La croissance pourrait être inférieure en 2008 à la prévision de 3,7%, tandis que l'inflation devrait atteindre à la fin de l'année 4% contre 3,4% prévu, a estimé mardi le gouverneur de la banque centrale de Grèce, Nicolas Garganas.
"Il est probable que le rythme de croissance de l'économie grecque soit plus faible que prévu", a indiqué M. Garganas en présentant à la presse le rapport annuel de la banque de Grèce.
Il a imputé cette baisse à "la diminution du rythme de croissance de l'activité économique mondiale, à une demande extérieure plus forte que prévue, à l'augmentation du prix du pétrole et des denrées alimentaires, et au coût de financement accru".
En ce qui concerne l'inflation, a ajouté le gouverneur, elle sera supérieure aux prévisions en raison de la hausse du prix du pétrole et du coût du travail après le récent accord entre les partenaires sociaux d'augmentation du salaire minimum de 6,2% en 2008 et de 5,7% en 2009.
"Il sera difficile de conserver des rythmes élevés de croissance si on ne développe pas les efforts pour affronter les faiblesses structurelles de l'économie", a estimé M. Garganas.
Il a souligné la nécessité de "poursuivre l'assainissement économique, renforcer la productivité, et contenir les coûts de production pour améliorer la compétitivité internationale de l'économie".
Il a réclamé la mise en place "de réformes structurelles pour améliorer la productivité, pierre angulaire de l'amélioration du niveau de vie".
M. Garganas a indiqué que le niveau de vie des Grecs avait augmenté de 51% au cours des douze dernières années, mais que "malgré tout, 13% des travailleurs, 25% des retraités et 33% des chômeurs se trouvaient au dessous du seuil de pauvreté".
Garganas voit la croissance à la baisse et l'inflation à la hausse
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Re: Garganas voit la croissance à la baisse et l'inflation à l
Prévisions intermédiaires de l'UE: tassement de la croissance et recrudescence momentanée de l'inflation
La croissance économique devrait retomber à 2,0 % cette année dans l'Union européenne (1,8 % dans la zone euro), certains des risques identifiés lors de l'exercice de prévision de l'automne – crise prolongée du marché financier, ralentissement marqué de l'activité aux États-Unis et prix élevés des matières premières - s'étant matérialisés. Ceci représente une diminution de 0,4 point de pourcentage pour l'UE et la zone euro par rapport aux prévisions du mois de novembre. L'inflation devrait se situer à 2,9 % en moyenne dans l'UE et 2,6 % dans la zone euro cette année à la suite de la hausse considérable des prix des denrées alimentaires et de l'énergie. Ceci représente ½ point de pourcentage de plus que ce qui avait été annoncé lors des dernières prévisions. Toutefois, l'inflation devrait revenir à un niveau plus normal durant le dernier trimestre de 2008.
« De toute évidence, l'Europe commence à ressentir les effets des vents contraires au niveau mondial en termes de ralentissement de la croissance et de recrudescence de l'inflation. Sa résilience accrue grâce aux réformes déjà accomplies et ses solides fondamentaux l'aident à traverser la tempête. De plus, les efforts consentis dans le passé pour atteindre l'équilibre budgétaire ou dégager des excédents permettent aux stabilisateurs automatiques d'intervenir pleinement dans la plupart des cas. Mais d'une manière générale, la meilleure solution pour faire face aux perturbations que connaît actuellement l'économie mondiale est de maintenir le cap des réformes structurelles, de poursuivre des politiques macroéconomiques saines et de mettre rapidement en œuvre la feuille de route Ecofin du mois d'octobre afin de faire face à la crise financière» a déclaré Joaquín Almunia, le commissaire européen chargé des affaires économiques et monétaires.
La croissance du PIB réel s'est ralentie durant le quatrième trimestre de 2007 pour s'établir à 0,5 %, contre 0,8 % en glissement trimestriel dans l'UE ( et à 0,4 % en glissement trimestriel dans la zone euro). Pour l'ensemble de l'année 2007, il semble que la croissance économique ait atteint 2,9 % dans l'UE et 2,7 % dans la zone euro, selon un communiqué de presse récent d'Eurostat.
Pour 2008, la Direction générale des affaires économiques et financières de la Commission prévoit maintenant une croissance de 2,0 % pour l'UE et de 1,8 % pour la zone euro, soit 0,4 point de pourcentage de moins que ce qui avait été annoncé dans les prévisions d'automne. Ces pourcentages reposent sur de nouvelles prévisions intermédiaires concernant la France, l'Allemagne, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne, l'Espagne et le Royaume-Uni, qui représentent ensemble 80 % du PIB de l'UE.
