selon lui, une exclusion de la Grèce de la zone euro "aurait des effets semblables à ceux d'un tremblement de terre: incontrôlables" et entraînerait une réaction "extensivement négative" des marchés financiers.
"Sortir de la zone euro équivaudrait à la fin de tout pour la Grèce. Et serait absolum ent négatif aussi pour l'image de la zone euro", a-t-il ajouté.
La Grèce, en prise à de graves problèmes de dette publique, a promis de prendre toutes les mesures nécessaires pour réduire son déficit.
"Nous n'allons pas les laisser tranquilles", a averti M. Juncker, "nous allons constamment demander où les Grecs en sont dans leur programme de réformes".
Le Luxembourgeois a réitéré sa volonté de s'attaquer aux écarts de compétitivité entre pays membres: "nous devons faire attention à ce que les divergences ne grossissent pas toujours plus". "Une zone monétaire ne peut subsister à terme si les différences dans les bilans des économies nationales deviennent trop grandes", a-t-il prévenu.
Il a également répété que la politique économique devait être "coordonnée plus étroitement dans la zone euro".
Les dirigeants européens ont assuré jeudi la Grèce de leur solidarité pour empêcher tout risque de faillite du pays surendetté et défendre la zone euro dans son ensemble , mais sans annoncer aucune aide financière concrète.

Grèce : Juncker reconnaît une "erreur de négligence" de la zone euro Le président de l'Eurogroupe a admis que le forum des ministres des Finances n'a pas suffisamment pris en compte la situation de la Grèce.

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Tue, 02/16/2010 - 16:03 Permalink

POLEMIQUE

Goldman Sachs a aidé la Grèce à dissimuler l'ampleur de sa dette

Des banques de Wall Street comme Goldman Sachs ont utilisé des instruments financiers complexes comme ceux qui ont été à l'origine de la crise financière américaine, pour aider la Grèce à dissimuler l'ampleur de sa dette, écrit dimanche le New York Times.

Un montage élaboré par Goldman Sachs a notamment permis en 2001, juste après l'adhésion d'Athènes à l'Union monétaire européenne, d'aider le gouvernement grec à emprunter des milliards, selon le journal qui cite "des personnes au courant de la transaction".

Ce schéma est resté caché du public car il prenait la forme d'une transaction sur devises, plutôt qu'un prêt. Il a aidé Athènes à respecter les règles édictées par Bruxelles en matière de déficit tout en continuant de vivre au-dessus de ses moyens, selon le Times.

Goldman Sachs a reçu quelque 300 millions de dollars de commission pour ce montage, selon le NYT citant "plusieurs banquiers au courant de la transaction". En échange d'argent frais, le gouvernement grec a renoncé à des revenus futurs, comme des taxes d'aéroports ou des recettes du loto, pendant les années à venir. Selon leurs détracteurs, ces accords n'étant pas été enregistrés comme des dettes trompent les régulateurs et les investisseurs sur la réalité de l'endettement du pays, selon le journal.

Le journal précise encore que début novembre 2009, trois mois avant qu'Athènes devienne l'épicentre de la crise de l'euro actuelle, une équipe de Goldman Sachs, dirigée par son président Gary Cohn, est arrivée à Athènes avec un instrument financier qui aurait permis à la Grèce de repousser à un avenir lointain le poids de la dette sociale. Ce mécanisme n'a toutefois pas été retenu.

L'ampleur abyssale des finances grecques a placé l'euro sous attaque des marchés financiers, mettant à l'épreuve la solidarité des pays de la zone. Une banqueroute du pays affecterait les banques qui lui ont prêté de l'argent et aurait des effets dans le monde entier, note le Times. Comme les grandes institutions financières sauvées de la faillite par les pouvoirs publics pendant la crise, la Grèce est "trop grosse pour tomber", écrit le New York Times.

Avec AFP
paru dans Actu24.be du 14.01.10

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Tue, 02/16/2010 - 17:40 Permalink
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el griego

In reply to by el griego

Grèce
Montages bancaires avec Wall Street: le cas grec a priori isolé

Belga

Mis en ligne le 16/02/2010
La crise grecque remet en tout cas sur le tapis l'idée d'octroyer à Eurostat une capacité d'audit sur les comptes nationaux des pays européens.

