Πρόσωπα: Espen Barth Eide

L'enjeu consiste à abattre la dernière frontière divisant encore une capitale européenne, Nicosie, ainsi que toute l'île de Chypre.

Un accord est «difficile mais possible» a déclaré le médiateur de l'ONU à Genève ce lundi. Cette semaine, un sommet historique se tient au siège des Nations unies, en présence des deux dirigeants chypriotes pour tenter de réunifier l'île méditerranéenne.

Le président de la République de Chypre, Nicos Anastasiades, et le dirigeant chypriote turc Mustafa Akinci affichaient tous les deux un large sourire à leur arrivée lundi matin au Palais des Nations.

A neuf heures ce lundi au Palais des Nations à Genève, en entamant trois jours de pourparlers, Chypriotes grecs et turcs auront tous à l'esprit la formule d'Espen Barth Eide, l'envoyé spécial du secrétaire général de l'ONU.

Le chemin de la réunification de Chypre passe à nouveau par la Suisse.

«Journée noire pour la capitale des droits de l'homme. Le dictateur Erdogan se rend au Palais des Nations.» Le ton de ce tweet est donné.

Les discussions, qui doivent durer jusqu'à vendredi, réunissent le président chypriote grec Nicos Anastasiades et le leader chypriote turc Mustafa Akinci. Après la neige du matin, la météo s'est dégagée pour leur ouverture par Ban Ki-moon.

Sous l'égide des Nations unies, les dirigeants chypriotes grec et turc doivent poursuivre lundi 7 novembre en Suisse leurs négociations en vue d'un accord sur la réunification de l'île méditerranéenne, divisée depuis quarante-deux ans.

Les dirigeants chypriotes grec et turc se retrouvent de lundi à vendredi au Mont-Pèlerin (VD) sous l'égide de l'ONU. Ils doivent poursuivre leurs négociations en vue d'un accord sur la réunification de l'île, divisée depuis 42 ans.

Les dirigeants chypriotes grec et turc ont décidé de poursuivre leurs négociations en novembre en Suisse pour parvenir à un accord sur la réunification de l'île avant fin 2016, a annoncé mercredi à Genève un porte-parole de l'ONU.