NON à La Turquie: 10 raisons irréfutables d'une Française qui vit en Turquie
Je tenais à vous présenter de l’intérieur et en toute objectivité 10 bonnes raisons de ne jamais laisser ces gens là rentrer dans l’Union Européenne.
Cette lettre est littéralement un appel au secours. Je suis citoyenne Française. Et je vis en Turquie. Le cauchemar de racisme quotidien que m’impose ce pays ma poussé à accomplir un geste citoyen et à vous écrire cette lettre. J’estime que la Turquie est très mal placée pour nous demander à nous Européens de faire preuve de tolérance envers eux quand eux sont incapables de nous accorder la même chose dans leur pays.
1. Un pays qui refuse de se prendre en main : L’engagement politique est extrêmement limité en Turquie. 80% de la population se contente de voter pour le parti qui a organisé le plus de fêtes de quartier, qui a mis la musique le plus fort et qui a donné le plus de subventions. Il n’y a absolument aucune conviction politique réelle. Que les subventions viennent de partis soutenus par des pays défendant le radicalisme, obscurantisme, l’instrumentalisation des religions ne leur fait ni chaud ni froid ! C’est même au-delà de leur portée et le cadet de leurs soucis. Ceci est complètement incompatible avec notre culture politique Européenne. Nous n’en sommes plus au populisme !
2. Ils sont prêts a manger a tous les râteliers : pourvu que vous ne soyez ni un officiel ni un journaliste, vous allez vite entendre le véritable discours des Turcs de Turquie. On veut se développer, et il nous faut des sous. Donc les aura soit pas les USA, par les pays Arabes, par l’Europe ou par la Russie. Il suffit de faire jouer les relations internationales : chaque jour, selon les interlocuteurs, on change notre discours ! La preuve étant que cela a déjà commencé avec les pressions subies par l’Europe pour la construction du Gazoduc qui traversera la Turquie : le gouvernement en place fait jouer les luttes d’influence entre l’Europe, la Russie, les pays Arabes voisins et les Etats Unis pour obtenir le plus de concessions possibles! C’est pourquoi nous ne devons avoir aucune confiance en leurs promesses : les politiques Européens ont demandé la reconnaissance du génocide arménien et des efforts sur les droits de l’homme. Je ne vois pas en quoi la position que peut adopter la Turquie sur sa propre histoire est en quelconque relation avec l’avenir des europeens et peut etre une quelconque garantie de leur bonne foi vis à vis de l’Europe. La fin justifie tous les moyens: l’argent de l’Europe est une manne trop alléchante pour être ignorée facilement. Tôt ou tard le gouvernement Turc finira par publier un joli communiqué de presse pour entériner leur acceptation génocide et leur integration dans l’union, on fera un beau feu d’artifices aux couleurs de l’Arménie et de la paix, et nous Européens resteront en face de nos nouveaux problèmes.
3. Une mentalité ignorante des droits de l’homme : si vous êtes blond, roux, noir, asiatique, juifs, bouddhiste ou indien, il vaut mieux venir ici sous escorte ou avec une idée précise de ce qui vous attend. Insultes dans la rue, jet de projectiles, railleries de bandes d’enfants sous les yeux de leurs parents, arnaques sur les prix lors de vos achats ou si vous prenez un taxi, refus de vous laisser monter / descendre des bus. Heureusement, je n’ai pas vécu toutes ces situations moi-même. Malheureusement, elles ont toutes été réellement vécues par des minorités visibles vivant à Istanbul, Antalya, Ankara et İzmir, et issues de témoignages. Et la police ne fait rien : absente au bataillon, lorsqu’elle daigne se déplacer, elle vous explique courtoisement que vous auriez du savoir qu’en Turquie les personnes comme vous il y en a peu et qu’il faudra vous y habituer au plus vite. Quand dans leurs villes les plus « modernes » ils ne respectent même pas le droit à la différence et à la libre circulation des gens, ils peuvent toujours courir pour qu’on les considère comme des gens civilisés. J’ai moi-même assisté à l’agression d’une jeune femme de couleur dans la rue, de manière complètement gratuite : elle ne faisait que passer, mais elle a eu droit aux insultes xénophobes et au jet de projectile ! Consternant ! Cette jeune femme étant française également, j’ai pu dialoguer avec elle et elle m’a dépeint un tableau navrant de la situation ici. La Turquie ne respecte en aucun cas les individus. Je me demande comment le Président Erdoğan aurait réagit si lors de sa visite à Paris des automobilistes avaient baissé la vitre de leur voiture pour insulter sa femme et sa fille en pleine rue parce qu’elles portent le voile ?