La Commission européenne n'a pour l'instant aucune raison de penser que des pays autres que la Grèce aient utilisé des instruments financiers complexes pour masquer l'ampleur de leur dette, mais elle a prévenu mardi qu'elle leur demanderait des comptes si c'était le cas. "Au cas où il y aurait des signes que ce type de technique a été utilisée par des Etats membres (de l'UE) autres que la Grèce, nous demanderons des informations à ces Etats", a indiqué le nouveau commissaire aux Affaires européennes, Olli Rehn, après une réunion des ministres des Finances européens à Bruxelles.

"D'après les informations que j'ai reçues jusqu'à présent de (l'office européen des statistiques) Eurostat, ça n'a pas été le cas pour d'autres Etats" européens, a-t-il toutefois souligné. La ministre espagnole des Finances Elena Salgado, dont le pays assure la présidence tournante de l'UE, a assuré pour sa part que "jamais une telle proposition n'a été faite" à l'Espagne.

Le New York Times affirmait dimanche que des banques de Wall Street comme Goldman Sachs ont utilisé des instruments complexes, comme ceux à l'origine de la crise financière américaine, pour aider la Grèce à dissimuler l'ampleur de sa dette. Un tel montage aurait notamment permis à Athènes en 2001, juste après l'adhésion à l'Union monétaire européenne, d'emprunter discrètement des milliards. Cela aurait aidé la Grèce à respecter les règles édictées par Bruxelles en matière de déficit tout en vivant au-dessus de ses moyens. "Il est clair qu'une enquête approfondie doit être faite sur cette affaire", a commenté mardi Olli Rehn.

Le ministre grec des Finances Georges Papaconstantinou a tenté de se défendre lundi en assurant que les instruments utilisés étaient "légaux à l'époque". Mais Eurostat a d'ores et déjà demandé aux autorités grecques de fournir des explications avant fin février. La crise grecque remet en tout cas sur le tapis l'idée d'octroyer à Eurostat une capacité d'audit sur les comptes nationaux des pays européens. L'Allemagne, qui s'y est longtemps opposée, est désormais prête à soutenir cette réforme, a indiqué son secrétaire d'Etat auprès du ministère des Finances Jörg Asmussen.

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Wed, 02/17/2010 - 01:50 Permalink
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alex

In reply to by el griego

El Griego, tu rigole,tu crois a tout ces rumeurs dortit du financial times,copie et rcopie par toutes les unes et Jt tele

Comme ca la Grece a utiliser une technologie comptable dernier cris pour emprunter plus ????

Mais de qui se fout on ???

Un etat ne peut pas emprunter de l argent sans garantie El Griego,t a deja vu une banque preter a un tiers sans garantie

L etat grec a comme garantie ses,obligations d emprunts,les bonds d etat

Tu sais que ces bons grec d etat acheter par les banques,plus de 45% sont acheter par les banques grecs qui apres les avoirs achete avec 4 a 6% d interet ,les mettent en garantie a la banque centralle europeenne en perdant 1% des interets pour avoir des liquider,ce que font toutes les banques europeenne avec tout les obligations d etat europeen

le compte est vite fait la banques qui achete gagne 3 a 5% tout en recuperant les liquidite d achats de ces obligations

Tout ca parce que selon les traites europeen la banque centralle europeenne ne peut pas acheter directement a un etat europeen ,ses obligations,mais doit passer par des banques,la banques centralle europeenne fonctionne qu avec d autre banque concernant ses interactions financieres pas avec des etats

la BCE est la seule banque centrale qui n’achète pas au secteur public de titres d’Etat. Le traité de Maastricht le lui interdit. Mais elle sait faire des exceptions. En Décembre 2008 la BundesBank a acheté (au moins temporairement) pour 1,3 milliards d’Euros d’emprunts du gouvernement allemand qui ne trouvaient pas preneur.

