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La force economique et politique de la Grece dans les balkans

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La force economique et politique de la Grece dans les balkans

Les hommes d'affaires grecs ont tout accaparer en Fyrom et en Albanie et sont un des principaux investisseurs en Bulgarie,Serbie,Croatie et Roumanie.

L achat de la raffinerie de petrole de la Fyrom, "Okta",par "Hellenic Petroleum" en mai 1999.

"Hellenic Petroleum" a acquis aussi bien les reseaux de distribution des produits petroliers en Albanie .

Apres que l'"banque d'Erste" autrichienne fut ejecter pour l'affaire concernant l achat de Stopanska Banka, "la banque nationale de Grece" (NBG) a achete apres de dure negociation la majoritee du controle de la"Stopanska Banka", le principal etablissement bancaire de la Fyrom .

Avec plus des 60% de tous ses actifs bancaires et cette banque a une responsabilite enorme dans la Fyrom et a des parts de capital dans les societes les plus importante du pays, "Stopanska Banka" est synonyme de l'economie de la Fyrom.

NBG a achete une banque ou l'etat avait de forte dette.

NBG - comme d'autres banques de Grece, telles que Euro bank, a des branches et possede des agences en Albanie, en Bulgarie, et en Roumanie.

Mais elles sont nulle part aussi influente que ce qui se passe en Fyrom.

Elles peuvent controler la Banque centrale de la Fyrom (NBM)

Une autre banque grecque, Alpha Bank, a achete la majoritee du controle de la Kreditna Banka, une banque de la Fyrom avec des operations etendues dans le Kosovo et entre les O.N.G.S.

Le groupe de telecommunication grec, OTE, a acquis le deuxieme permis d'operateur de mobilophone { GSM } dans Fyrom.

Cette acquisition a augmente la force d'OTE qui a aussi des operateurs mobiles en Albanie (CosmOTE) et en Bulgarie (GloBUL).

La Grece officiellement considere clairement les investissements grecs comme un pilier d'une sphere d'influence grecque dans les Balkans.

La Turquie a l'Asie centrale, Autriche et l'Allemagne ont l'Europe centrale - la Grece a les Balkans.

La Grece representait et represente encore officiellement les interets de la Bulgarie dans l'OTAN et l'EU avant son adhesion.

Le grec est parler dans beaucoup de pays balkanique et les hommes d'affaires grecs sont moins deconcertes par les economies de transition dans la region,la Grece a l avantage d etre passe par une phase semblable dans les annees 50 et les annees 60,la Grece est un pont et une tete de pont pour les multinationales occidentales qui sont en general tres frileuses sur ces marches instables.

Environ 20% du commerce de la Grece est avec les Balkans ,la Grece a un PIB par habitant 8 fois superieur a la moyenne des pays balkaniques .

Les exportations vers les pays balkaniques ont decuple depuis 1992 et le surplus de la balance commerciale de la Grece n arrete pas de montee.

Les exportations grecques constituent 35% de toutes les exportations d'EU en Macedoine et 55% de toutes les exportations d'EU en Albanie.

L'instabilite, l'anarchie, et le retard de la region ont inflige des pertes pour les societes grecques (par exemple en 1997 la crise en Albanie, ou en la crise de 1998-9 au Kosovo et en Serbie).

Mais ils ont continue a venir et revenir pour finir de devenir de plus en plus incontournable.

Des milliers de petits commercants et petites et moyennes entreprises balkanique commandent a des grossistes et distributeurs grecs qui sont l ecrasante majorite dans les pays balkanique et ont le monopole des concessions des marques occidentales et sont les distributeurs et importateurs des produits grecs qui ont une place preponderante dans les balkans.

La Grece, comme etat, devient impliquee dans le transport et les projets energetiques.

Des investissements inspire par l etat grec et son secteur public ont ete strategiquement places dans les telecommunications et les secteurs bancaires - ce sont les systemes de communication cle de n'importe quelle economie moderne.

La Grece achete des raffineries et des banques, des telecommunications et des routes.

Ces investissements dans ces quatre secteurs peuvent accroitre facilement et immediatement la presence grecque dans l industrie locale et les services et avantager le secteur prive grec dans des nouvelles demarches de nouvelles aquisitions sur place.

Elle peut influencer et obtenir ce qu elle veut des politiciens locaux.

La Grece actuellement peut facilement le faire dans tous les Balkans.

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La Grèce et l'Italie soutiennent le projet de gazoduc

Carl Mortished, rédacteur international d'affaires

La Grèce et l'Italie ont donné une poussée politique cette semaine à un projet de gazoduc qui apportera le gaz d'Asie centrale a la botte de l'Italie et aidera à casser la domination de la Russie sur les approvisionnements de gaz européens.

