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La Grèce veut rassurer. Et convaincre

Δημοσιεύθηκε στη La Libre ,
La Grèce veut rassurer.

Nous sommes mercredi, alors ça doit être Bruxelles. Après Nicosie, le 2 février, et Rome, le 3, la tournée européenne du nouveau Premier ministre grec Alexis Tsipras passe mercredi matin par la capitale européenne, qu'il quittera pour aller rencontrer le président Hollande à Paris, l'après-midi.

A Bruxelles, M. Tsipras s'entretiendra avec le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, et celui du Conseil européen, Donald Tusk. Auxquels il devrait délivrer le même message que mardi, à Rome, au président du Conseil italien, Matteo Renzi : "Les citoyens européens et les créanciers européens ne doivent pas avoir peur du nouveau gouvernement grec", alliage du parti de gauche radicale de M. Tsipras, Syriza, et des souverainistes de droite d'Anel.

Comme lors de ses précédents déplacements, le Premier ministre va plaider la cause grecque d'un réaménagement de la colossale dette grecque : quelque 320 milliards d'euros, soit plus de 175 % du PIB du pays.

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