Geôrgios Papandréou est à Chios. Lorsque Vénizélos a démissionné, Papandréou,qui le connut à Berlin, en 1914, dirige son Bureau politique.
En 1916, quand éclate la "Division nationale-Ethnikos Dichasmos", entre le gouvernement d'Athènes et le roi Constantin qui hésite à engager la Grèce dans la Grande Guerre et le "Mouvement de Défense Nationale-Kinima Ethnikis Amynas", dirigé par la Triandria: Vénizélos, Danglis et Kountouriôtis (en fait Vénizélos) partisans de l'entrée en guerre avec les Anglo-Français, G. Papandréou est leur "Epitropos" à Lesvos. Il y fut le Préfet de Vénizélos en 1915. Il y échappera à un assassinat en 1922. Il en sera le député en 1926.
Papandréou doit participer à la constitution d'une flotte pour Thessaloniki.
En 1917, il est nommé "Directeur général de l'Egée-Génikos Diikitis Aigaiou". Le siège est Chios.C'est là que son épouse, Sophia Minéïkou lui donne son premier fils, Andréas.
Ce fils sera le ministre de son père en 1962, I° Ministre, vainqueur 3 fois aux Législatives. Il sera le "tombeur" de Karamanlis pour faire élire Sartzétakis.
Andréas est un homme très complexe: exils, citoyen américain servant dans la flotte USA, professeur d'économie, homme politique adoré à la folie (lors de son agonie, devant la clinique, des volontaires offrirent qui son coeur, qui un poumon, qui son rein). Il est très controversé pour nombre d'étapes plus ou moins clarifiées de sa vie publique.
Comme d'autres il sera cité certains "Jours d'Histoire".
5 février 1919: Andréas Papandréou naît à Chios
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