4. Le respect pour les femmes est encore trop limité : parmi les 20% de la population Turque développée, beaucoup de femmes vont jusqu’à l’université. Cela n’est absolument pas représenter dans le rôle qui leur est accordé dans la société. L’université a pour beaucoup un rôle matrimonial et sert à se trouver un mari avec une position sociale plus confortable ou un travail permettant d’accéder à une position sociale confortable. Elles sont complètement absentes de la vie civique, politique, sociale de leur pays. Pas parce qu’on les en empêche, mais parce que c’est traditionnellement considéré comme une affaire d’hommes ! Et qu’elles ne voient pas pourquoi elles devraient comprendre l’environnement dans lequel elles vivent : ca toujours été comme ça, il n’y a pas de raison que cela change voyons !
5. Ils nous mentent depuis le début : seul 20% de la population Turque est conforme aux images de modernité, tolérance, progrès et civilité que l’on nous rabâche sans cesse depuis les 5 - 10 dernières années. Ces 20%, mandatés par leurs gouvernements et les lobbys Turcs viennent chaque année en Europe dans leurs costumes griffés pour investir nos émissions télé, nos débats politiques et nos conférences universitaires afin de nous faire gober que 80% de leur population est a leur image, et qu’ils sont prêts à se joindre à nous. La Turquie doit d’abord s’attaquer à ses problèmes : même les laïques se comportent en oppresseurs avec les populations traditionnellement religieuses et Arabes qu’ils critiquent sans cesse, et les accusent de tirer leur pays vers le bas. Comment les laisser nous convaincre que tout va bien, et que nous n’allons pas nous même pâtir de ces relations instables ?
6. Cela nous coutera cher : 80% de la population Turque vis dans des conditions plus que discutables, voire catastrophiques. Immeubles insalubres, mauvaise scolarisation (un fort pourcentage de la population des moins de 35 ans ne sait pas écrire le turc correctement), délinquance juvénile galopante, taux de natalité douteux, pollution des eaux et de l’air inquiétante, travail précaire et informel. Bref que des casseroles qu’ils attendent que l’Europe ramasse à leur place.
7. Un pays en régression : La Turquie actuelle a atteint un niveau d’intolérance jusque là jamais égalé. Les convictions laïques et progressives d’Atatürk ne sont absolument plus respectées, la diversité culturelle et la tolérance mise en place à l’époque de l’empire Ottoman est piétinée. J’encourage vivement tous mes compatriotes et la presse à venir constater par eux même la situation ici : surtout, n’allez pas dans les bulles préfabriquées que sont les clubs de vacances et autres destinations réservées aux touristes. L’hypocrisie et la poudre aux yeux sont de mise. Infiltrez vous normalement, sans titre officiel ni appartenance à un groupe de presse visible : la vérité vous attend là dans toute sa splendeur !
8. Une mentalité butée et fermée : Les jeunes du pays ont la même mentalité que leurs parents à leur âge. Cela est alarmant. La culture Turque est très axée sur le nationalisme. Chaque jour, le sentiment de conservatisme et de « suprématie » de la culture Turque est entretenu par des campagnes de communication, de publicité, des programmes télé, des réformes de programmes scolaires et j’en passe. Le résultat est sans appel : la conception des rapports aux autres cultures se fait sur la seule base de leur référentiel. Ne nous voilons pas la face : la culture Turque n’a aucune vocation à l’intégration. Ne nous attendons pas à ce qu’une fois arrivés en Europe ils aient un quelconque attachement à nos valeurs, l’intention d’apprendre notre langue ou même l’idée de s’adapter de leur plein gré à nos règles de vie et nos lois.
