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Les Grecs pensent toujours que l'ennemi vient de l'extérieur et c'est devenu la troïka,

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bonjour
ou en est la gréce..

le déficit public a été réduit, de 15,8 % à 9,3 % du produit intérieur brut (PIB) entre 2009 et 2011. Tout comme le déficit primaire (hors intérêts de la dette), tombé de 10,6 à 2,4 % du PIB en deux ans. " Peut-être était-ce trop rapide ", s'interroge Georges Papaconstantinou, ministre des finances de M. Papandréou.

Cette performance saluée par les créanciers du pays a eu un revers : le mémorandum signé entre le gouvernement grec et la troïka, en échange d'un premier prêt de 110 milliards d'euros, est devenu synonyme de sacrifices et de sanctions, alors que l'essentiel du plan portait sur des réformes structurelles.

Progressivement, au fur et à mesure que la récession s'aggravait, le mémorandum a incarné pour une majorité de Grecs la source de tous leurs maux. " Il y a eu une diabolisation du mémorandum, constate Panos Carvounis, le représentant de la Commission européenne à Athènes. Les Grecs pensent toujours que l'ennemi vient de l'extérieur et c'est devenu la troïka, alors que les vrais ennemis sont les corporatismes étatiques et les spéculateurs. "

" Les Européens nous ont accordé une aide jamais donnée en Europe, explique Théodore Pangalos, qui était vice-premier ministre de MM. Papandréou et Papadémos. Mais il y a eu des maladresses. Ces apparitions trimestrielles du comité de contrôle de la troïka, qui allait dans les ministères, ont plutôt créé des problèmes. Il fallait un contrôle politique à Bruxelles. On a eu un contrôle de fonctionnaires.

Lundi, M. Samaras avait pris la plume pour expliquer à ses ministres : " Notre préoccupation essentielle est la création d'une administration efficace et fonctionnelle, débarrassée de ses problèmes chroniques. " Il n'est pas le premier chef de l'exécutif à tenir ce discours qui, jusqu'ici, s'est peu traduit dans les faits.

Costas Caramanlis (Nouvelle Démocratie, droite), premier ministre de 2004 à 2009, avait promis de belles réformes qui n'ont jamais vu le jour, il a au contraire augmenté le nombre de fonctionnaires et leurs salaires. Sous la pression de la troïka, le gouvernement de Georges Papandréou (Pasok, socialiste), entre octobre 2009 et novembre 2011, a pris des mesures importantes (retraites, décentralisation) mais les lois qui en ont découlé ont peu été appliquées.

" Quand je suis arrivé chez le premier ministre, explique un ancien conseiller économique de Lucas Papadémos (qui a succédé à M. Papandréou en novembre 2011), j'ai fait compter le nombre de lois adoptées et appliquées. Seulement 22 % des lois étaient entrées en application ! "

" Le gouvernement n'était pas entièrement engagé derrière le mémorandum, explique M. Papaconstantinou. Des ministres faisaient passer les lois en rendant responsable la troïka. En coulisse, ils faisaient en sorte de les rendre inefficaces. Une fois la loi votée, il faut rédiger les décrets d'application qui concernent parfois plusieurs ministères. C'est assez facile de faire traîner les choses et de prévoir des dispositifs qui rendent difficile l'application de la loi. J'ai entendu un ministre s'interroger, à propos de la réforme du droit du travail : "Va-t-on faire en sorte que la loi devienne efficace ?" "

En arrivant à Athènes un jour de printemps, la task force découvre avec stupeur un projet de loi de 1 000 pages sur la réforme de l'administration, que le ministre n'avait jamais évoqué devant eux. " On s'est fait balader !, reconnaît, amer, un fonctionnaire européen. Ce qui intéressait le ministre, c'était l'affichage des réformes. Le nouveau gouvernement ne doit pas se contenter de discours rhétoriques. Mais il faut aussi convaincre les Grecs que les réformes sont utiles pour le pays et pas pour les créanciers. "

La pédagogie de la crise et l'autocritique ont fait défaut au gouvernement grec comme aux Européens. " Il faut être deux pour danser le tango. Dans la crise grecque, les deux danseurs ont échoué, commentait l'ancien sherpa de Lucas Papadémos, Gikas Hardouvelis, fin juin. Les Grecs ont refusé de mettre en oeuvre rapidement les réformes ; la ligne dure des Européens a cru de façon erronée que la crise disparaîtrait s'ils corrigeaient la discipline budgétaire longtemps négligée de la zone euro. " La troïka doit revenir à Athènes le 26 juillet. On verra alors si M. Samaras et la troïka ont fait des progrès en tango grec.

http://www.lemonde.fr/journalelectroniq…

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tintin

bonsoir

Grèce: 1,4 md€ pour ses infrastructures

La Banque européenne d'investissement (BEI) va financer des projets d'infrastructure en Grèce à hauteur d'1,4 milliard d'euros environ d'ici à 2015, ont annoncé samedi les ministres des Finances et du Développement. "Je pense que les accords seront signés dans les jours qui viennent. Notre objectif est que la BEI soit impliquée dans le financement du secteur privé au plus tôt", a indiqué le ministre des Finances Yannis Stournaras, à l'issue de discussions avec le président de la BEI, Werner Hoyer.