Pour mieux comprendre allez lire ce blog fort interessant

http://www.chomage-et-monnaie.org/?p=555

http://www.chomage-et-monnaie.org/?p=349

La banque centralle europeenne est la seule banque centralle au monde ou on lui refuse d acheter directement des obligations d etat,idem des banques centralles des pays de l euroland quel foutoir qu en on voit ce que la Fed fait ou la banque centralle de la Chine ou du Japon

Techniquement, les pays de l'Union européenne doivent tenir compte de l'article 123 du [b]traité de Lisbonne[/b], qui interdit en principe à un Etat membre de venir en aide à un autre.

" Il est interdit à la Banque centrale européenne (BCE) et aux banques centrales des Etats membres (...) d'accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l'Union, aux administrations centrales ", prévoit cet article.

" L'acquisition directe, auprès d'eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite ",

CE FAMEUX TRAITE DE LISBONNE QUI NOUS MET TOUS AUJOURD HUI DANS DE SALS DRAPS,QUI AVAIT ENTENDU PARLER DE CES CLAUSES ???

La dette grecque est une petite dette. Le poids des émissions d’Athènes dans les émissions totales de la zone euro est faible, un peu plus de 5 %. [b]Elle est détenue pour une moitié par les banques et pour 30 % par des investisseurs domestiques. Les pays les plus exposés à la dette grecque, souligne la banque RBS, sont la France (11%) et l’Italie (6%).[/b] En 2010, les émissions de l’Etat grec (environ 47 milliards d’euros dont 17 milliards de refinancement de titres à échéance et le solde en besoins nouveaux pour couvrir le déficit public) seront inférieures à celles de 2009 (64 milliards dont 50 milliards d’obligations

http://www.agefi.fr/articles/Une-violen…

Mais pourquoi la Grece a une petite dette si on peut dire ahahhah
de 300 milliard compare au dette de l Irande ou de la belgique qui sont de plus de deux trilliard

On est mal entoure tout simplement et on a un espace aerien et maritime enorme pour la superficie du pays et de plus dans une situation geostrategique complexe entre la route du canal de Suez,le moyen orient,la mer noire,l Adriatique et le deboucher de la mer noir,Chypre,la place forte de l occident au proche orient,la Crete,le porte avion immobile qui controle toutes la mediterranee orientale

Tout ca a un prix

Où en serait aujourd'hui la Grèce si .... elle ne s'était pas senti contrainte de consacrer 4% de son PIB par an au financement de sa politique de défense ? Soit plus de 2 points au-dessus de la moyenne européenne ?

Sur 40 ans, ce surplux d'effort budgétaire cumulé, qui est pour une bonne part dû à l'absence de réglement de la question chypriote, a pesé près de 50 % du PIB !

Le calcul est d'une simplicité enfantine ! Si les conditions politiques avaient été réunies pour que la Grèce se situe au milieu du peloton européen, son niveau d'endettement public respecterait le critère correspondant du Pacte de stabilité et de croissance de l'Union économique et monétaire - UEM -, et les agences de notation ne s'aventurerait certainement pas à en faire l'une des proies pivilégiées du " jeu " spéculatif qu'elle cultive sur la dette de ce Pays dont le positionnement stratégique appelle un peu plus de responsabilités européennes et internationales que celles qui lui ont été consentie, notamment depuis son entrée dans la zone Euro après avoir satisafait - en apparence en tout cas - les critères d'adhésion à la troisième phase de l'UEM !

Quoi de plus normal que ceux qui, au sein de l'Union européenne, de l'UEM, et plus précisément de l'Eurozone, ont participé à ne pas apporter de réponse politique claire et définitive à la délicate question chypriote, quand ils n'ont pas participé par leur attitude partisane à rigidifier les postures des principaux protagonistes de ce dossier, tout en tirant parti des juteux contrats d'armement qui ont coûté si chers au peuple grec tout entier, mettent un peu la main à leur " porte-monnaie " pour épauler une Grèce qui mérite une toute autre considération que celle dont elle jouit aujourd'hui dans les médias européens et dans les milieux spéculatifs internationaux qui manifestent une agressivité qui appelle une réponse appropriée

Venant d un site lui aussi fort interessant

http://www.regards-citoyens.com/article…

ou ils y pas mal d article tres tres interssant qui parle du sujet traite ici

Dollar contre euro : la bataille d'Athènes

http://www.regards-citoyens.com/article…

La crise grecque pousse les Européens à agir

http://www.regards-citoyens.com/article…

La Grece ne demande pas d aide financiere mais une aide politique et que fait l U.E a son encontre de la speculation

Dans un entretien à paraitre aujourd’hui dans le quotidien suisse Le Temps, [b]Jean-Claude Junker[/b], patron de l’Eurogroupe et ancien directeur de la Banque Mondiale, [b]admet avoir utilisé les marchés pour contraindre la Grèce à faire les réformes qu’elle refusait de faire[/b].

