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Non de la Grece et de la France au 65 heures

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La Grece,la France ,Chypre et L Espagne ont dit non au projet anglais d autoriser la duree de travail hebdomadiere a 65 heures soutenus surtout par les derniers arrivants de l U,E

Le delire ultras liberale anglais sur le temps de travaille qui est la replique conforme du systeme americain est une etape sournoise de plus de cet ogre qu est la mondialisation,c est l esclavage moderne presenter aux nouveaux pays {pauvres} de l U.E et malheureusement soutenus par ces derniers ou leurs gouvernements sont pret a vendre leurs citoyens pour une croute de pain europeenne

ET dire qu on avait les 35 heures ,mais c etait un mirage ou un reve???

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alex

Article du monde du 6/7/2006

Neuf ministres, six caméras : pour le premier conseil interministériel sur l'Europe télévisé, lundi 6 novembre, Matignon s'est transformé en studio de production, conformément au souhait du premier ministre de "permettre à nos compatriotes de voir comment ça marche".

L'exercice sera-t-il renouvelé ? "Il y aura d'autres occasions", affirme Dominique de Villepin, obligé toutefois de se dédire à propos de la possibilité de retransmettre à la télévision le conseil des ministres après le veto du chef de l'Etat : "Je n'ai jamais pensé ouvrir le conseil des ministres aux caméras", jure-t-il.

Pour cette première, M. de Villepin a choisi de dévoiler les coulisses du plan de bataille de la France contre la directive européenne sur le temps de travail. Avant le début de la réunion, le premier ministre vient lancer le conseil interministériel, retransmis par la chaîne Public Sénat : "Montrons comment après le vote au référendum européen, nous avons voulu changer notre façon de travailler en faveur d'une Europe sociale, concrète."

Dès le lendemain donc, mardi 7 novembre, la France s'opposera à Bruxelles, lors de la réunion des ministres du travail, à la proposition finlandaise sur la réglementation du temps de travail en Europe, révèle le premier ministre. "J'ai eu l'occasion d'en parler (dimanche 5 novembre) avec le président", explique M. de Villepin. La France ne peut "pas accepter sur le fond, en l'état, la proposition finlandaise", martèle-t-il.

"Notre objectif est clair : fixer une durée du travail maximale harmonisée en Europe. C'est une question très importante, symbolique, emblématique pour l'Europe sociale et les Français nous jugeront à la lumière des engagements pris dans ce domaine", se défend le premier ministre français.

Depuis que la Commission européenne a proposé, en septembre 2004, une nouvelle directive sur le temps de travail, qui divise les Etats membres, plusieurs présidences successives de l'Union ont tenté en vain de trouver un compromis permettant de dégager au Conseil une majorité qualifiée. La présidence finlandaise est la cinquième à s'attaquer au problème.

LA LIMITE DE 48 HEURES

Le principal sujet de discorde entre Européens concerne la possibilité laissée aux Etats membres de dépasser, pour les salariés qui l'accepteraient, la limite des 48 heures hebdomadaires fixée par la directive. Cet "opt-out" est défendu par le Royaume-Uni, qui en bénéficie depuis 1993. Il a reçu notamment le soutien de l'Allemagne et de la Pologne.

En face, plusieurs Etats, dont la France, l'Espagne, l'Italie, la Grèce, la Belgique, demandent qu'il soit mis fin à cette dérogation, au minimum en fixant une date pour sa suppression. Même si, comme l'a rappelé le ministre délégué à l'emploi Gérard Larcher, ou le ministre délégué aux collectivités territoriales, Brice Hortefeux, certaines professions bénéficient, en France, de cette dérogation (personnel de garde des hôpitaux, sapeurs-pompiers, pilotes de Canadair, etc.).

Mardi, le ministre allemand de l'emploi, Franz Müntefering, a pris acte de l'absence de majorité : il a expliqué à la radio que les différents pays disposaient "d'une marge de manoeuvre qu'il n'est pas forcément nécessaire d'unifier", alors que l'Allemagne doit prendre au 1er janvier 2007 la présidence de l'Union européenne. La France prend donc le risque de se retrouver avec un statu quo tout aussi insatisfaisant.

Article du monde

'affrontement a eu lieu comme prévu, mardi 7 novembre à Bruxelles, entre les ministres européens des affaires sociales sur la question de la durée hebdomadaire du travail. Entre les Etats qui exigent de fixer la durée hebdomadaire de travail maximale à 48 heures et ceux qui veulent garder l'autorisation de la dépasser, le fossé reste trop grand. Les Vingt-Cinq se sont donc séparés sur un nouveau constat d'échec.

La directive en vigueur demeure donc celle de 1993, modifiée en 2003, qui autorise les dérogations à la règle des 48 heures avec l'accord des salariés. La durée hebdomadaire de travail dans l'Union européenne peut ainsi aller, compte tenu des temps de repos obligatoires, jusqu'à 78 heures. Les temps de garde, selon l'interprétation donnée par la Cour de justice, doivent être considérés comme du temps de travail. Mais la plupart des Etats n'appliquent pas correctement cette disposition.

