L'essentiel
- La réunion des ministres des finances de la zone euro censée trouver une solution sur la dette de la Grèce s'est soldée par un échec.
- L'Eurogroupe a donné jusqu'à la fin de la semaine au gouvernement Tsipras pour accepter une extension du plan d'aide à la Grèce.
- Le ministre des finances grec s'est dit confiant sur la possibilité de trouver un accord avec la zone euro dans les prochains jours.
L'Eurogroupe du lundi 16 février, à Bruxelles, a-t-il été une réunion où chacun - les Grecs d'un côté, les autres pays de la zone euro de l'autre - a surjoué l'affrontement, afin de ne pas perdre la face et mieux faire passer un futur accord, qui n'interviendra qu'à la dernière extrémité ? Ou a t-on assisté à un réel dialogue de sourds, sans issue ?
« Je ne joue pas, je n'ai pas de plan B », a juré le ministre grec des finances, Yanis Varoufakis, à la sortie de ce nouvel Eurogroupe, qualifié « de la dernière chance » et consacré à l'énorme dette d'Athènes - elle s'établit à 320 milliards d'euros, soit 175 % du produit intérieur brut (PIB) du pays. « J'espère qu'on était en pleine dramaturgie ce soir, mais je n...
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