Bruxelles ne cache même plus son jeu. A la question d’un journaliste suisse du quotidien Le Temps « la zone euro n’a-t-elle pas utilisé les marchés pour contraindre la Grèce à faire des réformes qu’elle a toujours refusées de faire », le patron de l’Eurogroupe répond sans complexe que « nous avons toujours estimé que si un Etat divergeait en dépit de toutes les mises en garde, il y aurait une sanction des marchés financiers. » Plus encore : « Nous ne sommes pas dans un monde où la sanction n’existe plus sous prétexte qu’on est membre de la zone euro. » Jean-Claude Junker admet donc que, d’une part, les marchés financiers de sont pas aussi irrationnels qu’on le prétend, et que d’autre part ils peuvent être utilisé afin de contraindre un pays de la zone euro à adopter les réformes dont il ne veut pas

http://www.geostrategie.com/2438/le-pat…

Cet energumene a meme recu le titre de European Banker of the Year 2008"

http://www.gouvernement.lu/salle_presse…

Apres cet aveux meme pas disimuler et les rumeurs que l Eurogroup donne a Athenes un ou deux mois de sursis ,ca depend des journalleux du dimanche ahahahahahahah

UE donne un mois a la Grece et n exclut pas d intervenir

http://www.challenges.fr/actualites/mon…

Grèce: Deux mois de sursis

http://www.lejdd.fr/Economie/Actualite/…

Faut ce decider messieur les journaleux ahahhahah

Une chose est sur que maintenant que nous savons ,qui est derriere cette folie speculatrice et de plus sachant que nos obligations d etats ce vente comme des petits pains vu les interets de 6%,une bonne affaires n est ce pas,laGrece a reussis a prendre 8 milliards en janvier alors qu elle etait a la recherche de 3 a 5 milliards,la demande elle etait de 25 milliards,qui a dit qu on a des probs vu qu on coure nous preter du fric ahahhahahahahahha

La Grèce surmonte la défiance des marchés et emprunte 8 milliards d'euros

http://www.lemonde.fr/economie/article/…

Sachant cela ,enfin papandreou et Co se sont reveille du cauchemard qu ils nous aveint mis avec leur cris d alarme

Et maintenant n ecoute plus ce que les cretins de l eurogroupe,surtout le PDG paye en plus par nous ahahahahaha

des qu un rigolo de l eurogroupe vient jouer le beau en leur disant bon messieur les grecs faudrait arreter les blagues a la delegation grecque,les grecs leur disent t a raison mon ami,on va commencer a reduire nos depenses de defense ahahahahahhahah

[img]http://3.bp.blogspot.com/_9-EvCTwMLLE/S…]

Je rajouterais que ce blabla continu depuis trois mois etait deja de cour l annee passe mais moins mediatiquement

Je vais rajouter que le taux des emprunts de la Grece avant les annees 2000 etaient vachement superieur a ce qu on connais aujourd hui

Pour ceux qui savent lire langlais allez lire ce contrendu de l etat economique de la Grece des annees 80 et debut 90
http://www.hellascapital.com/pdf_files/…

Ou on avait une inflation galopante qui depassait meme les 25%,que la dette a explose de 1980 qui etait de 40% a plus de 100% en 1991,des qu on est entre dans l U.E ona du emprunter encore et encore pour atteintre les minimas europeens dans tout les secteurs,CAD des que l U.E nous subventionnait 10 a 25% des travaux publique la grece pour ne pas perdre ces subsides investissait 75 a 90 de ces travaux subventionne par l U.E dont les constructeurs etaient allemands ou Francais comme l aeroport d Athenes, le Metro Athenien ou le pont de Rio Antirio par exemple

