Gustave Flourens, fils du physiologiste, a été mis à pied du Coll. de Fr., pour son enseignement matérialiste, athée et anti-clérical, Napoléon III étant au pouvoir. Il va parcourir l'Europe, publie à Bruxelles "L'histoire de l'homme" (1863), passe par Athènes et par Const/nople, avant de combattre avec les Crétois contre les Turcs lors du soulèvement de 1866). Il se lie avec l'ami d'Amilcar Cipriani lui aussi au côté des Crétois.
Les insurgés font député, et le chargent de les représenter en Grèce. La France (turcophile, tout comme la Grande Bretagne contre la Russie) obtient son expulsion et il est embarqué à son corps défendant. En Italie il réussit à se rendre à terre.
La chute de Napoléon III, fait revenir a Paris.
Il anime durant la Commune les bataillons de Belleville et de Ménilmontant. Il est fait prisonnier au combat à Créteil et enfermé à Mazas le 7 XII 1870. La nuit du 21 au 22 I 1870, Cipriani, lui aussi à Paris, le libère. En 1871, Flourens est condammé à mort par contumace.
Le 3 IV 1787, le combat contre les Versaillais se fait corps-à-corps à Rueil. Flourens est fait prisonnier. Le gendarme DesMarest l'abat d'un coup de sabre, devant la gare de Rueil...
3 avril 1871: Gustave Flourens est tué devant la gare de Rueil
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