Détérioration du contexte mondial
La situation économique mondiale et les perspectives d'avenir restent exceptionnellement incertaines en ce début d'année 2008. La réévaluation du risque qui a débuté l'été dernier sur les marchés financiers n'est pas terminée. Par conséquent, les conditions qui règnent dans le système financier international sont précaires, car le fonctionnement de plusieurs segments des marchés du crédit a été entravé. Les différentiels demeurent substantiels, et le goût du risque a diminué.
Les économies européennes étaient globalement saines à la veille des perturbations récentes. Toutefois, les données correspondant au quatrième trimestre de 2007 reflètent un tassement de l'activité découlant à la fois du resserrement des conditions d'octroi de crédit et de la récession aux États-Unis, entraînant un ralentissement de la croissance mondiale, qui reste néanmoins supérieure à sa moyenne à long terme. Les prix élevés du pétrole et des matières premières ont également une incidence.
À ce stade, les indicateurs sont particulièrement importants pour mesurer l'incidence du changement de contexte extérieur. Après avoir atteint des sommets l'été dernier, les indicateurs de confiance sont en recul constant. Toutefois, l'indicateur du climat économique de la Commission reste supérieur à sa moyenne à long terme tant pour l'UE que pour la zone euro.
La mise à jour des prévisions pour les sept plus grandes économies de l'UE indique également que le ralentissement de la croissance pourrait être de courte durée, puisque les chiffres trimestriels annoncent une accélération durant la seconde moitié de 2008. Ceci repose sur l'hypothèse d'une relance rapide de l'économie américaine, tirée par un assouplissement très net de la politique monétaire et budgétaire, et d'une normalisation progressive des marchés financiers.
Progression de l'inflation à la suite de la flambée des prix des denrées alimentaires et des matières premières
En 2007, l'inflation est restée contenue à un niveau moyen estimé à 2,3 % dans l'UE et 2,1 % dans la zone euro, mais elle a augmenté durant le dernier trimestre. En janvier 2008, elle avait augmenté de 3,2 % sur une base annuelle selon les estimations. Cette progression récente s'explique par les prix des denrées alimentaires et de l'énergie et par des effets de base défavorables. L'inflation de base a elle aussi augmenté pour atteindre 2,3 %, une progression que l'on peut attribuer aux services, aux produits industriels non énergétiques et aux denrées alimentaires transformées. Les pressions des prix au niveau des producteurs ont également commencé à s'accroître. Sur la base du marché à terme, le prix moyen pour le pétrole brut de qualité Brent est estimé à 90 dollars le baril en 2008, soit 15 % de plus que ce qui avait été annoncé dans les prévisions d'automne en termes de dollars.
Dans ce contexte, les projections d'inflation basées sur les prix à la consommation ont été revues à la hausse de 0,5 point de pourcentage en 2008 pour les deux zones: 2,9 % dans l'UE et 2,6 % dans la zone euro. Cette révision à la hausse est généralisée dans la plupart des sept plus grandes économies de l'UE en raison des prix plus élevés du pétrole. Toutefois, avant la fin de 2008, l'inflation devrait revenir juste au dessus de 2½ % dans l'UE (juste au-dessus de 2 % dans la zone euro) comme prévu durant l'automne pour autant que la progression des prix des matières premières et des denrées alimentaires s'interrompe.
Évaluation du risque
Des risques pèsent sur ces perspectives de croissance. En effet, la récession aux États-Unis est plus marquée, et l'incidence de l'assouplissement de la politique monétaire et de la politique budgétaire demeure incertaine. Les difficultés subsistent sur les marchés financiers. Enfin, les prix élevés des produits de base pèsent à la fois sur la croissance et sur l'inflation en Europe. Les risques qui pèsent sur les perspectives d'inflation semblent s'équilibrer mutuellement, mais ils pourraient accroître l'inflation, ce qui est particulièrement préoccupant.