Les directives europeennes sur le commerces ,agricole etc etc furent des investissement obligatoire pour etre aux norme U,E ,qui a couter un pont a l epoque a la Grece,idem comme aujourd hui ou tout les pays europeens sont somme en 2012 d avoir abandonne la diffusion analogique hertzien remplacer par le digital,comme ils l ont fait concernant les lignes a haut debit qui ont enterre les ligne a haut debit ISDN partout en Europe etc etc

En Grece apres trois mois d inquietude venant des sirenes venant de Bruxelles

Les grecs sont sortit de leur torpeur meme avec les debilites que la bandes du ministeres des finances de georgaki,nous a concocter avec cette histoire de ramasser des recus et aditions partout ou on depense

Moi par exemple je vois 2010 ,un meilleur cru que 2010,je pense meme que cette annee propice pour faire mon quatrieme enfeant,depuis juillet 2009,je n ai plus de perte,je travaille plus pour gagner le meme montant,mais je ne depense plus des etimas,je met meme quelques euros decote

En Grece,il n y a pas eu de faillite de banques,pas de faillite de grande societe,il y a bien eu la faillite de petits commerces mais qui ont ete remplace par d autre petit commerce,l annee touristique 2009 n apas ete un mauvais cru et meme fut une annee meilleurs que l annee olympique de 2004 pour tout dire,les gens se plaignent de la vie chere mais ca ,ca date depuis le debut de l euro et partout dans l Euroland,le marche esttellement atractive que des grandes succursalle de geant europeen s installe de plus en plus en grece comme l ouverture des Ikea un peu partout,idem Des Groupe de medai market,Saturn,Fnac ou du discount comme Aldi,Lidl

les grecs depensent toujours,les grands magasins eux ont des clients qui payes avec de l argent plastique,,les petits commerces comme moi travaillons avec de l argentfrais qui nous permettent pas d avoir des chiffres d affaires monstrueux mais qui nous permettent de bien vivre malgres l augmentation des charges chaques annees,j ai meme augmenter mon chiffre d affaire en 2009 de 25% mais le benefice n a peu augmenter par rapport a 2008,je suis actuellement dans le service informatique,j ai une boit de service dans ce domaine avec mon frere depuis son retour en Grece en 2007 mise a part de mes jobs freelance de temps en temps comme interprete,les boites francaise ont rarement besoin d interprete francophone ,idem des differentes organisation ou ministere d etat,les francais et boite francaise se sont mis eux aussi a l anglais meme en Grece alors comble du comble ,la Grece est membre de la Francophonie,si meme les Francophones pur jus Belges,francais ou Suisse s y mettent eux aussi a l English que restera t il de cette belle langue de molieres dans un proche avenir

Un pays qui n a pas son secteur financier atteint,ses grands groupes de l alementations qui sont l industrie lourdes ou le tertiaire de service comme le Tourisme comment le monde peut il dire que ce pays est en proi a la faillite

L etat grec a une carence negatif budgetairement c est un fait mais quel pays europeens qui a une armee et une place a jouer sur l echiquier mondial n a pas ce probleme

je ne declare qu un tiers de mes revenu,si non je ne travaillerais que pour le fisc,je gagne pres de 2000 euro si je declarais tout,je gagnerais que 800 euros et je travaille pres de 80 heures semaines et je paye moi meme mes charges salarialle vu que je suis au TEBE,chaque annee je donne a l etat grec ,avec la Tva,les impots et mes charges salarialle,pres de 14 000 euros

Pourquoi??? ca suffit pas

En Grece l indemnisation de chomage est a 450 euro pour une personne

Il n y a pas de Cpas ou RMI

Les soins de sante sont presque gratuit,on a de bon medecin ,des bonne infermieres ,des bons traitements,mais un tiers des locaux hospitalier laisse a desirer,sans parler de petit con de medecin qui demande des fakellalia,on m a jamais rien demander mais il en existent malheureusement selon des dires de conaissances,moi ils ont jamais oser me demander quoi que ce soit