Le secteur privé manque cruellement de fonds dans la Grèce en récession où les banques ont fermé le robinet du crédit et l'État n'est même plus en mesure de payer ses fournisseurs.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/0…

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Σάβ, 07/21/2012 - 21:28 Μόνιμος σύνδεσμος
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tintin

Σε απάντηση του από el griego

Athènes espère un délai, ses bailleurs de fonds sont à bout de patience

Pour sa première visite en Grèce depuis le début de la crise, jeudi 26 juillet, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, affiche une double intention : manifester l'attachement de la Commission au maintien du pays dans la zone euro ; demander aux Grecs d'appliquer un certain nombre d'" actions prioritaires " afin de déminer le terrain avant toute tentative de renégociation du mémorandum (les contreparties aux aides).
Sur le fond, tout le monde est d'accord pour considérer que le mémorandum signé en mars est caduc. Les premières évaluations de la " troïka " seraient sans appel : la Grèce a dévié de ses objectifs dans de nombreux domaines. Les conclusions définitives ne sont pas attendues avant fin septembre, à l'issue d'une nouvelle mission de la " troïka ".

Tout a été fait, en prolongeant autant que possible les travaux de ces experts, pour éviter de prendre des décisions pendant le mois d'août. Les décisions définitives sont attendues au plus tard en octobre.

D'ici là, tout est fait pour éviter un accident lors de la prochaine grande échéance, le 20 août. La Grèce devrait être autorisée à aller sur les marchés pour financer, à très court terme, le remboursement de 4 milliards d'euros aux... banques centrales des pays européens.

C'est la suite qui donne des sueurs froides aux dirigeants européens. " Si l'on en reste à une renégociation pour combler les retards, cela ira, dit une source bruxelloise, en revanche, les discussions seront extrêmement dures si le gouvernement grec veut changer les paramètres du plan. "

L'objectif d'un endettement de 120 % du produit intérieur brut en 2020 est, entre autres, jugé essentiel par de nombreux bailleurs de fonds. Le FMI, et certains Etats de la zone euro, dont l'Allemagne, les Pays-Bas et la Finlande, en font toujours un critère indispensable pour assurer la soutenabilité de la dette, et poursuivre le plan d'aide.

De nouvelles voix s'élèvent aussi pour demander une restructuration de la dette grecque, qui est principalement détenue par les Etats européens, la BCE et le FMI. " Il y a peu d'appétit pour cette option au sein de la zone euro ", tempère un haut responsable européen.

le gouvernement espère obtenir des marges pour une renégociation du mémorandum, sur laquelle M. Samaras s'est engagé pendant la campagne électorale. Il espère gagner du temps pour appliquer les mesures de rigueur et mettre en place des moyens de relancer la croissance.

" Un an de plus coûtera aux bailleurs de fonds entre 20 et 25 milliards d'euros ", prévient une source à Bruxelles. L’Allemagne ne veut pas entendre parler d'un tel effort supplémentaire. Le FMI a lui aussi fait part de ses réserves.

Pour la Commission, un délai supplémentaire d'un an peut être envisagé " si la volonté politique existe pour poursuivre le programme d'ajustement ", dit un haut responsable.

http://www.lemonde.fr/journalelectroniq…

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Παρ, 07/27/2012 - 15:52 Μόνιμος σύνδεσμος
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el griego

Σε απάντηση του από Donald

pour changer un peu ! Un instant de détente !

Un emprunt musical à nos voisins du nord ! D'abord le pognon ! Puis les sentiments !

Adrijana Acevska
Kesh, Kesh
Pognon, pognon

http://www.youtube.com/watch?v=EeFZB5Vm…

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Κυρ, 07/29/2012 - 10:46 Μόνιμος σύνδεσμος
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el griego

Σε απάντηση του από Bob Fosse

Bourvil
"La tendresse"

On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas

On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question

Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment

Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long

Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien

Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cœur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin

Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours

http://www.youtube.com/watch?v=zfQfnjbU…

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Τρί, 07/31/2012 - 16:10 Μόνιμος σύνδεσμος
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tintin

Σε απάντηση του από el griego

bonjour

[b]Grèce : vers une nouvelle restructuration de la dette[/b]

YORGOS KARAHALIS/REUTERS
La coalition doit encore s'entendre sur d'autres coupes budgétaires