Le rapport plus détaillé figure à l'adresse:
http://ec.europa.eu/economy_finance/the…
Venant du site de l U.E
http://europa.eu/rapid/pressReleasesAct…
L’inflation de la zone euro au plus haut depuis 14 ans
http://www.gautier-girard.com/analyse-e…
La croissance en Grece est superieur de pres de 1,5 fois au reste de l U.E ou de la zone euro et ca fait dix ans que ca dure
1997 3,638
1998 3,364
1999 3,42
2000 4,477
2001 5,086
2002 3,829
2003 4,753
2004 4,677
2005 3,658
http://perspective.usherbrooke.ca/bilan…
Idem pour 2006 et 2007
http://www.info-grece.com/modules.php?n…
Mais comme le dis l article que t a publie,il y a politique en grece actuellement aussi d augmentation des retraites et des salaires et des aides sociales donc normal d une chute douce de la croissance
Mais la suite en chiffre est interessante
Pib pat habitant zone euro
http://www.inegalites.fr/spip.php?artic…
Salaire minumum et pouvoir d achat
http://www.inegalites.fr/spip.php?artic…
La Grece est le seul pays avec les chiffes 2006 {alors que les salaires sont indexea a l inflation} donc il est superieur en 2007 alors que les autres ont les chiffres 2007,les USA font pas mieux que la Grece idem l Espagne
Salaire et pouvoir d achat
http://www.inegalites.fr/spip.php?artic…
Taux de pauvrete en Europe
http://www.inegalites.fr/spip.php?artic…
Ou l Irlande est bonne dernieres alors que c est le pays qui a le PIB le plus eleve d europe,etrange est ce pas ???
la Grece est avec l Irlande,l Espagne,l Italie ,le portugal et la Gb
mais ces chiffres sont calcule apres transfer sociaux,c est a dire aide d allocation de chomage,Rmi,Cpas etc etc
Les pays du Sud mediterraneen sont connu pour ne pas donner grand chose donc c est normal ,mais la GB ou l Irlande ??? surement l eldorado liberale sans doute !! et si on retire ces chiffres de transfers sociaux ,je me demanderais bien ou serait la France et la Belgique par exemple
Car si on compte le chiffre du chomage donc des allocs de chomages etc etc
http://www.inegalites.fr/spip.php?artic…
Vu qu en Grece apres un an ,plus de chomedu,impossible en grece d etre un chomeur de longue duree ,IL N Y A PAS D INTERET PECUNIER,faut aller travailler si non ,on est dans la merde
Alors qu en France et surtout en Belgique,il y a des pros du chomage longue duree
Donc les chiffres sont de toutes facons bidons
C est comme pour les states
Qu est ce qui se passe ???
http://www0.un.org/french/works/goingon…
Ca vient d un site de l ONU !!!
Les problèmes sociaux ont augmenté ces dernières années : 37 millions d’Américains, soit 12,7% de la population, vivent en dessous du seuil de pauvreté (9645 dollars par an pour une personne seule, 19307 dollars pour une famille de quatre personnes). Ce pourcentage est en augmentation régulière. 15,6 millions d’Américains (5,4 % de la population totale) sont considérés comme très pauvres (revenus de moitié inférieurs aux seuils précités). 47 millions d’Américains dont 8,5 millions d’enfants sont dépourvus d’assurance santé, soit 16 % de la population.
9645 dollars soit 6,066 EURO diviser par 12 ca donne 505 euro et si on divise par 14 vu les primes des fetes et pour les vacances ,on arrive a 433,3 EURO
Ces chiffres viennent du gouvernement francais
http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/pays-z…
De quoi mediter des idees preconcues
Donc mon petit tu voulais dire quoi hein ??
ta leme
In reply to Re: Garganas voit la croissance à la baisse et l'inflation à l by alex
Ne paniquez pas
En Grèce cela fait des années que ce pays a une excellente croissance, supérieure à la moyenne européenne, bien supérieure à la France. Elle est sur la bonne pente, ça va juste se tasser un peu, sans remettre en cause le processus.
L'inflation va causer des problèmes dans des secteurs moins indispensables que l'alimentation ou l'énergie, mais nous pouvons supporter la hausse ce qui n'est pas le cas des pays pauvres. On va seulement moins acheter de vêtements, de voitures ou d'électronique, pour compenser avec la hausse des matières premières et de l'essence, le temps que ça se tasse.
L'économie des USA, GB etc. est parfaitement saine, ne vous méprenez pas. Ce sont des pays avec un niveau d'industrialisation, de recherche et développement très élevé, qu'est-ce que vous croyez ? Leur PIB est phénoménal, leur niveau de chômage quasi-inexistant : 3% de chômage savez-vous ce que cela veut dire ? Ca veut dire que, au pire, vous attendez quelques mois pour obtenir le poste que vous convoitez, tandis qu'en France, 8-9% ou plus, cela veut dire que vous pouvez attendre 2 ans, sans garantie que vous trouverez quelque chose !
Les USA vont probablement vite renouer avec la croissance. (Ils ne sont même pas officiellement en récession !) L'épisode des subprimes va être corrigé rapidement, comme l'éclatement de la bulle Internet en 1999. Les gouvernements sont prévoyants et soutiennent les secteurs en difficulté (Banques). On a encore beaucoup de marge de manœuvre, mais il faut être vigilant. Je pense qu'en occident on est trés vigilant et prévoyant.