La seul chose qui restait d attractif en Grece c est la retraite que ce soit la date de la pension et le montant de la pension,encore plus propice pour les femmes

J en avais parler a un de mes anciens sujet datant d y quelques annees et c est ca que veut oter l U.E aux grecs et bien je dit si c est ca l U.E et si c est qu et l U.E et bien elle fera pas de vieux os,je crois que je verrais meme disparaitre de mon vivant malgre que je suis entre dans la quarantaine,comme avait disparus sans coup ferrir sans qu on l attende le bloc communiste et le rideau de fer,l U.E suit cette meme voie,d un monstre inhumain technocratique sans visage qui oublie le pourquoi qu elle a fait tant rever

l idee utopique de notre europe ,celle que nous revions vit peut etre ses derniers jours

L Ue,ne sera jamais les etats unis de l Europe,le reve americain peut etre un mythe mais il existe dans les subconscient des americains,le reve europeen devient un cauchemard pas seulement pour les sans papier mais aussi pour les nouveau venu comme les pays baltes ou la hongrie ,sans parler de la Roumanie ou de la Bulgarie ou les prix ont exploser depuis qu ils ont entrer,ne parlon pas de l euroland qui depuis l intronisation de l Euro nous a fait tous plus pauvre avec ahahah une monnaie forte qu ils disent,moi je dirais une monnaies surtout chere ,tres chere

Ta leme

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Wed, 02/17/2010 - 06:29 Permalink

16 février 2010 à 12h03
16 février 2010 à 12h03
Tricher sur les chiffres du déficit, un sport européen

La réputation financière de la Grèce a encore pris un coup dimanche. Le New York Times a révélé que Goldman Sachs lui avait fourni un produit dérivé lui permettant de masquer sa dette. Mais Athènes n'est pas la seule à ruser pour réduire son déficit publ
ic ?

Comment Goldman Sachs a-t-elle aidé la Grèce à masquer l'ampleur de sa dette en 2001?

Les critères de Maastricht empêchant la Grèce de trop augmenter la dette, Goldman Sachs lui aproposé une autre formule pour emprunter: du cash contre des versements futurs. Sur le papier, ce n'est pas une dette mais un swap sur devises (un échange de flux financiers). Les Etats ont souvent recours à ce type de produits dérivés pour se couvrir contre les risques de change. Sauf que Goldman a monté la transaction de manière à camoufler dans le swap de 10 milliards de dollars un prêt d'un milliard à la Grèce. Prêt que l'Etat rembourse jusqu'en 2019 en cédant à la banque ses taxes d'aéroport et les revenus de sa loterie nationale. L'opération est tout à fait légale. D'ailleurs, Eurostat, l'agence chargée de vérifier les comptes publics dans l'UE, était au courant selon Bloomberg.

La Grèce, habituée des statistiques frauduleuses ?

La péninsule hellénique n'en est pas à sa première "tricherie" statistique. Son déficit excessif l'ayant empêché de rentrer une première fois dans la zone euro en 1999, le pays a procédé à une vaste opération de "maquillage" de ses comptes : le gouvernement a "inscrit les commandes de matériel militaire dans son bilan non pas au moment de la commande, mais au moment de la livraison", explique Henri Sterdyniak, économiste à l'OFCE. De même, des milliards d'euros de dépenses publiques dans le secteur hospitalier ont échappé au bilan de l'Etat. Ainsi, le déficit officiel de la Grèce en 2001 était de 1,4% du PIB et l'Etat a pu rejoindre la zone euro, alors que son déficit était en réalité de 3,7%. Résultat, il est difficile aujourd'hui de connaître les "vrais chiffres" de ses finances. En 2009, alors que le gouvernement sortant prétendait que le déficit était inférieur à 6%, le nouveau premier ministre Georges Papandreou annonçait qu'il était plutôt de l'ordre de 13%. Désormais, il semblerait que 16% soit plus proche de la réalité...

La Grèce est-elle le seul pays à "tricher" sur ses chiffres ?