Le gouvernement grec était toujours à la recherche, mardi 31 juillet, de " la recette miracle ", a reconnu le ministre des finances, Iannis Stournaras.
les trois partis de la coalition gouvernementale ne sont pas parvenus à un compromis pour trouver les 11,6 milliards d'euros d'économies exigées pour 2013 et 2014
Les mesures envisagées consistent, entre autres, en une baisse du montant des retraites, des réductions de dépenses de santé, la diminution de la prime de départ des fonctionnaires et un allongement de 65 à 67 ans de l'âge de la retraite.
MM. Samaras et Stournaras veulent d'abord montrer qu'Athènes est capable de mettre en place des réformes afin d'obtenir - enfin - un satisfecit de la " troïka " qui doit rendre son rapport en septembre.
Le pays serait alors en meilleure position pour renégocier le mémorandum : desserrer les contraintes exigées par la troïka en contrepartie du deuxième plan d'aide de 130 milliards d'euros obtenu en février.
De l'avis de nombreux experts, la Grèce devrait obtenir bien plus qu'un assouplissement de la rigueur pour espérer s'en sortir. " Idéalement, il faudrait annuler la dette. Comment voulez-vous que le pays s'en tire autrement. Il est insolvable ! ", lance Patrick Artus professeur à l'Ecole polytechnique et chef économique chez Natixis.
Selon l'agence Reuters, des responsables européens travaillent déjà à un tel scénario. La tâche promet d'être délicate. La dette grecque est estimée à 280 milliards d'euros au 31 mars. Elle pourrait grimper à 332,4 milliards d'euros fin 2012 selon le FMI, soit un endettement de 160 % du PIB. Pour atteindre un ratio de dette sur PIB de 120 % d'ici à 2020 comme le veut le FMI, il faudrait effacer un quart de la dette, soit un peu plus de 80 milliards d'euros, calcule Gilles Moëc, chez Deutsche Bank
La dette a déjà été restructurée une fois. Début 2012, les créanciers privés ont renoncé à un peu plus de 100 milliards d'euros de créances. Résultat : la dette hellène est maintenant, pour plus des deux tiers, entre les mains d'acteurs publics. A savoir, la BCE, pour environ 40 milliards, le fonds de secours européen, les pays européens et le FMI, pour 27 milliards (estimations à fin 2012).
I[b]l est donc nécessaire et légitime que les créanciers publics prennent des pertes. Cela mettrait fin à des situations parfois aberrantes : l'économiste Iannis Varoufakis calcule que la BCE - qui a acheté de la dette grecque au rabais sur les marchés - fera 900 millions d'euros de bénéfices sur la prochaine échéance de remboursement de 3,2 milliards d'euros, le 20 août prochain [/b]
Reste qu'un acteur est presque exclu d'office : le FMI. [b]" Imaginez la réaction de pays d'Afrique ou d'Amérique latine qui ont souffert pour rembourser le FMI, pensez-vous qu'ils accepteraient de faire ce cadeau à la Grèce ? "[/b], prévient l'économiste.

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Σάβ, 08/04/2012 - 10:31 Μόνιμος σύνδεσμος
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el griego

Σε απάντηση του από tintin

Voilà que les grecs devront bientôt payer des impôts sur leur(s) compte(s) en Suisse

http://www.hln.be/hln/nl/942/Economie/a…

Les grecs vont bientôt payer l'impôt sur l'argent dans les banques suisses

Les grecs qui ont investi leur argent en Suisse seront à l'avenir imposables dessus . Selon les cercles proches du Ministère grec des Finances, les négociations entre la Grèce et la Suisse vont bientôt aboutir à ce sujet . Le vice - ministre grec aux Finances, Giorgos Mavraganis, négocie aujourd'hui la conclusion à Berne (l'agence de presse allemande dpa).

L'accord implique que les déposants ont deux options.

Ils peuvent

soit garder leur argent dans l'anonymat moyennant une taxe de 30 %,
soit ils peuvent déclarer leurs avoirs aux autorités fiscales grecques.

Depuis 2011, il y avait des des consultations , mais il n'y avait rien de concret qui se soit passé. La signature d'un accord est attendu d'ici la fin de septembre.

On ne sait pas exactement combien les Grecs possèdent de dépôts à l'étranger .

Selon la presse grecque, le montant pouvant aller jusqu'à environ 200 milliards d'euros.
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L'ancien Premier grec et actuel Président de l'Internationale Socialiste, Georges Papandréou estime que le pays aurait pu éviter de se trouver dans un tel pétrin s'il n'y avait pas autant d'argent caché dans les paradis fiscaux ! plus de 21,000 milliards $.

http://trends.levif.be/economie/actuali…

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Κυρ, 09/02/2012 - 13:57 Μόνιμος σύνδεσμος
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emmanouil

Σε απάντηση του από el griego

... on y arrive ... tant mieux, mais il est étonnant que la Suisse collabore à ce genre de projet ...

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Κυρ, 09/02/2012 - 14:42 Μόνιμος σύνδεσμος