In reply to Ne paniquez pas by Philippe
Crise provoque ou nouveau ordre mondial ??
Philippe je te rejoint concernant ton post surtout sur le niveau d'industrialisation, de recherche et développement très élevé
C est la que heureusement pour les States est la force de son peuple innovateur
C est la que les europeens doivent mettre le turbo
C est ce que fait l Allemagne depuis pres de cinq ans ,c est la que le bas blesse en france ou la fuite des cerveaux est interminable vers les pays anglosaxons ou la recherches et les facilites de creer une entreprise est d une simplicite efffarante
http://www.lentreprise.com/1/2/1/articl…
http://www.lentreprise.com/1/2/1/articl…
Il y a des risques d ordre culturelle d idee de marche concernant le consomateur americain qui est different du consomatteur europeen
Mais c est l idee qui prime aux states pas les fonds de depart
C est ca la force des states par rapport a l Europe ,je l ai vecu durant plus d un an quand j etait sur place
Mais c est aussi l epee de Damocles car on vous pretent facilement pour creer une entreprise mais en cas de coup dur vous etes vite dans la merde et vous pouvez devenir un homeless,un de plus du reve americain
Mais c est la ,la difference entre l Europe et les States
ON NE VOUS COUPE PAS LES AILES LORS DE VOTRE DEBUT PROFESSIONEL
Pour le Nasdaq et les entreprises de communications et informatiques qui se sont casser la gueule dans la crise precedente ,c etait de l ordre de faire acquisition de ces boites innovatrice au mains de quelques cartel bien precis du milieu qui etaient en manque d idee innovatrice ou completement out de l explosion du cyber espace economique
Mais cette crise est etrange alors que le dollars se deprecient de plus en plus avec l Euro,ultime arme de la fed est de devalue le dollars,la crise de recession aux States est de plus en plus explosive car on presque a un taux interet americain de moitie de celui de la Zone Euro ou les treaders investirons du dollars vers l Euro de plus en plus
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit…
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit…
Rocard l avait predit fin 2007
La crise mondiale est pour demain
http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/paruti…
Surtout que la Fed a battut tout les records de baisse du taux directeur
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit…
http://www.lefigaro.fr/tauxetdevises/20…
Mais l effet boule de neige et de domino est declare par les grands pontes europeens
http://www.lefigaro.fr/marches/2008/03/…
L Angleterre suit la tendance
http://www.lecho.be/article/La_Banque_d…
http://www.lecho.be/actualité/economie-…
Mais la BCE tient bon
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualit…
Philippe ton titre Ne paniquez pas faudra le dire a Attali
« Nous sommes au bord d'une récession. Elle tire son origine de l'effondrement du marché du crédit hypothécaire américain. Elle a détruit, en quelques mois, des richesses égales à 10 % du PIB mondial, soit 4.000 milliards de dollars, c'est-à-dire 50 fois plus que les pertes générées dans les industries de pointe par l'explosion de la bulle internet », analysait dimanche Jacques Attali dans le JDD. Et l’ancien sherpa de Mitterrand d’ajouter : « on est passé, en une semaine, de l'euphorie à la panique : plus personne ne prête à personne. Plus aucune banque ne prête à une autre banque. Et si les banquiers continuent à paniquer, nous risquons une crise de 29. D'ailleurs, aux Etats-Unis et ailleurs, certains grands patrons de la finance me disent en privé : "Nous sommes en 1928" !
"De un à trois millions de personnes pourraient perdre leur logement", a récemment souligné le sénateur américain Christopher Dodd, président de la commission bancaire du Sénat.
