Quelques heures après l'accord intervenu au sein de l'Eurogroupe, mercredi, Guy Verhofstadt a redit tout le mal qu'il pensait de la façon dont les 19 membres de la zone euro avaient géré, jusqu'ici, la crise grecque.
Après avoir réussi à obtenir 17 sièges de députés au Parlement en janvier, avec 6 % des voix, le parti centriste To Potami (« la Rivière »), créé en 2014, voudrait peser dans un éventuel gouvernement de coalition en cas de victoire d'Alexis Tsipras aux législatives anticipées