La Grèce a plié. Un mois jour pour jour après son triomphe électoral, Alexis Tsipras, le jeune premier ministre grec, a dû renoncer à ses principales promesses de campagne, sous la pression de la troika, réapparue tel un Ph?nix, tenant entre ses griffes sa maigre proie. Gel des privatisations, hausse des salaires, des retraites, embauches dans la fonction publique: tout cela est terminé. Il n'est plus question de renégocier la dette grecque sur le dos des contribuables allemands ou français. Retour à la realpolitik, avec le trio des créanciers (FMI, UE, BCE) qui posent leurs conditions en échange des crédits qu'ils octroient.
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