Un accord pour accélérer le travail sur un inter-connecteur sous-marin de gaz en Adriatique a été signe ce mercredi à Athènes par Pierluigi Bersani, le ministre italien du développement économique, et Dimitris Sioufas, son homologue grec.

l'Italie espère que ce gazoduc sous marin de 212 kilomètres d'Otranto à Stavrolimenas en Grèce reliera les consommateurs italiens de gaz a une connexion au terminal turc d Ezurum, stratégiquement placé pour des importations de gaz d'Azerbaïdjan, d'Iran et d'Irak.

L'affaire de cette canalisation entre l'Italie-Grèce est soutenu depuis que l'inquiétude est monte des du aux accords stratégiques entre la Russie, l'Algérie et l'Iran pour la création de « l'OPEP du gaz ».

Le lien de la Turquie-Grèce-Italie, connu sous le nom the Southern European Gas Ring, est estime a $1 milliards, est fait parti d un projet encore plus grand, Nabucco, qui un gazoduc reliant la Turquie a l'Autriche, par l'intermédiaire de la Grèce, de la Bulgarie, de la Roumanie et de la Hongrie.

Le projet de Nabucco est favorisé par le Commission européen, qui a protesté contre le Kremlin la semaine dernière concernant un accord de coopération d'énergie signé par Viktor Khristenko, le ministre de l'énergie russe, et Chakib Khelil, son homologue algérien.

Cette cooperation envisage que Sonatrach, la compagnie d etat de petrole et de gaz algérienne , participera à un projet de gaz naturel liquéfié de la mer baltique tandis que Gazprom participera a développer un champs gazier algérien.

Ces accords ont encouragé les craintes de Bruxelles que le Kremlin prenait des mesures concrètes pour construire un cartel tres puissant sur le gaz, Moscou a nier cette creation.

« La Commission n'était pas heureuse de la manière que la Russie a manipulé la réunion à Alger, » ,« l Europe a un droit a la transparence. » a dit un porte-parole de la commission.

Le projet de Nabucco est la réponse de l'Europe à la menace d'une compromission possible d'offre de gaz entre la Russie et l'Afrique du Nord.

Les sirenes d'alarme avaient deja retenti par l ENI en avril, après des entretiens initiaux entre Gazprom et Sonatrach sur les commodites d'une affaire qui brasse $7 milliards entre la Russie et l'Algérie.

Paolo Scaroni, cadre supérieur d'ENI, a dit a la Commission que sans diversificiation, l'Italie en 2010 dépendrait de la Russie et de l'Algérie pour 75 pour cent de son gaz.

03 February 2007 traduit en francais du The Times

Oléoduc Bourgas-Alexandroupolis: accord de principe entre Moscou, Athènes et Sofia

La Russie, la Grèce et la Bulgarie ont approuvé le texte de l'accord intergouvernemental sur le chantier de l'oléoduc Bourgas (Bulgarie)-Alexandroupolis (Grèce), a annoncé par téléphone à RIA Novosti mercredi le vice-ministre russe du Développement économique Andreï Dementiev.

"Le texte de l'accord a été approuvé et le protocole signé par les trois parties fait état de leur volonté d'achever au plus vite le travail sur les documents constitutifs de la compagnie (qui gérera l'oléoduc), ainsi que sur le projet d'accord sur le transport de brut", a indiqué le vice-ministre qui conduit la délégation russe aux négociations en Bulgarie.

"La Grèce souhaite que le texte de l'accord intergouvernemental soit signé début mars à Athènes", a ajouté le vice-ministre.

"Le texte de l'accord fera l'objet de concertations nationales, lesquelles, comme nous l'espérons, prendront peu de temps", a conclu le vice-ministre.

Il s'agit d'une concertation du texte et non pas d'une signature de l'accord, a-t-il toutefois tenu à préciser.

Hier, le ministre grec du Développement et de l'Energie, Dimitris Sioufas, avait annoncé le paraphage de l'accord.

Le projet d'oléoduc Bourgas-Alexandroupolis - le mémorandum sur le chantier avait été signé par la Russie, la Bulgarie et la Grèce en avril 2005 - prévoit la création d'un nouvel itinéraire de transport de brut depuis les ports russes de la mer Noire vers les marchés européen, nord-américain et asiatique par la Bulgarie et la Grèce, en contournant le goulet d'étranglement des détroits turcs.