Loin de là... "Dans tous les pays, les chiffres de la dette et du déficit ont toujours un petit halo de comptabilité créative", résume Henri Sterdyniak. En 1996, l'Italie a eu recours à des swaps avec la banque américaine JP Morgan pour réduire artificiellement son déficit, selon le New York Times. De manière plus "classique", Berlusconi a "cédé pour 10 milliards d'euros les droits d'entrée dans les musées nationaux à une société financière, qui reçoit en échange 1,5 millard d'euros par an pendant 10 ans", explique l'économiste de l'OFCE.

Mais l'Italie et la Grèce ne sont pas les seuls à recourir à des emprunts masqués pour satisfaire les critères de Maastricht. En 2004, Goldman Sachs et Deutsch Bank ont réalisé un montage financier pour l'Allemagne appelé "Aries Vermoegensverwaltungs". Selon l'économiste Felix Salmon, l'Allemagne aurait ainsi emprunté à des taux largement supérieurs à ceux du marché, uniquement pour éviter que la dette n'émerge dans les comptes publics. La France n'est pas en reste. Selon Henri Sterdyniak, "au début des années 2000, elle a émis des emprunts et a inscrit le remboursement des intérêts à la fin d'une période de 14 ans."

Trends.be, L'Expansion.com

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Wed, 02/17/2010 - 10:30 Permalink

La grèce va mal, c'est normal et celà ne date pas d'hier!! Quand les grecs comprendront qu'ils faut tout d'abord travailler plus et ne pas fermer ses boutiques très souvent dans la journée et de nombreuses journées, quant les grecs cesseront de travailler au noir, de payer ses impôts, alors celà ira peut être mieux! et ne me dites pas le contraire!!! Mes filles sont nées en grèce et y vivent, ma femme y a travaillé et vécu trente années!! Je vous cite deux exemple véridiques, le premier, une personne devait 30 000e d'impôts, pas de problème, après tractation et paiement de la main à la main de 12 000e, la dette a été affacée!! Dans une boutique, un contrôleur des impôts: vous avez la facture de cette chemise, de ce pantalon, de ce stylo!! Ho elle est jolie cette cravatte!! Vous la voulez? Allez hop dans le sac!! Au revoir Madame et plus de contrôle!!!! Combien de grecs font leur travaux au noir? des milliers!! Je veux payer mon essence avec la carte bleue, refuser!!! faut payer en liquide!!! Un taxi, la course de la banlieue jusqu'au centre d'athènes, combien la course? 15e!! çà va pas non!! un autre ; 6e!! L'arnaque tous les jours!!!! Vous avez vu tous ces grecs avec dans leur poche des milliers d'euros!!! c'est leur banque!!!! He oui, le jour où on obligera que tous les salaires quelque qui soient, seront virés directement à la Banque avec prèlèvement des impôts directs ou indirects celà ira peur mieux!! non? Ouais la grèce, c'est les combines!!! et j'en sais quelque chose!!! je l'ai vécu!!! Alors Balayer vos portes, Ayez le courage de réformer vos administrations!!! Après celà ira mieux!!! Le tourisme va mieux? tu parles, horriblement cher les hôtels et pas très propres!!! Vous voulez faire garder vos voitures personnelles? He bien chercher avant d'être vandalisé comme la mienne par trois fois!!! Et puis voyez ce que vous payer au titre du ministère de l'armée!!! C'est incroyable!!! Vous vous croyez en temps de guerre? La turquie va vous envahir? VOUS ËTES DES IDIOTS !!!! Enfin comme dit l'amie de ma fille, nous les grecs nous vivons tous à crédit, avec le deuxième mois!!! Des économies? pfffff c'est pour les parents!!!!

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Thu, 02/18/2010 - 12:30 Permalink

Je me répète, l'Etat grec n'a jamais eu un sou à cause de la mentalité de l'économie grise. Je pense que c'est la raison principale.