Le projet de nouvelle directive, proposé depuis 2004 par la Commission, avait été amendé par la présidence finlandaise dans un esprit de compromis. Quatre présidences successives avaient déjà tenté en vain de parvenir à un accord. Le commissaire à l'emploi, Vladimir Spidla, a fait savoir que la Commission, après ce revers, pourrait retirer sa proposition.

C'est le ministre français délégué à l'emploi, Gérard Larcher, qui a ouvert les hostilités contre le compromis finlandais. Il n'est pas question pour la France, a-t-il dit, d'accepter une proposition qui ne mettrait pas fin, à une date certaine, à la possibilité de déroger à la règle des 48 heures.

Le texte finlandais est loin du compte, a-t-il souligné, puisqu'il se contente d'envisager, sans fixer d'échéance, la suppression graduelle de cette dérogation. "Ce qui est en jeu n'est pas seulement technique, a-t-il déclaré, mais touche au coeur du débat sur le modèle social européen."

Dans un amendement présenté avec l'Espagne et l'Italie, M. Larcher a proposé l'élimination de toute exemption après une période de transition de dix ans. Les trois pays ont réuni une minorité de blocage. En face, un autre groupe, conduit par la Grande-Bretagne, a exprimé son attachement au maintien d'une possibilité de dérogation, ou "opt-out".

Le ministre britannique de l'industrie, Alistair Darling, a appelé ses collègues à reconnaître les différences entre les Etats membres. Il a estimé que la pratique de l'exemption n'était pas contraire à la santé et à la sécurité des travailleurs. Il a refusé d'envisager sa suppression graduelle.

La position britannique a été soutenue notamment par l'Allemagne et par la Pologne. Le secrétaire d'Etat allemand aux affaires sociales, Gerd Andres (social-démocrate), s'est félicité du maintien de la dérogation dans la proposition finlandaise.

"S'il avait fallu appliquer la règle des 48 heures aux policiers, l'Allemagne n'aurait jamais pu organiser la Coupe du monde de football", a-t-il lancé. "La Pologne ne peut pas accepter une échéance pour la disparition de l'opt-out", a dit de son côté la ministre polonaise du travail, Anna Kalata. Les pays baltes se sont aussi prononcés pour le maintien de l'exemption.

Pour vous voyez par ces deux articles ,adieux les 48 heures comme temps de travail plafond pour une semaine,la majorite des pays de l U.E veulent aller jusqu a 78 heures c a fait 12 heures de boulot par jour du lundi au samedi ,ils sont fous,ils veulent nous aneantir

Meme le consensus proposer par la presidence finlandaise de la semaine de 65 heures est une atteinte a tous travailleur

Maleureusement de nos jours,le leitmotif des patrons "c est travaille plus et gagne moin",l esclavagisme mondialiste est proche ???

Pour ma part je travaille deja 80 heures semaine,mais je travaille pour mon compte, c est mon choix ,mais pour les travailleurs qui deja s en sortent difficilement vu que les salaires augmentent moin que le cout de la vie de tous les jours,leurs demander plus est pour moi le debut d une revolution sociale qui auras d enorme repercusion dans les annees qui arrivent

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Fri, 11/10/2006 - 16:51 Permalink

Et voila que la loi Bolkestein Bis a ete vote,sans fracas tout impregner d un silence mediatique,normal pas d election immediate en vue

Mais c est quoi la loi Bolkestein bis,c est une petite loi qui a pour but de faire travailler des europeens d un pays membres dans un autre avec la securite sociale et le salaire du premier

C est a dire par exemple faire travailler des polonais en France mais les declarer et les payer avec un salaire polonais

Merci l Europe pour cette loi qui permettra aux riches de devenir plus riches et les pauvres de demeurer pauvres

Voila qu est devenue l Europe un grand marche de traite d esclaves bon marche qui n auront aucuns droit dans le pays ou ils travailleront

Ca continue et c est pas pres de s arreter et qui paye les pots casser nos amis de l Europe de l Est,ceux qui on le plus besoin de solidarite et qui sont victime du jeux de dupes des anciens europeens avec leurs collegues nouveaux europeens contre la population de ces derniers

Elle est belle l Europe

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Thu, 11/16/2006 - 15:51 Permalink

C'est pourquoi je pense que nous devons faire sécession de l'Europe qui devient un vaste marché d'esclaves qui ne dit pas son nom, et entrainer dans notre sillage des pays et des peuples qui veulent une société plus humaine. Ceux qui veulent un monde d'esclavage qu'ils vivent entre eux, nous nous voulons êtres libres et humains. Je n'ai pas honte de dire que si on peut pas réformer l'union européenne dans un sens humain, et bien qu'on la quitte !

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Thu, 01/04/2007 - 15:35 Permalink