«Nous ne sommes pas responsables de la frustration qu'a générée la gauche radicale grecque en faisant aux Grecs des promesses qu'elle savait qu'elle ne pourrait pas tenir!» Le propos, tenu début mars, est signé Mariano Rajoy, pourtant peu habitué aux déclarations tonitruantes. Le chef du gouvernement espagnol était alors en meeting, quelques semaines avant les élections au Parlement régional andalou. Accusé ...
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