La capacité projetée de l'oléoduc Bourgas (Bulgarie) - Alexandroupolis (Grèce), long de 280 km, est de 35 millions de tonnes par an, avec la possibilité de la porter à terme à 50 millions de tonnes. La conduite projetée pourra transporter séparément différents types de pétrole. Le coût du projet pourrait atteindre selon différentes estimations 1 milliard d'euros.

L'oléoduc appartiendra à une compagne internationale qui sera instituée par les pays membres du projet. La part de la Russie s'élèvera à 51% et celle-ci sera gérée par le Pipeline Consortium Burgas-Alexandroupolis Limited, formée par Rosneft, GazpromNeft et Transneft. La Bulgarie et la Grèce détiendront chacune 24,5% des parts.

ATHENES, 7 février - RIA Novosti.

La Grece actuellement est en passe de devenir la place geostrategique des differents projets de oleoduc et gazoduc si important pour l Europe, la Russie et les USA concernant la politique energetique mondiale

Elle joue sur tous les tableaux que ce soit avec les occidentaux ou les russes, elle a cet avantage de faire partie de ces deux mondes et c est ce qu elle fait sans fermer la porte a aucune partie

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Wed, 02/14/2007 - 00:31 Permalink
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Philippe

Je n'arrête pas de le dire ! La Grèce est une puissance économique et politique régionale.
Economie très dynamique avec un boulevard d'expansion devant soi, influence politique, positions stratégiques (Veto sur la Fyrom accepté par l'ensemble de la communauté internationale, contrôle de la mer Egée...)
De plus le niveau de vie des grecs a littéralement explosé depuis l'adhésion à l'Europe et continue d'augmenter, sans parler de la qualité de vie...

Certes, les grecs ne sont pas riches, mais ils sont loin d'être pauvres. Il n'y a pas d'inégalités flagrantes contrairement aux grandes puissances occidentales.
Il serait temps d'arrêter de se plaindre et d’essayer de voir le verre a moitié remplit plutot qu’a moitié vide.

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Thu, 02/15/2007 - 18:56 Permalink

Philippe tu as raison de le dire, surtout que les europeens n ont vraiment aucunes idees de ce qui se passe vraiment dans les Balkans

Je viens de decouvrir un exemple completement delirant et triste en meme temps qui definis bien ce que j avais dit dans mon message premier sur ce sujet

Jugo Casino hotel de Gevgelija

Par Sasha Uzunov

Pouvez-vous imaginer que des citoyens americains ne soient pas autorises a jouer a Las Vegas ?

Il y aurait une revolution dans les rues et Elvis Presley se retournerait dans sa tombe.

Heureusement le roi n'est pas vivant pour voir ce qui se passe dans le casino de Gjevgjelija, ville slavomacedonienne de la frontiere Grece-Fyrom .

Le casino hotel Jugo veut votre argent, seulement si vous etes Grec !

Ouais, c'est comme ca les mecs !

La receptioniste te demandera avec bonte en grec si vous avez un passeport grec, et si vous n en avez pas veuillez vous en aller.

« Elvis a quitte le batiment ! »

Si vous ne comprenez pas le grec elle repetera les instructions en slavomacedonien.

Les passeports australiens et americains sont aussi exclus eux aussi !

Le casino a son propre service de navette qui prend des riches grecs avec un van luxueux et les font traverser la frontiere de la Fyrom, jusqu aux tables de jeu de Gjevgjelija.

Quant au spectacle de cabaret, il y a des fortes rumeurs qui disent qu Elvis Presleyopoulos chante quelques uns de ses hits, tels que Return to Skopje, Viva Las Gjevgjelija !

Les responsables du casino ont refuse de commenter cette politique discriminatoire.

traduit en francais du site

http://www.realitymacedonia.org.mk/web/…

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Ps :Un grand merci a Ellinas de cette decouverte

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Sat, 02/17/2007 - 21:09 Permalink
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alex

Moscou va pouvoir diversifier les voies d'acheminement de son pétrole vers l'Europe de l'ouest avec un nouvel oléoduc bulgaro-grec de la mer Noire à l'Egée, qui a fait l'objet jeudi à Athènes d'un accord en présence du président russe Vladimir Poutine.

"La position géographique de la Grèce et de la Bulgarie crée de nouvelles possibilités pour développer des voies de transit des hydrocarbures russes vers les marchés européens et mondiaux", a souligné le leader russe, insistant sur "la sécurité et la stabilité" de ce mode d'acheminement.

Reliant le port bulgare de Bourgas à celui d'Alexandroupolis, au nord de la Grèce, l'ouvrage d'une longueur de 280 km vise à transporter vers l'Europe de l'ouest le pétrole de la Caspienne en contournant les détroits turcs du Bosphore et des Dardanelles saturés.

