Dans le cadre de l'accord de défense ratifié en octobre dernier entre la Grèce et la France, Athènes a signé ce jeudi plusieurs contrats d'acquisition avec les industriels de l'armement français d'un montant de 4 milliards d'euros au total en présence de Florence Parly, ministre des Armées, et de
Attendues en fin d'année, les trois frégates de défense et d'intervention (FDI) construites par Naval Group, "accosteront" finalement en Grèce dans les prochaines semaines, vraisemblablement en janvier.
LE FIGARO.- La Grèce multiplie depuis quelques mois les partenariats militaires - avec Israël, les Émirats arabes unis, et la France. À quelle urgence cet activisme répond-il ?
La visite de Florence Parly à Athènes (dimanche et lundi) est très importante. Elle n'est pas encore à quitte ou double pour la vente de deux frégates de défense et d'intervention (FDI) par Naval Group à la marine grecque.
La France et la Grèce ont signé une lettre d'intention (LoI) pour la vente de deux frégates FTI (Belh@rra) de plus de 4.000 tonnes à la marine grecque. Elles pourraient être armées de missiles de croisière MdCN (Scalp Naval).
La France va prochainement proposer de façon officielle un accord de gouvernement à gouvernement de type CaMo (vente de blindés à la Belgique) pour la fourniture de deux frégates FTI (Belh@rra) de 4.000 tonnes armées de missiles de croisière MdCN à la Grèce et identiques à celles de la Marine nat