La crise des "subprimes
http://info.france2.fr/dossiers/economi…
Mais ta raison sur une chose fondamentale Philippe faut pas paniquer c est en temps de crise qu on fait les meilleurs affaires si on a les reins solides
ON VIT L EPOQUE DOREE DES TRADERS QUI AVANT LA CRISE FINALE,C EST CES GOLDEN BOYS QUI ONT FAIT EXPLOSER LE MARCHE BOURSIER DEPUIS LES ANNEES 80 ET CES EUX DU MOIN LES PLUS PERSPICACES QUI PROFITTERONS DE CETTE CRISE MEME JUSQU A DEMOLIR LE SYSTEME POUR LEUR SOIF D OR
http://www.01men.com/editorial/378101/a…
http://www.journaldunet.com/economie/ma…
Mais si il y a deflation leurs milliard valera comme le reichmark de l entre deux guerre
Au fur et à mesure que l’économie allemande s’effondrait, le gouvernement réagissait en imprimant toujours plus d’argent, alors que le Reichsmark perdait de sa valeur. En 1913-1915, sa valeur était évaluée à 4 pour 1 dollar, puis 6 pour 1 en 1917-1918. Ensuite, la situation a commencé à dégénérer à 20 pour 1 en 1919, 63 en 1920 et 105 en 1921. Puis en 1922, ce fut la rupture, le Reichsmark atteignant 1886 pour 1 dollar avant de finir à 535 milliards pour 1 en 1923. Pendant ce temps là, le coût de la vie (en prenant 1913 comme base 100) est passé à 1019 en 1920 et 657 milliards le 23 novembre 1923. (source : Bureau allemand des statistiques)
Il ne manque que l hyperinflation dans le jargon actuel des pontes du capital mondial
Plus les jours passent ,plus les cassandres alarmistes crient au naufrage et cela venant de nos gouvernants
Je suis un optimistes vu que le dollars c est une monnaie de singe qui n est pas convertible en or et dont la FEd imprime tant qu elle veut de ces billets verts en sachant que les fed bonds de la Fed sont soutenus par les economies du mondes entiers qui achettent ces bonds
Il y a un site qui est une Think Thank connu dans le milieu economique en Europe qui est le Laboratoire europeen d anticipation politique
Qui parle du debut de la Crise ,d une guerre economique larve entre la Chine et les USA
http://www.europe2020.org/spip.php?arti…
Et ils parlent des fameux fond de pension la grosse arnaquent de tout les temps
http://www.europe2020.org/spip.php?arti…
Vu qu il faut etre abonner pour le lire entierement je l ai retrouver sur un autre site qui croit dur comme faire que la Fin et Proche
http://eldib.wordpress.com/2008/03/30/c…
J AI QUAND MEME L IMPRESSION QUE LA SPHERE CAPITALISTE DES DECIDEURS SONT ENTRAIN DE PETER LES PLOMBS AIDER PAR DES CASSANDRES COMME CEUX DU Laboratoire europeen d anticipation politique
Si c est vrai que la Chine a les moyens via son soutient des feds bonds de faire du chantage aux states concernant son equilibre economique
Et bien nous vivons tout simplement l avenement de la domination economique de la Chine par cette crise annonce,un changement de leader comme en a l epoque de l Hyperinflation de l Allemagne en Europe ou de la crise de la Livre Sterling qui abandonna pour ces billets de banque la conversion en or pour emettre des billets de banque non solvable comme le fait depuis plus de cinquantes ans les States
http://64.233.183.104/search?q=cache:zL…
petit recapitulatif de la crise de 29
http://www.pse.ens.fr/hautcoeur/crise29…
BASER L ECONOMIE MONDIALE SUR LA MONNAIE DE SINGE C EST FAIRE DU MONKEY BUSINESS
Et depuis que l Axe du mal aux yeux de BUSH comme CHAVEZ OU LES FOUS DE DIEUX IRANIENS ONT DECLARES QUE LE PETRODOLLAR C ETAIT FINI QU ILS VOULAIENT LE PETRO-EURO
Je vois mal cette monnaie de singe tenir encore longtemps
Ta leme
In reply to Crise provoque ou nouveau ordre mondial ?? by alex
La Chine
La Chine est loin d'atteindre le niveau des USA. Elle s'est enfin ouverte au monde, elle imite l'occident et a adopté l'économie de marché, donc ça va mieux pour elle, mais 80% des chinois vivent encore dans des petits villages trés pauvres.
L'industrie des USA a 1 siècle d'avance sur la Chine, elle inove tous les jours alors que les usines chinoises produisent des copies pour rattraper le retard. Leur production automobile, par exemple, est inexportable car ne satisfait à aucun critère de sécurité. Ils ont besoin des produits de l'occident qu'ils sont incapable de fabriquer (Avions, trains, centrales, usines, etc). De fait, c'est un marché énorme pour les USA, l'Europe, le Japon...
Ils vont peut-être rattraper peu à peu leur retard industriel. Tant mieux pour eux ! Mais sur le plan social, ils sont encore à des années-lumières. Ils n'ont aucun scrupule à commercer avec les pires régimes (Soudan, Birmanie...) en envenimant les conflits. Les USA étant une vraie démocratie, son industrie ne peux se permettre les mêmes dérives sans s'attirer de sévères critiques.
Re: gang
Notre petit Alex est toujours un complexé et un rêveur.Ça se voit qu'il ne vit pas en Grèce.
Continues petit!Personne ne t'empêches pas de rêver.(:P)