Depuis Bruxelles, le commissaire européen à l'Energie, Andris Piebalgs, a salué un accord d'une grande importance pour réduire la pollution maritime.

"Etant donné la densité croissante du trafic maritime en mer Noire et les quantitées supplémentaires de pétrole exportées dans la région, il est de la plus haute importance de donner une plus grande priorité à l'alternative du transport pétrolier par oléoduc", a-t-il dit.

Dans la guerre géostratégique que se livrent Russes et Américains, l'ouvrage permet en outre à Moscou de conserver le contrôle de l'acheminement d'une partie du brut de la Caspienne alors que vient d'être inauguré l'oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC), soutenu par Washington, qui contourne le territoire russe.

"La Russie essaie actuellement de multiplier les voies de sorties de ses hydrocarbures pour éviter d'être coincée en cas de crise avec un pays de transit. En gros elle ne veut ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier", commente Céline Bayou, spécialiste des questions énergétiques russes et responsable de la revue en ligne Regard sur l'Est.

Lors d'une visite en Grèce avant la venue de M. Poutine, le sous-secrétaire d'Etat Américain pour l'Europe et l'Eurasie, Matthew Bryza, a "félicité" Athènes et Sofia pour leur projet d'oléoduc, assurant n'avoir aucune réticence de principe "simplement parce que des investisseurs russes sont impliqués".

Mais l'envoyé spécial américain avait aussi réitéré ses mises en garde contre une dépendance énergétique totale de la Grèce et d'autres pays européens vis-à-vis de Moscou et encouragé Athènes à investir dans le gaz en provenance d'Azerbaïdjan, quand la Russie pousse au contraire à se fournir auprès d'elle.

D'un coût de 900 millions de dollars (709 millions d'euros), la construction du nouvel oléoduc devrait démarrer en 2008. "Le plus tôt sera le mieux", a plaidé le président russe.

Sa capacité initiale de 35 millions de tonnes de brut par an pourra être portée à 50 millions de tonnes après sa mise en service, en 2009 ou 2010.

Les trois leaders ont assuré que l'ouvrage répondrait à "toutes les normes" de sécurité environnementales.

Au sein du consortium chargé de sa gestion et son exploitation, les Russes possèdent 51% des parts tandis que Grecs et Bulgares se partagent 49%.

Parmi les compagnies partenaires figurent les russes Rosneft, Gazprom et Transeft, la bulgare Bulgargaz et les grecques Hellenic petroleum, Latsis group et Petroleum gas. Le géant américain Chevron est également intéressé au projet.

15 mars 2007
2007 AFP

Imaginer quelle apport economique pour la Thrace et le port d Alexandroupolis qui aura sur place aussi un grand complexe de rafinerie,et evidement des rentrees financieres pour le budget de l Etat

Sans oublier que le transvassement d un tanker a Bourgas ainsi que le transvassement d Alexandroupolis a un tanker ce fera par la marine marchande grecque

Cette histoire de oleoduc a en effet trois point positif,

1 des rentes pour l etat grec

2 dynamisme et developement des secteurs du port d Alexandroupoli qui amenera de l emploi et de nouvelle source de revenue par la rafinage et la petrochimie sur place

3 Monopole grec du transport de ce petrole dans toutes les directions europeennes et proche orientale

Une affaire qui a nouveau montre la force de la Grece dans les Balkans et la mer noir

Et qui demontre que la Grece n est presque plus sous le giron des USA

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Thu, 03/15/2007 - 20:49 Permalink

Personnellement, au choix je préférerais être "sous le giron" des USA plutôt que de Moscou, Pékin ou Téhéran...

Malgré toutes les critiques qu’on peut leur faire, il ne faut pas oublier que les USA restent une vraie grande démocratie, un solide allié, qui a déjà sauvé plusieurs fois l’Europe de l’anéantissement. Enfin on va pas chipoter…

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Fri, 03/16/2007 - 00:38 Permalink

Philippe tu as partiellement raison, c est pourquoi la Grece continue a etre un allie atlantiste mais ayant une relation tres fraternelle avec la Russie

L histoire de Byzance et ses relations sont encore de mise meme si nous faisons parti du monde occidental

Sans parler de la force de la diaspora grecque au USA qui font du tres tres bon boulot

Il est evident que nous sommes le carrefour du monde occidental et oriental et que nous nous devons de faire parti de ces deux mondes

A+

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Fri, 03/16/2007 - 16:11 Permalink