9. Les Turcs tentent de nous Obliger à les laisser entrer chez Nous : il est dit que l’Europe a promis depuis « longtemps » à la Turquie son intégration. Ce n’est pas parce que vous avez invitez la famille qui occupe le bungalow voisin de votre maison de vacance à visiter votre résidence principale que cette famille peut se permettre de vous harceler par téléphone, e-mail et lettres papier afin que vous les receviez chez vous ! Et bien là, c’est pareil ! Quand on voit l’état de la Turquie à l’heure actuelle, on peut aisément penser que cette invitation était une regrettable erreur, et que tout simplement nous la retirons ! C’est notre plein droit ! Les Turcs s’assurent chez Groupama, font les courses chez Carrefour et roulent en Renault (et cela marchent aussi pour Aviva, BMW et Coca cola). Ces habitudes de consommation ont laissé beaucoup de Turcs penser à tort que cela suffisait à réclamer le droit d’entrée.
10. Les lobbys Européens tentent, à tort, de nous forcer la main : les intérêts économiques de l’Europe en Turquie sont énormes. Rien qu’à titre indicatif, sachez que les plus grandes enseignes françaises, britanniques et allemandes ont réussit à avoir de véritables empires ici (investissements, filiales, joint ventrues, franchises, participation dans les capitaux de groupes oligarchiques Turcs…). Mais il s’agit là de faire des affaires. Et l’argent n’a jamais obligé une nation toute entière (à plus forte raison 27 nations toutes entières) à accepter de tourner le dos a nos valeurs morales, culturelles ou politiques les plus précieuses ! Les Européens ont sans doute bien besoin des profits économiques générés en Turquie. Mais les turcs ont aussi besoins des millions d’emplois et d’euros apportés par les Européens par les placements, les enseignes, la manne touristique et l’argent rapatrié en toute légitimité par les membres de la diaspora Turque établie en Europe qui vit et travaille grâce à nos modèles sociaux économiques !
Conclusion :
L’Europe n’est peut être pas le paradis, et chaque région du monde a ses défis et ses défauts. Nous n’avons pas besoin de nous rajouter des problèmes : les récents évènements qui ont vu les relations avec la population des gens du voyages se détériorer sont un indicateur certain que nous ne sommes pas prêts ni en mesure d’accueillir des populations qui compliqueront d’avantage notre vie. Les turcs sont beaucoup plus nombreux que les citoyens roumains récemment expulsés.
La coopération économique : OUI. Améliorer les échanges culturels dans le respect des populations : OUI. Mettre en sursis l’avenir déjà incertain de nos pays : NON.
Ainsi, j’encourage tous les européens, de tous bords, de toutes ethnicités à rejeter massivement l’adhésion de la Turquie à l’union Européenne. Un NON ferme, unilatéral et non négociable. Ce ne sera pas la première fois que nous prenons des positions diplomatiquement difficiles pour nos gouvernements et que nous survivrons : la guerre en Irak, les tensions avec la Chine sur le Tibet, et même la lutte contre l’agriculture OGM et l’élevage bovin douteux.
On ne peut pas laisser les autres décider à notre place. La destinée d’une nation est systématiquement définie par les choix et les actions entrepris pas les peuples qui la compose.
Une française qui aime sont pays, et qui estime qu’il est très bien qu’il y ait des français à l’étranger et des étrangers en France tant qu’on RESPECTE les individus et les pays dans lesquels on met les pieds !
Reponse
Il me semble que nous n avons pas les memes valeurs
nous connaissons la turquie depuis 35 ans ans sinon plus nous avons quitte la france depuis 10 ans pour y passer notre retraite avec des gens merveilleux acceuillants toujours joyeux malgre leurs conditions
Σελιδοποίηση