On se rend compte aujourd'hui que ce n'est plus tenable. Cela concerne chaque citoyen
- Achat sans factures pour éviter la TVA
- Travail au noir
- Employer au noir des albanais pour faire ses courses, le ménage, garder les enfants...
- Louer des apparts sans le déclarer....
- Pas de factures aux peripteros
- Ne pas déclarer la totalité de ses revenus : c'est le sport national. (je sais que ce n'est pas facile de changer, il y a l'habitude... Je ne fait la morale à personne. l'Etat est peut-être aussi en cause en laissant faire. On a tous une bonne raison. Il est possible que si d'un coup tout le monde payait ses impots correctement de nombreux commerces serient condamnés à disparaitre, mais peut-être n'est ce pas aussi terrible. Mieux vaudrait qu'on paye tous normalement plutôt que d'obliger l'Etat à augmenter certaines catégories d'impots en créant des inégalités, en assassinant la classe moyenne, par exemple)

etc, etc......

Comme disait Tsirigo dans un autre sujet, on a triché pour entrer dans l'Euro. OK, c'est pas grave, c'est pour la bonne cause. Maintenant on est en face de nos responsabilités. L'UE a parfaitement bien fait de déclarer qu'elle n'acorderait pas d'aide à la Grèce (sauf si la situation devient catastrophique : histoire de rassurer un peu les marchés). C'est à la Grèce de régler ce problème.

En dehors de cela mon opinion est que l'Etat pourrait taxer bien plus fortement l'alcool et les cigarettes (pour aboutir par exemple à un paquet à 5 euros, comme dans les autres pays) la crise serait vite réglée, en faisant d'une pierre 2 coups les dépenses de santé diminuraient fortement !

Si on veut garder intacte la "greek way of life" il va falloir sortir de l'EU, sortir de l'Euro. C'est ce que vous voulez ? Je ne crois pas.

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Thu, 02/18/2010 - 00:24 Permalink

Il est vrai que le noir est fort répandu en Grèce. Mais, c'est également le cas ici en Occident (en Belgique où je vis depuis ma naissance). Combien de personnes qui émargent au chômage ou au cpas (rmi) le font pour pouvoir boucler le mois. Combien de petits indépendants le font sans quoi ils seraient taxés et ce n'est pas pour la minable pension qu'ils vont recevoir à la pension qu'ils vont se gêner. Normalement, lorsqu'on lave sa voiture dans un car-wash, on devrait recevoir une souche tva On peut toujours attendre. C'est pareil avec l'horeca, secteur dans lequel le personnel au noir est fort répandu. Et j'en passe,.. A titre d'exemple, personnellement vécu, j'ai demandé des devis à des carrossiers pour la remise en état. On me répondait si j'étais en droit ou si je dispose d'une omnium auto. On fixait le montant à la tête du client,..

Pour que le jeune ne soit plus à charge des parents, ceux-ci le prient de quitter la maison. S'il n'a pas de revenu, il s'adresse au cpas pour obtenir une allocation. Il tombe dès lors à la charge de la Commune.

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Thu, 02/18/2010 - 13:06 Permalink

Il faut savoir : qu'est-ce qu'ils doivent faire les Grecs, travailler plus ou ne pas travailler au noir ? Il faudrait arrêter la rengaine « Ces feignants de Grecs ». Combien sont obligés de faire deux, voire trois boulots pour joindre les deux bouts ?
Ce n'est pas parce que l'on a eu vent de quelques caricatures qu'il faut généraliser.
De combien est la dette française ? avant de faire le fier, il faudrait regarder devant sa porte (même si chacun voit midi à sa fenêtre). Balayer ? oui, mais balayons tous ensemble !

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Thu, 02/18/2010 - 22:54 Permalink

BRAVO !! Tout est dit. Les gens critiquent la Grèce mais ils ne regardent pas chez eux où ils ne veulent pas regarder. Dans tous les pays il y a des magouilles, même en France, à moins de vivre dans un trou perdu, on le sait.
Et en France, c'est mieux, tous ces politiques qui s'en mettent pleins la poche, qui touchent des supers retraites même quand ils ont quitté le gouvernement ? Avec tous les avantages qui vont avec ?
De toute façon, tous les gens de tous les pays auraient fait la même chose s'ils en avaient eu la possibilité, moi la première : Ne pas payer d'impôts, travailler au noir. Alors arrêtez de critiquer.
Et méfiez-vous cela se répand dans l'Europe, donc ne rigolez pas trop de la Grèce. C'est un très beau pays et qui le restera quoiqu'il arrive.

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Wed, 05/05/2010 - 17:14 Permalink